Petite discution avec Lacus /!\

Oui, elle devait réellement en être impatiente… enfin, Amaryllis l’était surtout parce que Lacus serait en meilleur état que maintenant, mais qui sait?! Peut-être s’amuserait comme une petite folle à lui ‘baver’ dessus comme Lacus venait de le faire avec elle.

« Moi aussi Lacus… moi aussi… » lui dit-elle en souriant, mais pourtant optimiste à l’idée que cette blessure finirait par guérir.

La jeune femme se mit à rire lorsqu’elle reçut la petite claque douce et amicale de Lacus. Décidément, cette fille n’était jamais gênée! Elle faisait ce qui lui plaisait avec qui elle voulait… Le chandail d’Ama retombait tout le temps malgré tout, étant donné qu’elle était assise. Le remontant à chaque fois, la jeune femme finit par soupirer et simplement s’arranger pour que ses seins tiennent celui-ci… Celle s’était arrangée avec les moyens du bord… mais bon au moins comme ça, son chandail ne serait pas humide de bave! Et puis de toute façon, elle n’avait rien à cacher à Lacus. Cela ne semblait pas vraiment déranger Amaryllis qu’on voit encore plus son ventre… on ne voyait rien d’autre de toute façon, si un homme venait qu’à entrer… n’empêche que…

« Se serait bête si on me voyait comme ça, avec mon chandail en majorité sous mes seins… On me prendrait pour une folle! » dit-elle en riant tout en imaginant la scène.

Amaryllis ignorait tout de l’orientation sexuelle de son amie et franchement, elle s’en fichait complètement. Lacus pouvait la regarder autant qu’elle le voulait sans aucun problème… Après tout, pourquoi cela aurait-il posé problème?! Ce n’était tout de même pas de la faute d’Amaryllis si son chandail ne restait pas seul en place!

« C’est fou ce que j’ai pu m’amuser en si peu de temps! »

Lacus ne pouvait pas savoir combien Amaryllis avait hâte que celle-ci aille mieux. Elle avait un gros pincement au cœur en sachant que son amie n’irait probablement pas mieux avant des ses mains pour sa jambe. Heureusement que pour le ventre, se serait moins pire, mais la jambe, Ama préférait ne pas y songer… Enfin, cela ne l’empêcherait pas de tenter de la faire quand même, même si elle devait oublier l’idée de la chatouiller pour le moment. Dommage! C’était bien plaisant de pouvoir rire autant et de cette manière-là…

« Oui… mais bon, je préfère quand même que personne n’entre… Enfin, c’est pas grave… de toute façon, il faut bien que ça sèche. »

Oh oui, Lacus avait même plus que réussit ce qu’elle voulait! Amaryllis avait l’impression qu’un poids énorme était tombé de ses épaules. Elle se sentait bien d’avoir pu lâcher ainsi son fou avec une jeune femme aussi sympathique. Son mal de tête lui semblait même moins horrible à supporter!

« Hmm… mais je te jure que quand tu iras mieux, se sera à mon tour de te faire rire autant, chère Lacus! Tu le mérites bien… ça fait beaucoup de bien à vrai dire et pour rien au monde je n’aurais refusé cela à nouveau! »

Amaryllis continuait à parler du fait qu’elle ne s’était jamais autant amusé avec quiconque. Elle avait remarqué le regard de Lacus, qui était resté fixé un moment sur son ventre plat, pour qu’elle le détourne ensuite. Amaryllis avait beau être naïve à ses heures, mais elle n’était pas idiote… Se taisant un moment, elle finit parler à nouveau :

« Tu sais Lacus… ça ne me dérange pas du tout… »

Et franchement, elle préférait de loin savoir que Lacus pouvait l’observer sans problème que quiconque d’autre. Lacus était son amie après tout et… si cela pouvait lui faire plaisir, Amaryllis ne pouvait pas l’empêcher de faire quoi que se soit. De toute façon, la belle jeune femme ne lui sautait pas dessus comme une folle enragée.

« ‘Subir’?! Ça semble si terrible pour que tu crois ‘subir’ quoi que se soit?! Crois-moi, ça te feras le plus grand bien, Lacus! Je n’ai jamais tant rit de ma vie, Lacus… enfin, surtout depuis que tout a changé ici… »

Ama soupira. Elle profita de cet instant de répit pour s’étirer un peu et masser un peu ses pauvres joues qui lui faisaient mal pour avoir tant rit. Mais bon sang que cela lui avait fait du bien! On devrait faire des thérapies du rire dans cet orphelinat, cela remonterait le moral de tout le monde! Enfin, Amaryllis se voyait mal faire rire les orphelines de la même manière que Lacus s’Y était prise avec elle, mais en tout cas, se serait un très bon moyen.

« Lacus… » dit-elle doucement en s’approchant de la belle jeune femme. Elle lui prit délicatement le menton et la força à la regarder en face. « Ça ne me dérange pas le moindre du monde… J’ai beau être tombée amoureuse d’un homme qui est ici clandestinement et qui ne travaille pas pour le directeur, mais cela ne m’empêcher pas de te trouver terriblement belle et sympathique. Et entre toi et moi, personnellement, je préfère de loin que se sois toi qui me regarde ainsi que n’importe qui d’autre. Et pourquoi tu ne devrais pas me regarder ainsi? Que je sache, je ne t’ai rien interdit… »

Son visage était tout près de celui de son amie, comme si ainsi, elle comprendrait mieux qu’Amaryllis se fichait éperdument que Lacus puisse être attirée par les femmes et qu’elle pouvait la regarder autant qu’elle le voudrait sans le moindre problème. De toute façon, qu’est-ce que cela changerait?! Lacus aurait pu l’embrasser sans même qu’elle ne lui en veuille! Comment pouvait-on en vouloir à une femme aussi gentille, belle et douce comme Lacus de toute façon?

Amaryllis sourit et acquiesça. Elle n’y manquerait pas en tout cas! La pauvre Lacus avait trop souffert et rire comme elle l’avait fait pour Amaryllis lui ferait passer la tension et la détendrait beaucoup!
Bien qu’amaryllis sache qu’il y avait une limite à tout, elle ne semblait pas en fixer pour Lacus. Amaryllis ne pouvait pas le cacher : belle et douce comme cette femme était, elle aurait pu accepter à peu près n’importe quoi venant d’elle! Et pourtant, Lacus se fixait une limite… ce qu’Ama appréciait quand même beaucoup venant de sa part. Déjà que Lacus n’était pas plus gênée que cela d’agir assez bizarrement avec ses amies!

« T’en fait pas Lacus… je ne t’en voudrai jamais, qu’importe ce que tu feras ou décideras de faire. Tu es mon amie, et pour rien au monde cela ne changera mon affection à ton égard. Et… je ne te le cacherai pas : je te trouve belle et attirante en plus du tas de qualités que tu possèdes, je crois que je pourrai difficilement tout simplement me passer de ta présence. »

Amaryllis vint déposer un simple baiser sur le front de Lacus, avant de la serrer doucement contre elle alors que son chandail retombait à nouveau…

Amaryllis ne jugerait jamais Lacus sur ses attirances et semblait se ficher complètement que celle semble avoir une attirance pour les femmes… En fait, si Amaryllis n’avait pas eu Cain, elle serait probablement, elle-même, tombée amoureuse de l’une de ses sœurs. Les hommes d’ici n’avaient rien d’attirant et tous étaient horribles…

« Non, c’est moi qui devrait te remercier… après tout, je ne suis peut-être pas aussi ‘laide’ que je le crois vu ton regard à mon égard…. » lui dit-elle avec un sourire ravi.

Amaryllis ne disait pas cela pour mettre Lacus mal à l’aise, mais simplement pour lui dire qu’enfin, elle avait raison d’elle… Si une femme aussi belle que Lacus l’avait regardé ainsi, ce n’était sûrement pas parce qu’elle la trouvait laide! La belle jeune femme lui arrangea d’ailleurs son chandail… Touchant son ventre, Amaryllis fit une petite grimace en remarquant qu’il était encore humide… décidément, de la bave, c’était pire que de l’eau!

« Ah, mais oui.. c’est pas bête comme idée… Merci! Au moins ça tiendra… et j’ai l’air moins folle. Euhm… Lacus… est-ce que… je peux te demander une faveur? Ne parle jamais de cet homme clandestin, je t’en prie… si on venait qu’à le savoir, il aurait probablement beaucoup d’ennuis… » lui demanda-t-elle, sans ajouter qu’elle-même passerait un mauvais quart d’heure.

Les douces mains de Lacus venaient de temps en temps toucher son ventre alors que celle-ci faisait le nœud afin que le chandail tienne en place… Amaryllis ne put s’empêcher de rougir. Un rien et HOP elle rougissait! Enfin… au moins, Lacus pouvait être certaine qu’elle ne laissait pas Amaryllis indifférente… Les mains de celle-ci étaient si douces!

« Tes mains sont douces… très douces même… et… agréable à sentir un peu sur soi… » elle avait murmuré ses derniers mots, quelque peu gênée d’avouer qu’elle en avait aimé beaucoup aimer le contact sur son ventre… juste sous ses seins…

Oh oui, Lacus semblait avoir toujours un tas d’idées! Mais bon, celle-là, elle était tout simplement géniale.

« Merci, Lacus… merci! Je ne pouvais pas demander mieux… Je le cache dans ma chambre, mais… j’imagine qu’il ne pourra jamais rester là éternellement, mais personne ne doit connaître son existence… enfin, du moins, au niveau des hommes. Ils lui feraient regretter sa présence clandestine ici… »

Amaryllis ignorait que Lacus trouvait que son ventre était doux, mais tout ce qu’elle savait, c’était que la main de son amie l’était terriblement! Cette femme devait bien faire tomber des hommes et des femmes à ses pieds! En tout cas, Amaryllis y serait tombée… Elle aimait beaucoup Lacus, bien qu’il y ait plus d’amitié que d’amour, mais elle semblait tolérer à peu près n’importe quoi venant de celle-ci.

« Qu’est-ce que…? »

La question de la jeune femme resta coincée dans sa gorge lorsqu’elle sentit la main de son amie monter et descendre sur son ventre. Une main si douce… si agréable sur soi… si belle… si habile… Bien que Lacus semblait surtout déconner, Amaryllis en resta tout simplement bouche bée.

« Tu savais que ce n’était pas bien de se moquer des gens alors que c’est si agréable?! » dit-elle en blaguant, le visage complètement rouge de gêne bien qu’elle aurait donné n’importe quoi pour que Lacus ne cesse pas ses gestes. « Tes mains sont probablement aussi douce que toi, Lacus… »

Quoi?! Qu’est-ce qu’elle avait sa face? Elle était complètement rouge, d’accord, mais elle était si drôle que cela à voir?! Cette fille avait réellement une drôle de façon de voir les choses et de taquiner les gens, mais cela semblait bien plaire à Amaryllis. Les mains si douces de cette belle jeune femme ne déplaisait aucunement à Ama, loin de là même, mais jamais elle ne se serait attendu à le lui dire ainsi… en fait, elle semblait gênée de l’avouer, même si au fond, cela devait paraître énormément sur son visage…
Les paroles de Lacus la laissèrent un moment perplexe, mais le tout semble se dissiper lorsqu’Ama sentit la douce main, à nouveau, sur son ventre…

Amaryllis ne put s’empêcher de rire chaque fois que Lacus s’amusait à faire entrer et sortir son doigt du nombril de la jeune femme. C’était un peu étrange comme geste, mais cela semblait faire rire Amaryllis… Bon sang qu’elle était chatouilleuse!
Dommage que Lacus n’aille pas vraiment plus loin que cela… Oh, bien entendu, la jeune femme n’avait aucune envie d’aller trop loin avec Lacus, mais peut-être juste… un tout petit peu… c’était agréable au fond! Et puis… cela ne la tuerait pas de passer un autre très bon moment avec son amie.

« Tu sais… si tu veux aller un tout petit peu plus loin, tu peux… mais… pas trop… s’il te plait… Je t’apprécie réellement beaucoup Lacus et… cela ne me dérangerais pas vraiment d’aller un tout petit peu plus loin… »

Amaryllis ignorait si cela faisait plaisir à la jeune femme qu’elle lui propose une telle chose, mais au pire, celle-ci n’avait qu’à refuser, ce n’était pas vraiment plus grave.

« Moi non plus, Lacus… » murmura-t-elle d’un air gêné, sachant qu’elle n’aurait jamais rien proposé de tel à quelqu’un d’autre.

Décidément, il y avait des jours où elle s’étonnait elle-même! D’abord, elle proposait cela à Lacus sans même savoir jusqu’où celle-ci cesserait d’aller plus loin, mais ensuite parce que cela, elle ne le faisait jamais. Elle préférait mordre les gens qui osaient simplement aller plus loin qu’un simple regard –enfin, ‘mordre’, c’est une manière de parler- alors qu’elle proposait à Lacus d’aller plus loin que ce qu’elle faisait déjà! Amaryllis devenait peut-être folle, mais au moins, elle aimait sa folie.
Amaryllis vit son amie se penchée légèrement, de façon à l’embrasser, mais celle-ci sembla hésiter un moment. Avait-elle peur de la réaction d’Ama? Qu’est-ce qui pouvait tant la faire hésité alors qu’elle savait très bien que jamais, Amaryllis ne lui en voudrait et qu’elle resterait toujours son amie?! Mais enfin, Lacus se décida et fonça… au plus grand plaisir de la jeune femme aux cheveux noirs.

Les douces lèvres de Lacus rencontrèrent les siennes… si douces et si sucrées qu’elle aurait pu les croquer! Bien qu’Amaryllis n’ait embrassé que Cain jusqu’à présent, elle ne se fit pas prier pour répondre au baiser de Lacus… un baiser si doux, si sucré, si enchanteur! Et bon sang qu’elle embrassait bien! Si Lacus avait été un homme, elle en aurait fait tomber et rêver plus d’une… mais même si elle était une femme, elle gardait un charme irrésistible et des baisers… extraordinaires! Lentement, Amaryllis mit fin au baiser avant de s’adresser à son amie :

« Je suis contente que… tu ne refuses pas d’aller plus loin, Lacus… j’en suis très contente même… »

Puis, sans réellement prévenir la jeune femme, Ama vint l’embrasser à son tour… tentant doucement et timidement de trouver une faille de façon à ce que sa langue puisse aller trouver sa jumelle… Elle était gênée et complètement rouge, mais Amaryllis n,avait pas pu s’en empêcher.

Amaryllis lui fit un sourire ravit. Bien qu’elle soit tombée amoureuse d’un homme, cela ne l’empêchait pas non plus d’avoir un faible pour Lacus… c’était probablement cela qui l’avait insisté à lui dire qu’elle pouvait aller plus loin. Lacus était belle et terriblement gentille… pourquoi ne pas prendre du plaisir avec elle?! Elle était peut-être blessée, mais pas inapte. Amaryllis sentit la langue de Lacus venir vers la sienne… Elle ne refusait pas d’aller jusque là! Plus qu’heureuse, la jeune femme resta un moment à ‘s’amuser’ avec la douce et chaude langue de son amie. Elle était tout aussi agréable que ses lèvres sucrées. Mais lorsque la belle Lacus lui demanda ‘un peu plus loin’ Amaryllis mit un temps à lui répondre. Elle ‘trahissait’ en quelque sorte Cain en agissant de la sorte, mais… qui pourrait lui dire que Cain lui resterait à jamais fidèle vu le nombre de belles femmes qui se trouvaient ici?! Ne mettant qu’une ou deux secondes de plus à ce décidée, elle répondit doucement à son amie :

« Oui… et plus qu’un ‘peu’ je te dirais… »

Amaryllis l’invitait réellement à aller plus loin. Lui fixerait-elle des limites? À quoi bon?

« En fait… agit comme tu l’entends, Lacus… je ne refuserai rien. » finit-elle par dire, toujours aussi rouge de gêne bien que peu à peu sa peau reprenait une couleur normale.

Amaryllis ne fixait plus aucun barrière à son amie. Bien qu’elle ignorait que dans quelques jours, elle se ferait dépuceler par un homme qui la torturerait, Amaryllis ne compterait jamais cet acte pour un dépucelage. Lacus n’était pas un homme, même si Ama pourrait s’amuser autant, sinon plus… La jeune femme répondait au baiser passionné de Lacus, avec plus d’ardeur que les deux premières fois. Les lèvres sucrées de son amie étaient toujours aussi délicieuses… Jamais elle ne s’en lasserait!
Si la jeune femme avait été un peu plus chatouilleuse que cela au niveau du cou, elle se serait probablement mise à rire aux baisers de la belle Lacus… Mais le mieux, c’était probablement cette main qui remontait vers ses seins… la douce et habile main de Lacus… La belle rousse/brune commença à masser la poitrine d’Amaryllis…

N’importe quel homme de l’établissement aurait fait cela et il avait perdu ses deux yeux… mais Lacus. Ses gestes étaient doux et agréables, rien à avoir avec ces bêtes qu’étaient les hommes! Amaryllis vint lécher les lèvres de Lacus du bout de sa langue avant de l’embrasser tendrement, savourant les douces lèvres de Lacus avec bonheur. Bien qu’Amaryllis ne soit pas aussi téméraire que son amie –et aussi par peur de la blesser encore plus-, elle glissa tout de même très doucement, sa main droite, dans le chandail de la jeune femme. La main sur le dos de celle-ci, elle la fit remonter lentement, effleurant à peine la peau douce de Lacus… de façon à la faire frissonner un peu et à la chatouiller légèrement. Lorsque la main parvint à l’attache du soutient-gorge, Amaryllis ramena celle-ci vers l’avant, effleurant le tissu du bout de ses doigts.

Lentement et timidement, ses doigts touchèrent enfin à leur but ; la douce et généreuse poitrine de Lacus. D’un geste tremblant, elle parcourut celle-ci de ses doigts, mais sans pour autant enlever le soutient-gorge ou encore enlever le chandail de Lacus. Ses doigts effleurèrent même de temps en temps la peau terriblement douce de la jeune femme…

Décidément, cette femme n’avait et ne possédait aucune gêne! Elle avait enlevé son chandail, laissant enfin apparaître au grand jour sa poitrine généreuse et la main d’Amaryllis qui se trouvait sur celle-ci. Ama avait raison de dire que Lacus était tout simplement belle! Bien que sa poitrine soit bien généreuse, elle était loin d’être laide et flasque comme certaines… Une poitrine invitante, magnifique… n’importe qui pourrait avoir envie d’y toucher et de la caresser! Mais lorsque Lacus vint lui dire à l’oreille que c’était à elle d’enlever le reste, Amaryllis rougit encore plus –si c’était déjà possible!-. Malgré tout, elle ne put refuser une telle chose. Lentement et avant même de dégrafer le soutient-gorge de la belle Lacus, Amaryllis vint lui déposer quelques baisers à la naissance de la poitrine. Elle-même se surprenait dans ses gestes, mais c’était plus fort qu’elle. Elle devait ‘aller plus loin’…

Lentement, Amaryllis dégrafa le soutient-gorge de son amie et le lui enleva délicatement. Pendant un moment, elle dévora littéralement la jeune femme des yeux. Enfin de compte, Amaryllis avait peut-être une attirance pour les deux sexes… chose sûre : Lacus lui plaisait terriblement!

« Tu es si belle… » murmura-t-elle à l’oreille de la belle rousse/brune avant de mordiller doucement le lobe d’oreille de celle-ci, de gestes maladroits.

Sa main tremblante et inexpérimentée se dirigea doucement vers la poitrine de Lacus, avant de venir caresser doucement l’un de ses seins.
Ceux d’Amaryllis, par contre, semblaient déjà assez dur… elle était encore vierge, son corps réagissait au simple massage que lui procurait la main de Lacus et la vu du corps magnifique de celle-ci –malgré ses plaies- ne faisait ‘qu’empirer’ les choses.

Elle aussi?! Oh! Pas autant que Lacus, s’était assurée… cette femme avait un physique si attirant… Une poitrine généreuse mais ferme, des hanches invitantes, un ventre plat bien que couvert d’un bandage, des jambes à faire rêver n’importe qui! Bref, un véritable corps de rêve… Un corps que pourrait découvrir Amaryllis…
Complètement inexpérimentée, Amaryllis ne se fiait qu’aux réactions de Lacus pour savoir ce qui lui plaisait. Lorsque celle-ci gémit, la jeune femme lui jeta un regard surpris. Elle semblait aimer qu’on lui masse doucement la poitrine… tant mieux! Bien qu’Ama soit incertaine dans ses gestes, elle ne se faisait pas prier pour s’occuper de Lacus. Voulant lui procurer un maximum de plaisir, Amaryllis massait tendrement et doucement la généreuse et douce poitrine de celle-ci…

Lorsqu’on lui retira son chandail, Amaryllis ne put s’empêcher de rougir… et en particulier lorsque le soutient-gorge partit… La poitrine d’Ama était loin d’être aussi généreuse que celle de son amie, mais sans être trop grosse ni petite, elle restait bien ferme et agréable tant au touché qu’à regarder. Une poitrine bien simple, mais attirante.

« Lacus… je… comment dire? Personne… ne m’a jamais vu ainsi… » lui dit-elle, espérant qu’elle comprendrait que personne n’était jamais encore allé aussi loin avec elle.

Malgré tout, Amaryllis vint quand même enfouir sa tête dans le cou de la belle Lacus, léchant par moment quelques endroits, déposant parfois un baiser à un autre endroit… et ce, toujours en caressant la douce poitrine de Lacus...