Discution tranquille [Avec Ama]

[HRPG:Si vous désirez vous joindre à nous, vous êtes les bienvenues]

Enfin, Ama et Marlène était sortie de la terrible cave. Jamais elle n'aurrait penser que aller à la cave serait une expérience aussi affreuse. Jamais elle n'y retournerais et ce malgré sa curiosité. Elle avait écouter attentivement les paroles de Ama et était ravie que quelqu'un lui porte ainsi une attention. Elle se ressemblait beaucoup d'une certaine façon. Jamais un gardien ne leur avait porter attention auparavant.

- Je suis ravie d'entendre ses mots. chuchota-t-elle vers Ama. Tu est la première qui me dit cela. Toutes les autres trouvent que je suis trop peureuse ou chigneuse. J'ai peur de tout et je confronte personne.

Elle baissa la tête en disant ses mots. Pantouffle en main, elle s'avanca dans les corridors avec moins temps que lorsqu'elle était dans le sous-sol. Elles se retrouva donc enfin dans le salon. Ravie de l'avoir trouver du premier coups, Marlène s'avanca sans regarder ou elle allait tout en fesant signe à Ama de venir.

BOUM.... Marlène face contre terre nez écraser sur un jus renverser quelques heures plus tôt. Tout en tombant, elle s'écorcha la jambe de gauche sur la table qui se trouvait sur le coté du fauteuil.

- Hé voilà, cria Marlène, encore une fois je me retrouve sur le sol!

Elle se retourna et s'assis sur le sol pour voir sa jambe déchiré. Rien qu'une petite égratignure. Le sang n'était même pas sortie de sa chair. Elle essaiya de se relever mais se prit le pied dans le tapis et TATOUM une roulade dans le divan, puis finir de nouveau sur le sol.

- Je vais finir par croire que je suis maudite, si je continue comme cela!... rouspêta Marlène.

Se soir, Marlène était tellement différente. Ont aurrait dit que sa personnalité avait changer. Mais cela ne durerait qu'un temps. Car marlène fesait souvent cela.

Amaryllis avait toujours détesté les caves, mais cette fois-ci, c’était encore pire qu’auparavant! Plus jamais elle n’oserait y aller seule ou en compagnie d’un homme… plus jamais! Elle en tremblait encore un peu de peur d’ailleurs… Espérant seulement qu’elle ne développerait pas non plus une horrible peur pour les endroits sombres, la jeune femme suivait tranquillement Marlène.

« Tu es comme tu es, Marlène, et moi je t’apprécie ainsi. Je ne te trouve pas si peureuse que cela, à vrai dire… Tu as déjà été torturée alors que moi, je n’ai été que menacé d’un côté et j’ai complètement fondu en larmes… franchement, tu es plus courageuse que moi et je dois dire que je t’admire beaucoup… » avoua-t-elle d’un air gêné.

Bien que se soit la vérité, Amaryllis semblait presque avoir honte de sa pauvre attitude. On ne lui avait strictement rien fait et elle avait trouvé le moyen de fondre en larme quand même!

« Et moi c’est plutôt le contraire… un jour j’obéis sans rien dire et l’autre je deviens une véritable petite rebelle qui casse les oreilles à tout le monde. Et je suis probablement encore plus peureuse que toi, Marlène… Ça ne m’étonnerait même pas que je commence à avoir peur du noir ou tout simplement des pièces trop petites à présent… J’ai eu tellement peur que ce ne serait pas étonnant… »

La suivant dans le salon, Amaryllis ne put s’empêcher de retenir un petit cri de peur en voyant Marlène tomber. Bon d’accord, c’était surtout par surprise, mais la pauvre semblait s’être cognée! Pauvre Marlène… Elle n’avait vraiment pas de chance! Et voilà qu’elle finissait à nouveau au sol! Soupirant, Amaryllis s’approcha de la jeune femme pour l’aider à se relever tout en la faisant asseoir sur le divan le plus près alors qu’Ama’ prenait place à côté d’elle.

« Mais non voyons, tu n’es pas maudite! Tu manques seulement d’un peu d’adresse… ou d’attention à ce qui t’entour, rien de plus. Tu t’es fait mal? Tu veux que j’aille te chercher des pansements? De la glace? »

Quoi que… plus jamais elle n’aurait le courage de se retrouver seule…

« Euh… non, oublie-ça… je… j’ai trop peur pour simplement oser sortir de la pièce… On aura qu’à se débrouiller avec les moyens du bord alors! Mais… tu n’es pas ici depuis longtemps, n’est-ce pas? Je ne t’avais jamais vu avant… »

À moins… qu’elle n’ait tout simplement pas prêté attention à Marlène avant aujourd’hui… si c’était le cas, Amaryllis venait probablement de faire une horrible gaffe!

« Et euh… merci d’être venue me voir à la cave… sans toi, j’y serais probablement encore entrain de pleurer et de trembler de peur… Tu sais, si je peux faire quoi que se soit pour toi, n’hésite surtout pas à me le demander… »

Marlène flatta sont petit nez qui se semblait pas du tout avoir étét atteint par le sol qu'elle venait de saluer. Elle se releva avec misère tout en répondant à Amaryllis.

-Ca va, je n'est pas beaucoup mal, c'était juste sur le moment présent.

Elle se cala dans le sofa qu'elle trouvait énormement laid. De plus, ont avait l'impression de se perdrent dans les cousins trop mou. Elle replaca ses cheveux prennant avec sa main de la salive pour replacer les mèches rebelle. Marlène n'avait pourtant pas répondue à la question que sa nouvelle amie lui avait demander. En effet, Marlène était ici depuis un bon moment déjà. Il n'était pas nouveau pour elle que personne ne s'en soit appercue. Elle préférait se tenir loin de tout les autres orphelines car celle-ci avait la mauvaise habitude de les dénoncés. Que feriez-vous si vous fesiez le panier percer et que malgré tout, vous habitez la plupart du temps avec c'est dernière? C'était pas méchant que Marlène fesait cela. C'était simplement pour assurez sa sécurité. De toute façon, elle n'aurrait pas pu faire autrement.

Elle sourit au remercimant de Ama.

- C'est gentil de ta part, tu vois, c'est très rare que quelqu'un m'offre ce genre de chose. Je suis un souffre douleur, alors les gens ont plus l'habitude de me taper dessus.

D'une voix reposer et calme, Marlène avait souffler ses mots comme si tout cela était naturel pour Marlène. C'était la dure existence de Marlène et malgré tout, elle semblait être bien dans ces circonstances.

- Si tu veux, je peux aller chercher du chocolat chaud dans la cuisine. Ca nous réchauffera et ainsi ont pourra discuter sans trop faire de bruit.

Marlène avait dit cela? Allez chercher à elle seule des chocolats chaud alors que elle aussi tremblait de peur. Mais elle voulait impressionner sa nouvelle amie. Et passer plus de temps avec celle-ci. Elle semblait différente des autres et Marlène ne voulait pas laissez passer cette chance d'avoir enfin 1 amie.

Elle se leva sans attendre la réponse de Ama pour se diriger vers la cuisine. Cependant, elle arriva face à face avec Kira qui semblait être un gardien. Enfin, c'était un homme donc un membre du personnel. Cela n'assura rien de bon pour elles.

Prise de peur subitement, Marlène recula d'un pas pressant pour ensuite se retrouver sur le popotin devant l'homme inconnu qui était devant elle. Elle baissa les yeux.

Heureuse de voir que Marlène n’avait rien de plus, Amaryllis soupira de soulagement. Néanmoins, la jeune femme sembla s’inquiété de ne pas avoir de réponse de la part de Marlène. Elle venait probablement de gaffer en lui posant cette question…

« J’ai gaffé, on dirait… Oh Marlène, ne dit pas cela, je t’en prie! Si quiconque ose simplement te porter un mauvais regard, ils auront affaire à moi! Je ne te laisserai pas finir en souffre-douleur pour tous les gens de l’orphelinat. J’ai gaffé une fois, je ne gafferai plus. Tu es une fille géniale, Marlène, ne te laisse pas finir en souffre-douleur… Tu ne mérites pas cela… »

Elle était trop gentille pour finir ainsi… Elle avait beau être peureuse et pleurnicharde, mais Amaryllis l’aimait bien ainsi et jamais elle ne laisserait quiconque prendre cette fille comme souffre-douleur, jamais. Elle s’était attachée rapidement à Marlène et s’en voulait terriblement de ne l’avoir jamais remarqué. Lorsque Marlène proposa d’aller chercher à elle seule, des chocolats chauds à la cuisine, Amaryllis en resta bouche bée. Comment arrivait-elle pour proposer une telle chose?! Ama était morte de peur à la simple idée de franchir la porte pour sortir du salon… Et après on venait que c’était Marlène la trouillarde! Pffff!

Tournant la tête vers la porte, Amaryllis poussa cri de peur et surprise en voyant Kira. La jeune femme se leva d’un bond tout en jetant un regard noir à Kira. Elle semblait prête à bondir sur l’homme s’il osait simplement s’approcher de Marlène. Lorsque le surveillant dit à Marlène de le laisser l’aider, ce fut Amaryllis qui ‘péta’ un câble :

« L’aider?! L’aider à quoi? L’aider à finir à la salle de torture peut-être?! Et ‘désolé’ de quoi?! ‘Désolé’ de nous interrompre?! »

Ce n’était pas beau à voir… Amaryllis en colère et qui semblait prête à attaquer Kira…

Marlène tourna la tête vers amy les yeux plein d'eau. Soudain, elle eu peur de cette jeune femme qui l'avait sauvé. Cependant, voiyant le malaise du gardien, elle se releva tremblante se tourna vers son amie pour la calmer un peu. Elle s'approcha d'elle tranquillement lui prenant l'épaule.

- Calme-toi, je t'en prie. Je n'est pas du tout l'intention de finir de nouveau dans cette endroit. Je ne le permetterais pas!

Elle se retourna vers le gardien pour s'adresser à lui.

- Que nous voulez-vous exactement ???????

Marlène avait pris sont visage faché même si c'était plutot un visage drole. Marlène n'était pas très convainquante. Elle tremblait de son corps voiyant la caricature de l'homme. Elle se rapellait celui qu'elle avait tuer.... elle ferma les yeux pour oublier cette horreur. Cependant elle ne pu penser à Amy. Serait-elle encore son amie malgré qu'elle soit une meurtrière??? La connaissant depuis peu, elle ne savait pas si elle pouvait se confier à cette gentille amie.

Elle se pencha vers l'oreille de Amy pour lui chuchoter quelques mots.

- Calme-toi sinon nous allons attirer des ennuis. Et pour ce soir, j'en est assez eux.

Sachant bien que Marlène se pliais encore devant un homme elle s'attedndait à ce que sa nouvelle amie lui dise quelques choses de blessant.

Amaryllis ouvrit la bouche, comme pour parler, mais elle se tut. Marlène avait raison. Mieux valait qu’elle se calme un peu. Ama savait que Marlène obéirait à cet homme s’il lui ordonnait quoi que se soit, mais elle empêcherait sa jeune amie d’obéir. Elle lui avait promit qu’elle ferait tout pour que Marlène ne soit plus un souffre-douleur, alors autant commencer par la faire cesser d’obéir à ces imbéciles de gardes! Malgré tout, elle avait raison : Si Amaryllis ne se calmait pas, elles auraient probablement des problèmes. La jeune femme baissa la tête :

« Je suis désolée, Marlène… Je… je n’y avais pas songé… » murmura-t-elle à son amie, de façon à ce qu’elle seule puisse l’entendre.

La jeune femme aux cheveux longs semblait plus apte à obéir à sa jeune amie qu’à obéir à n’importe quel homme. En fait, elle obéissait à Marlène simplement parce que celle-ci venait tout juste de lui faire réaliser le danger qui les guettait et comme Ama n’avait aucune envie de voir son amie souffrir, elle préférait se taire ou être moins arrogante. Il ne leur voulait rien?! C’était à prouver. N’importe qui pouvait ne rien leur vouloir et dès que la confiance s’installait, HOP, on finissait sous la torture ou dans le viol! Amaryllis trouva néanmoins le courage de lui répliquer quelque chose, un peu après que Kira se soit tut et soit sur le bord de la fenêtre :

« C’est ça, et moi je suis une nonne! »

Sarcastique au plus haut point, Amaryllis ignorait encore complètement que Kira la sauverait probablement de la mort dans quelques jours à peines. Le jour où Ellioth déciderait de s’amuser avec Ama… jour qui arriverait bientôt, mais dont la jeune orpheline ne savait rien.

[Léger manque d'inspiration, désolée!!]

Marlène eu une drôle d'image dans sa tête. Voir Ama déguisée en nonne serais vraiment drole. Elle l'imaginait et sans crier gare elle se mit à rire de son petit rire stident. Tout son corps tremblait devant l'intensité que Marlène propagais dans son rire. C'était plus fort qu'elle, elle ne pouvait pas arrêter.

Puis soudain elle arrêta nette. Une très mauvaise impression passant dans son petit corps frèle. Une de ses impressions qui fait que vous êtes obséder par elle. Cela arrivais souvent à Marlène et à chaque fois qu'elle ressentait cela, quelques choses de grave arrivais. Elle recula de ama car celle-ci était juste à coté d'elle. Nécessairement, c'est elle qui allait avoir quelques choses de grave. Car tout ce passait à l'entour de Marlène et le garde n'avait pas dégé porter attention sur elle.

**Tout est relier** Pensa-t-elle. Relier à quoi? Elle ne le savais pas mais elle s'avait qu'elle devait faire vite. Pour aider sa nouvelle amie à ... elle s'avait pas à quoi d'exactement mais elle devait y arriver coute que coute. puis soudain, une autre personne fit son apparition dans la pièce et Marlène s'aggripa de nouveau à Ama.

Contrairement à son congénère, Pacson ne prit pas le temps de les épiers sur le bord de la porte. Cela allait gacher son effet de surprise et Pacson aimait trop cela.

- Tiens, tiens, mais qui trouve donc dans la nuit? Mais c'est ma nouvelle petite Copine!! Mais Bonsoir Ma belle Amaryllis.

Pacson avait pris le temps de lire chaque dossier de chaque orpheline tout en menacant le secrétaire qui y était. Quel bargo celui-là. Pacson avait mater des hommes plus coriace que lui et cet imbécile lui avait proforé des menaces. Voiyons, le directeur l'aimerais bien trop pour le renvoiyer, de toute facon, Pacson ne lui donna pas le choix.

''Tiens, je ne l'avais pas vue celui-là''pensa-t-il lorsqu'il vit qu'un autre homme était dans la pièce.

- Alors tu voulais garder ses jolies demoiselle pour toi tout seul??? Ohhhhh mais faut partager.

Regardant Kira, PAcson ne lui fesait pas confiance. Tout comme ses frères, celui-ci semblait être une vrai mauviette envers les orphelines. Facile lorsqu'on est gentil de se faire des amies... pfffff vraiment stupide sont résonnement!!

PAcson n'avait pas l'intention de leur faire du mal se soir mais seulement les effrayés un peu pour qu'il puisse bien dormir se soir là.

Le rire de Marlène la fit sourire. Celle-ci devait s’amuser à l’imagine en bonne-sœur. L’image pouvait être terriblement drôle, certes, mais Ama ne s’était pas attendu à ce que son amie se mette à rire ainsi! Ça faisait du bien d’entendre quelqu’un rire enfin… Elle-même riait de moins en moins… Pourtant, le fait que sa jeune amie cesse aussi subitement de rire commença à lui faire peur. Avait-elle entendu quelque chose de suspect? La porte s’ouvrit et elle sentit, aussitôt, Marlène s’agripper à elle. La pauvre… elle semblait avoir peur… Amaryllis se promit de ne laisser personne porter la main sur Marlène. Pas même cet imbécile de garde qui disait ne rien vouloir leur faire.

Pacson! Amaryllis, malgré elle, blêmit. Elle aurait pu ressembler à un fantôme tellement elle était blanche. C’était le garde qu’elle avait pu voir un peu plus tôt dans la soirée… le premier qui l’avait menacé d’une arme… Et comment savait-il son prénom?! Elle ne le lui avait jamais dit… enfin… pas qu’elle le sache. À la mention de la ‘petite copine’, par contre, elle se serait probablement jetée sur Pacson pour l’étrangler si Marlène ne s’était pas agrippée à elle quelques instants plus tôt. Elle jeta un coup d’œil inquiet à sa nouvelle amie avant de s’adresser à Pacson :

« Je ne suis pas votre ‘petite copine’! »

Malgré le ton assuré de sa voix, Amaryllis tremblait. Ça ne se voyait qu’au niveau de ses jambes, mais elle tremblait bel et bien. Pacson l’avait littéralement traumatisé en lui mettant ce couteau si près d’elle… Elle jeta un regard à Kira. Les aiderait-il ou les livreraient-elles à Pacson? Le regard de la jeune orpheline semblait signifier : ‘Si tu comptes nous aider, garde au moins Marlène pour toi et va la mettre en lieu sûr.’
Amaryllis lui avait promit qu’elle ne laisserait plus personne se servir d’elle comme souffre-douleur, eh bien elle allait respecter sa promesse, coûte que coûte! Kira vint se placer entre elles et Pacson, se mettant à parler. Amaryllis resta sans voix, la bouche grande ouverte. Mais à quoi jouait-il?! Disait-il vrai? Ou ne jouait-il qu’un jeu pour tenter de les sauver? Son clin d’œil la fit quand même grandement douter. Et s’il ne faisait que semblant de vouloir leur venir en aide, pour réellement les attirer dans sa chambre?

« Mais oui, c’est ça, amusez-vous avec nous deux, crétin et après on verra si je compte me laisser faire comme si de rien n’était en sachant que je ne serai pas seule! Vous pensez que je vais me laisser entraîner dans votre chambre aussi?! Non, mais! Ne rêvez pas. Gardez-la pour vous et laissez-moi l’autre garde. Je n’y passerai qu’une seule fois et ça me sera suffisant! De même pour elle. Franchement… vous en aurez assez d’une! » dit-elle à Kira, lui signifiant qu’il garderait Marlène si Pacson ne partait pas et comptait s’en prendre une des deux.

Pourtant, elle ne s’empêcha pas de lui jeter un regard noir, voulant signifier à Kira que s’il osait toucher à un seul cheveux de Marlène, que se serait elle qui lui ferait la peau.

Ellioth s'avançait lenteemnt à travers les couloirs, il cherchait ce foutu médecin, trainant derrière lui un cadavre d'homme affreusement mutilé, un garde qui avait osé traiter son sous-directeur de fou!
Le jeune américain avait alors donné une réponse immédiate, un coup de poing et la salle de torture direct.
Mais un bruit attira son attention, comme une sorte de conversation très bruyante au rez-de-chaussée, sans doutes possibles des orphelines uqi résistaient vainement à un homme qui avait eut une soudaine envie de chaire fraiche.
Il déposa alors le corps inerte de l'anglais et s'approcha alors du lieu d'où provenaient les bruits, d'un pas lent et assuré, il arriva par derrière les deux orphelines, ne pouvant etre vu que par Kira et Pacson, il fronça alros les sourcils, les deux se disputaient pour savoir qui aurait l'autre!

Ellioth "BIEN! MESSIERUS, MESDAMES!"

Il aavit volontairement crié de toute sa voix pour que totu le monde se retourne, il reconnu alors celle qu'il aavit torturé et lui demanda comment elle trouavit son tatouage, cela avec un sourire affreux collé au vsiage, il observa alors Marlène un court instant et se désinteressa vite d'elle, il apssa ensuite en revue les deux hommes, il avait déjà vu le CV d'un des deux, celui avec les cheveux noir corbeau, il le sala alors, et se retourna vers l'autre, lui, il ne l'avait jamais vû, il leur fit alors signe de déguerpir et attrapa violement la femme aux longs cheveux.

"Oh, ça me fait du bien de te revoir!"

Il la traina alors par le poignet, cette fois, els ol n'était pas sale et elle n'était pas pieds nus, il lui adressa un sourire de psychopathe et accéléra l rythme, la tirant violement et fort, pusi ila rriva devant une porte, la fameuse salle n°5, la pire d etoute, et le cadavre du garde pouvait en témoigner

[Salle de torture! : D à toi l'honneur Ama XD]

Pacson regarda le troisième garde entrer dans la pièce comme si il s'en attendait. Décidément, les gardes se promenaient assez souvent ici. Il ne pu constater le manque de tact de celui-ci. Il arrivait la en plein milieu d'une petite réunion et celui-ci avait décider qu'il apporterait une de ses futur victime la traitant comme de la vrai merde. N'avait-t-il aucune éducation?

Pacson se demandais si il devait lui porter attention ou bien le laisser aller. Lui enlever quelque chose qui décidément voulait a tout pris. Mais Pacson se revisa puis le laissa aller attendant la réaction de Kira. Celui-ci n'était pas honnête et il le sentait. Il avait beaucoup plus de sentiment qu'il voulait le monter. Il n'était pas méchant dans l'âme sinon il l'aurrais vite devinez.

Cependant les petits signes qu'il leur avait fait avait quelque peu énerver Pacson. Pour qui se prennait-t-il d'entrer ainsi et de leur piquer une demoiselle sans demander son reste. Pacson ne le laisserait certainement pas faire. Alors que Marlène piquait sa crise, Pacson se retourna vivement sur elle pour la faire taire. Puis il se retourna et suivi non pas discrètement Elliot. Il ne le connaissait pas, mais c'est intention était totalement différente de Kira. Mais légèrement mélangé car Pacson ressentait le mal que tout le monde pouvait avoir en eux. Étant lui même le mal incarnés, il avait appris a le déceller.

Voiyant le cadavre, Pacson eu un rire sadique. Fallait vraiment être un amateur pour rapporter un cadavre! Ah ah montrer sa soit disant supériorité. Cela ne l'effraya pas, car les vrai malade non pas besoin de trophée. Il se contente de le savoir et de le dire quelques fois mais rarement. Puis avant que celui-ci ouvre la soit disant porte, Pacson éleva la voix en s'avanca dans l'ombre.

- Amateur!!!! cria-t-il...

Pacson était agé d'une trentaine d'année et cela paraissait dans son visage. Un visage que certain aurrait voulue ne jamais voir ou plutot oublier. Complêtement fou de nature, Pacson avait commis nombreux crime et meutre que seul lui connaissait. Même la police avait passer par dessus ceux-ci. Il resta la a fixer le soit disant Méchant!