Petite discution avec Lacus /!\

L’avantage qu’Amaryllis avait, comparativement à bien des hommes, c’était probablement qu’elle avait déjà une bonne idée de ce qui pouvait plaire à Lacus. Ayant toutes deux un corps de femmes, il n’était pas difficile de savoir un peu quel genre de sensation pouvoir procurer du plaisir. Alors qu’Amaryllis prenait beaucoup de plaisir à sentir la douce peau de son amie –amie? Était-ce encore le bon terme?- sous ses mains et ses lèvres, la jeune femme semblait tenter de tout explorer. Ses mains, bien qu’inexpérimentées, massaient tendrement la poitrine de celle-ci.
Alors qu’Ama continuait ses activités, les mains de Lacus semblaient explorer son dos, descendant jusqu’au fessier de celle-ci… Bon sang que cette fille n’avait aucun gène! Jamais Amaryllis n’aurait le culot de faire ce qu’elle venait de faire… même si cela restait très agréable.

Amaryllis se souleva un peu, afin de facilité la tâche à Lacus. Elle n’était quand même pas pour lui écraser les mains! Elle marmonna un « C’est si bon… » tout en allant embrasser tendrement la belle Lacus, sa langue cherchant un instant sa jumelle. Espérant seulement que personne n’entrerait ici, Amaryllis embrassait de façon plutôt passionné son amie… Mais lentement, Amaryllis commença à vaquer à une autre occupation tout aussi intéressante… Lentement, elle descendit jusqu’au cou de la jeune femme, explorant un instant celui-ci à l’aide de sa langue, avant de descendre plus bas. Ama ignorait pourquoi elle faisait cela avec Lacus plutôt qu’avec Cain, mais chose sûre, Amaryllis semblait beaucoup apprécier ce qu’elle faisait. Sa langue se rendit finalement jusqu’aux seins de la belle Lacus. Lentement, elle vint même jusqu’à atteindre les bouts de chairs roses qu’elle mordilla très légèrement, de peur de gaffer ou blesser Lacus. C’était la première fois de sa vie qu’elle faisait une telle chose, alors il était hors de question de gaffer dès maintenant!

Si elle s’était dégênée?! Non, pas vraiment… elle en avait envie depuis longtemps, mais jusqu’à maintenant, elle n’avait pas osé, voilà tout… Mais maintenant que Lacus était allée jouer jusque dans son pantalon, Amaryllis n’avait pas pu se retenir plus longtemps. Doucement, mais sûrement, Ama semblait prendre confiance en elle et ses gestes devenaient rapidement moins tremblants. Lacus semblait apprécier ce qu’elle faisait, à première vue, autrement, elle le lui aurait signalé, vu sa franchise! La belle jeune femme aux cheveux roux/brun prenait beaucoup plus d’initiative qu’Ama, qui semblait se contenter de ce qu’elle avait, mais cela ne lui déplaisait pas vraiment. Elle avait peur de simplement toucher à la jambe blessée de Lacus, alors n’imaginez même pas sa peur de tenter de lui retirer son bas!

Le haut de la petite culotte d’Amaryllis était bien en vue… Le cœur battant à tout rompre, Amaryllis lâcha les seins de la belle pour venir l’embrasser doucement. Le goût sucré des lèvres de celle-ci lui manquait beaucoup parfait, bien que cette femme soit tout simplement… délicieuse! Si Amaryllis avait été un homme, elle l’aurait probablement demandé en mariage sur-le-champ…

« Si seulement tout le monde pouvait être comme toi… douce et belle comme tu es, je crois que je n’aurais pas pu mieux tomber pour une première fois… » murmura-t-elle à la femme, gobant son lobe d’oreille.

Lacus était probablement un aussi bonne mère, qu’amie ou qu’amante… décidément, Amaryllis était choyée de pouvoir l’avoir à la fois comme amie et pour le moment, comme amante… Oh, bien entendu, cette relation n’était pas du tout officiel, mais toutes deux semblaient beaucoup apprécier et être d’accord… c’était ce qui comptait. Et aucun risque d’avoir des enfants! Le bonheur quoi!
Jouant doucement avec les bouts de chair rosés à l’aide de sa langue et parfois de ses doigts –elle s’amusait à les caresser et les effleurer tendrement, comme si elle cherchait à faire frissonner Lacus-, Amaryllis prenait probablement autant de plaisir à pouvoir toucher Lacus qu’à être touchée par celle-ci.

Maintenant en sous-vêtement, enfin, du moins, il ne lui restait que sa petite-culotte, Amaryllis était bien plus dénudée que son amie… Le corps d’Amaryllis n’était couvert d’aucune cicatrice laissée par la torture –elle n’en avait jamais subit de toute façon- et aucune autre personne, outre Lacus, n’avait pu en voir autant. Amaryllis ne s’était jamais trouvée ainsi face à Cain. Les fesses rondes et fermes de la jeune femme allaient de paires avec ses seins et ses hanches restaient quand même invitantes, bien que son corps soit loin d’être aussi joli que celui de Lacus.
Lorsque la main de Lacus passa sur le dernier morceau de tissu qui lui restait sur le corps, Amaryllis sembla cesser d’un seul coup toutes ses occupations. Elle eut soudain peur… Comment dire cela à la jeune femme rousse/brune?!

« Lacus… je… j’ai peur… » réussit-elle à murmurer tout en baissant la tête alors qu’un faible bruit traversait ses lèvres.

Vierge, son corps semblait très… sensible aux sensations agréables…

Lacus releva la tête d’Ama, lui disant qu’elle ne devait pas à avoir peur… oui, bien sûr, elle le savait, mais c’était plus fort qu’elle. Pour elle, c’était l’inconnu, c’était un peu normal, mais Amaryllis avait confiance en Lacus. Elle ne ferait pas exprès de la traumatiser à vie de toute façon! Douce comme elle était, Amaryllis ne doutait point des compétences de celle-ci. Acquiesçant tout en prenant une grande inspiration, elle reprit peu à peu ses activités, se disant que tout allait bien se passer, que Lacus comprenait…

« Tu es si belle, Lacus… moi qui te trouvais déjà sublime avec tes vêtements… tu l’es d’autant plus à présent… »

Bien qu’elle ne voyait que très peu –elle n’osait pas enlever elle-même le pantalon de son amie, de peur de lui faire mal-, elle ne pouvait s’empêcher de la dévorer des yeux… et de parfois venir la dévorer tout simplement. Mordillant de temps en temps un lobe d’oreille, un téton, l’embrassant souvent, s’amusant beaucoup à observer les diverses réactions de son amie, bref, Amaryllis en venait à se mordre la lèvre inférieure tellement elle prenait du plaisir avec cette femme. Son corps réagissait aussi beaucoup aux doigts qui passaient sur le seul vêtement qui lui restait. Sa petite-culotte se mouillait… Amaryllis n’aimait pas cela, non, elle adorait tout simplement! Peu à peu, elle en oubliait sa crainte.

Doucement, elle vint explorer la zone qui se trouvait entre les seins de la jeune rousse-brune. Si le ventre de celle-ci n’avait pas été blessé, Ama n’aurait pas hésité une seconde pour venir l’explorer, mais elle n’osait pas du tout le faire, se contentant seulement du haut. Lentement, elle fit courir sa langue sur cette douce zone de peau. Elle frôlait à peine celle-ci… simplement pour faire languir et frissonner un peu son amie… Activité très plaisante en tout cas! Amaryllis pouvait caresser les seins de son amie sans problème tout en la faisant frissonner!

Heureuse de voir son amie frissonner ainsi, sous le contact de sa langue avec ce bout de peau sensible, Amaryllis vint y déposer un baiser. Si quelqu’un entrait, Amaryllis aurait l’air bien idiote en tout cas… mais ici, il était facile d’imaginer un peu n’importe quoi! Surtout si c’était un homme qui entrait alors qu’Ama avait la tête entre les deux seins de son amie et que justement, celle-ci pressait ses doigts contre la petite-culotte de la jeune femme aux cheveux noirs… Lacus alla détacher son pantalon… Amaryllis l’observa faire un moment du coin de l’œil, mais y prêta plus ou moins attention, s’attendant à ce que la belle Lacus l’enlève elle-même… Sauf que Lacus ne semblait pas vouloir que cela se passe ainsi d’après son chuchotement…

« Lacus… » dit-elle, enlevant sa tête d’entre les seins volumineux de la belle. « … je… et ta jambe? En temps normal, je l’aurais enlevé, mais avec ta jambe blessée… j’ai peur… de te faire du mal. » lui dit-elle tout en se mordant doucement la lèvre inférieure en sentant deux doigts s’infiltrés dans la culotte…

C’était si bon! Si délicieux… si… exquis! Amaryllis gémit faiblement… Elle réagissait réellement à un rien, mais maintenant qu’on touchait directement à cette zone que personne n’avait jamais pu atteindre, le plaisir qu’éprouvait Amaryllis semblait grandir rapidement. Lacus savait comment faire plaisir à quelqu’un en tout cas, c’était certain… tout comme calmer les inquiétudes des gens en y allant plus lentement… Doucement, Amaryllis commença à faire descendre le pantalon de son amie, incapable d’attendre plus long. Elle faisait plus qu’attention à la jambe blessée… lentement, mais sûrement, le pantalon finit par rejoindre le reste des vêtements. La main droite d’Ama caressa un moment la hanche droite de Lacus… Bon sang que cette fille était belle! Malgré les blessures de celle-ci, Amaryllis la trouvait tout simplement belle, sublime… Elle la désirait terriblement en tout cas! Jamais elle n’avait éprouvé une telle attirance pour une femme.

Elle lui avait fait confiance, mais bon sang qu’Amaryllis avait eu peur de la blesser! Sa jambe était en mauvais état, c’était certain, mais elle resterait toujours belle aux yeux d’Ama… Lacus ÉTAIT belle, ce n’était pas plus compliqué que cela à comprendre. Jamais elle ne serait laide… pas même si un garde venait qu’à la brûler de partout… même avec des cicatrices partout sur elle, elle restait à jamais belle… Enfin, pour Amaryllis du moins.
Mais Lacus avait de quoi être fière de se rendre si loin avec Amaryllis… celle-ci aurait mordu quiconque aurait tenté pareille expérience, mais jamais elle ne ferait cela à son amie. Elle lui plaisait et bon sang qu’elle savait comment s’y prendre! Ama lui faisait entièrement confiance, bien que la peur restait présente… mais après tout, c’était la première fois qu’on se rendait si loin avec elle, c’était un peu normal.

« J’ai l’impression de l’être de partout, Lacus… c’est fou comme je prends autant de plaisir! » lui dit-elle, alla lentement faire glisser ses doigts sur le dernier vêtement qui restait à présent à Lacus.

Mais sans réellement attendre, Amaryllis fonça directement. Sa main passa sous le sous-vêtement pour venir caresser directement l’intimité de la belle Lacus. Toute timide et tremblante, la main d’Amaryllis caressait doucement les bords de l’entrejambe, mais sans oser y entrer un doigt. De temps en temps, l’un des doigts d’Amaryllis glissait plus vers l’intérieur, venant caresser tendrement les chairs roses et sensibles de l’intimité de la belle, mais sans oser faire plus.

Mais alors qu’Ama faisait cela, Lacus continuait ses activités… Délicieuses activités qu’elle faisait si bien… Amaryllis gémissait de temps en temps, très sensible aux gestes de son amie… mais le mieux fut probablement quand un doigt entra enfin dans son intimité déjà humide par le plaisir grandissant. Le geste était lent et Amaryllis remerciait intérieurement Lacus, mais tout cela n’en restait pas moins agréable. Un gémissant, beaucoup plus fort que les précédents, franchit les lèvres d’Amaryllis. Son cœur battait rapidement, mais le plaisir était là…

« Oh, Lacus… c’est tellement… tellement… »

Ama ne finit même pas sa phrase.

De toute façon, il était hors de question qu’elle arrête! Lacus semblait beaucoup aimer… pas question de s’arrêter là alors que cela était si bon. La belle Lacus ne la forçait pas à aller plus rapidement, tant mieux! Malgré tout, Amaryllis aurait probablement obéit si elle lui avait demandé d’entrer maintenant son doigt dans ce tunnel si invitant… Elle aurait obéit pour le simple plaisir de voir son amie prendre du plaisir. Amaryllis ne pouvait pas la chatouiller, alors elle se débrouillerait ainsi pour lui faire plaisir! C’était agréable pour les deux femmes en plus… Oh oui, c’était si bon! Alors que son doigt caressait la tendre chair rose de l’intérieur de l’intimité de la belle Lacus, celle-ci lui dit qu’elle la ferait sentir encore mieux que cela. Était-ce simplement possible?!

Lorsque le doigt sortit de l’intimité d’Ama, celle-ci jeta un coup d’œil interrogateur à Lacus. Qu’avait-elle en tête? Bien qu’elle ne s’inquiétait, à présent, pas plus que cela, elle restait curieuse de savoir ce que celle-ci préparait. Chose sûre, Lacus ne devait plus être vierge depuis un moment pour être si habile!
Deux doigts… Bon sang, le bonheur total! En plus des va-et-vient… Amaryllis semblait au paradis. Tant de plaisir… Elle haletait, transpirait, et gémissait grandement… Doucement, la main inoccupée d’Ama venait jouer tendrement avec la poitrine de la belle. Elle la massait tendrement, y déposant parfois un baiser entre deux gémissements de plaisir.

« Ai-je… vraiment… besoin de te répondre?! » demanda-t-elle, un sourire sur le lèvres alors que son doigt semblait indécis entre entrer ou continuer ainsi.

Mais à la demande de son amie, Amaryllis ne se fit plus vraiment attendre. Doucement, comme si elle avait peur de blesser la belle Lacus, son doigt trouva sa place dans le tunnel chaud… et peu à peu, il commença à bouger, comme le faisait Lacus avec les siens –en fait, Amaryllis se fiait aux mouvements de Lacus pour se diriger, autrement, elle aurait probablement laisser ses doigts là, sans les faire bouger!-. Répondant passionnément au baiser de la belle aux cheveux roux-bruns, Ama ne manquait pas une seule occasion pour gémir doucement et caresser le doux et invitant corps de celle-ci. Elle avait tant de chance… Lacus, la belle et séduisante Lacus acceptait d’aller aussi loin avec elle, la pauvre Amaryllis encore toute vierge.

Oh, tout allait déjà très bien de toute façon! Malgré tout, les paroles de Lacus semblèrent la calmer un peu. C’était tout simplement agréable, rien de plus, mais rien de moins. Agréable? Bah… peut-être terriblement agréable, mais bon, l’intention était là! Tout était génial avec Lacus de toute manière. Pas besoin de réponse?! Amaryllis l’espérait. Ses gémissements témoignaient de son plaisir, tout comme ses seins durcis par le plaisir qu’elle éprouvait. Lui volant de rapides baisers, Amaryllis acquiesça à la demande de son amie… mais avant qu’elle ne puisse faire quoi que se soit, elle lui fit signe d’arrêter. Ce qu’elle fit. N’était pas vraiment dans sa phase ‘J’obéis sans rien dire’, Amaryllis laissait tout de même Lacus tout diriger. Ne sachant pas du tout ce que celle-ci avait en tête, elle la laissa faire, lui jetant un regard interrogateur.

La jeune femme aux cheveux noirs laissa sa petite-culotte partir pour rejoindre les autres vêtements au sol. Pendant un moment, elle ne put s’empêcher de dévorer son amie des yeux. Elle était trop belle… Une fois que Lacus fut couchée, Amaryllis fit comme on lui demandait, jetant encore un regard interrogateur à Lacus. Les douces mains de Lacus sur ses fesses et la tête de celle-ci entre ses jambes, Ama faisait son possible pour ne pas écraser Lacus en tombant par accident.

« Et… maintenant? »

Intriguée, elle jeta un coup d’œil mi-curieux mi-inquiet à la belle Lacus. Que comptait-elle faire? Amaryllis n’en savait rien, mais semblait avoir hâte de le savoir. De toute façon, qui pourrait prévoir les réactions de cette fille?! Elle ressemblait plus à un sac à surprise qu’à une femme parfois.

Il ne restait plus qu’une chose? D’accord, mais quoi? Malgré son inquiétude, Amaryllis ne bougeait pas. Lacus savait ce qu’elle faisait après tout… et c’était probablement voulu qu’elle ne dise rien à Ama… Alors qu’elle commençait réellement à prendre peur vue le manque de réaction de Lacus, elle sentit quelque chose de chaud et humide sur son entrejambe. Sursautant tout en gémissant, elle jeta un rapide coup d’œil à ce que faisait Lacus… Tout s’éclaira. Pourtant, Ama ne tarda pas à lui jeter un regard interrogateur. Elle avait un goût?! Décidément, elle en savait trop peu sur la matière… bien qu’elle n’osât jamais poser la question à Lacus. Celle-ci avait beau s’y connaître plus qu’Amaryllis, mais la jeune femme aux cheveux noirs n’osait pas lui poser cette question… aller savoir pourquoi!

Amryllis gémissait probablement autant, sinon plus que lorsque c’était un doigt… c’était différent, mais le fait de savoir que c’était la douce langue humide et chaude de la belle Lacus semblait beaucoup la ravir. Elle trouvait déjà plaisant de pouvoir s’amuser avec celle-ci quand elle l’embrassait, mais ainsi, c’était tout simplement génial!

« C’est… gé… génial, Lacus… tu es… si douée! » réussit-elle à articuler entre deux gémissements rapides.

Aimer serait le mot. Dommage qu’elle puisse difficilement en faire autant avec Lacus… Placée ainsi, elle osait très peu bouger étant donné qu’elle voyait plus où moins où elle bougeait, mais bon… après se serait probablement son tour de combler ainsi Lacus…

C’était bon… doux… chaud… magnifique! Amaryllis gémissait beaucoup trop à son goût, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher. C’était trop bon pour qu’elle se retienne de gémir! Et puis… cela donnait une bonne idée à Lacus, de ce qui pouvait plaire beaucoup à Ama. Une pression se fit sur son dos, la forçant à se pencher. À présent, c’était elle qui avait la tête entre les jambes de Lacus… Bien qu’elle soit loin d’être très rapide à comprendre où Lacus voulait en venir, Amaryllis ne mit que quelques secondes à comprendre ce qu’elle voulait. Mais bien entendu, pourquoi n’y avait-elle pas songé plus tôt?! Doucement, Amaryllis se pencha encore plus. Déposant un baiser sur l’entrejambe de la belle, elle laissa sa langue effleurer cette douce partie du corps de Lacus. Et peu à peu, Ama se retrouvait à faire la même chose que Lacus, mais avec des gestes beaucoup moins précis et expérimentés… mais peut-être cela plaisait-il à Lacus… Enfin, bref!

Lentement, la langue rose d’Amaryllis explora l’intimité de son amie. C’était agréable… et Amaryllis sembla éclaircir ce mystère du goût! Effectivement, Lacus possédait un goût… Un goût sucré, comme ses lèvres, mais peut-être un peu salé ou pimenté… C’était agréable au goût… Profondément intriguée, Amaryllis ne tarda pas à entrer enfin sa langue dans ce tunnel long et chaud… Elle faisait comme pour avec les doigts, des va-et-vient… C’était si doux et chaud! Lacus goûtait si bon… Franchement, tout semblait plaire beaucoup à Amaryllis qui ne manquait pas de lâcher quelques gémissements quand elle y arrivait –entre sa respiration haletante, et son exploration de Lacus-.

Amaryllis ignorait si Lacus appréciait et elle l’espérait grandement! Elle avait peur de ne pas être à la hauteur des attentes de celle-ci… surtout que c’était la première fois qu’elle allait jusqu’à ce point avec quelqu’un! Intérieurement, elle ne pouvait s’empêcher d’espérer de tout cœur que cela soit aussi plaisant pour Lacus, que ce l’était pour elle. Les mots saccadés que réussit à articuler Lacus semblèrent la rassurer. Elle aimait cela! Bien entendu, elle gémissait, elle semblait apprécier, mais même si on se faisait violer, notre corps réagissait… mais les paroles de la belle venaient confirmer que cela lui plaisait! Quel bonheur! Loin d’être déçue qu’on lui demande de ne pas s’arrêter, elle obéit avec joie.

Tentant de faire aller sa langue le plus loin possible tout en faisant de doux va-et-vient, Amaryllis ne put s’empêcher de fermer les yeux un moment. C’était trop bon… Lacus aurait pu complètement cesser ses activités et Ama aurait éprouvé quand même beaucoup de plaisir à explorer le chaud et sensible tunnel de son amie. Elle gouttait si bon… elle était si bien… Amaryllis aurait pu classifier Lacus parmi les sept merveilles du monde si elle l’avait pu! Ama ne se sentait pas forcée de faire quoi que se soit, Lacus était probablement la femme la plus merveilleuse qu’elle connaisse et bon sang que c’était magnifique en sa présence! Un main semblait se diriger doucement vers un autre endroit… Qu’est-ce que Lacus avait encore en tête?! Doucement, la jeune femme aux cheveux noirs retira sa langue de Lacus et se sortit doucement la tête d’entre ses jambes pour être capable de lui parler :

« Qu’est-ce que… tu… tu fais? » lui demanda-t-elle, haletante. Elle ne tarderait probablement pas à comprendre, mais… cette fois-ci, elle ne comprenait pas du tout ce que Lacus avait en tête.

Amaryllis lui jeta un regard interrogateur. Décidément, cette fille aimait bien ne rien expliquer à Amaryllis! Enfin, peut-être faisait-elle mieux de ne rien lui expliquer non plus. Sans avoir sût qu’elle s’amuserait autant à pénétrer Lacus à l’aide de sa langue, elle ne l’aurait peut-être pas fait si Lacus lui avait expliqué son intention dès le début. Néanmoins, bien qu’un peu inquiète, Amaryllis reprit ses activités. Se serait bête de tout gâcher parce qu’elle s’inquiétait un peu des idées de Lacus quand celle-ci en avait. Doucement, sa langue retourna à son occupation si délicieuse. Mais alors qu’elle recommençait à peine à s’amuser, un doigt sembla trouver un chemin pour entrer en elle, lui arrachant un faible gémissement de surprise.
Néanmoins, c’était loin d’être désagréable. En fait, tout était agréable avec Lacus! Ce n’était pas très compliqué…

« Lacus, c’est… génial… »

Mais tout l’était avec elle. Gémissant doucement, Amaryllis reprit ses activités, explorant avidement les douces parois du tunnel de Lacus. Personne n’entrait, tant mieux, mais cela faisait beaucoup l’affaire d’Ama qui n’aurait jamais osé faire cela dans sa propre chambre ou dans celle de Lacus en sachant que Cain était encore au dortoir… mais peut-être qu’après, Amaryllis et Lacus irait justement dans la chambre de belle… Se serait mieux qu’ici pour parler, il suffirait d’en verrouiller la porte.
Les mains d’Amaryllis la soutenait afin qu’elle n’écrase pas la belle qui se trouvait sous elle, mais de temps en temps, elle se permettait devenir caresser un peu les hanches de Lacus.