arrivé en terre inconnu (vient qui veux)

Maelle se retrouva devant une grille un peu rouillée d'aparance. Elle poussa d'une main le battant et pénètra dans une allée. Il n'y avait absolument personne. Elle entendait déja derrière elle la voiture qui s'éloignait. Elle n'avait plus le choix que d'avancer. Avancer dans cet inconnu. Elle devait écrire son histoire ici et bien soit cela sera fait.
Maelle avançait donc avec sa valise d'une main et la seconde dans la poche de son petit blouson moulant. Sa jupe voletait a cause du vent. Ses cheveux faisait de même alors que Maelle regardait deavant elle ce batiment qui serait désormais sa demeure. Ses pas étaient plus ou moins tranquille. Elle n'aimait pas tellemnt aller vers ce qu'elle ne connaissait pas et qui sait , peu etre qu'elle avait atterrie ici pour des raisons calculer. Elle ne pouvait pas encore le savoir.

* pfff j'aurais du aller bosser plutot que de venir ici. Qu'est ce que cela va m'apporter. Me le demande. Il parrait qu'ils ont de curieuse manière ne plus par ici. Bahh remarque un peu sd'action c'est pas ininteressent. *

Telle étaient ses pensées alors qu'elle se retrouva au milieu de l'allée. Il lui semblait entendre des pas venir en sa direction..uhmm peu etre une allusination.

Yria avait encore une fois décidé d'aller faire sa petite promenade,après avoir opté pour le dehors du manoir.Elle descendit seule les escaliers,traversa le hall sa marche tranquille rythmée par les cris de douleur et de souffrance qu'elle conaissait si bien...depuis 8ans qu'elle était ici,elle pouvait oui...Ses yeux s'étaient promenés une énième fois sur les murs délabrés,couverts de crasse,et dans sa tête avaient encore raisonné les cris et les pleurs de ses "soeurs"car c'était comme cela qu'elle appelait les autres orphelines.Et sa tête avait été une nouvelle fois traversée par d'horribles images ou le sang et la torture régnaient en maîtres...

Sa grand et frêle silouhette s'extripa de la massive carcasse sombre de l'orphelinat.Ses yeux vert émeraude étaient posé sur le sol et ses longs cheveux noirs tombaient dans son dos,recouvert lui même d'un chemisier délavé.Les mains dans les poches de son jean déchiré,la jeune femme de dix neuf ans suivait avec tranquilité le chemin qui menait à la grille,pour le simple fait de marcher,tranquillement,et de se plonger dans ses rêves,car elle en avait Yria,avec toute l'arrogance et l'obscenité dont elle pouvait faire preuve,avec toute la haine qui lui rongeait le coeur,il restait en elle quleques fragements...de...paix...?Cachés certes,mais ils étaient bien présents.

La jeune orpheline se dirigea vers la grille rouillée,celle derrière laquelle elle s'était lassée d'éspérer une quelquonque fugue de cet endroit infernal...Elle releva la tête,et le vent vint fouetter son visage oval,et blême comme la mort.Ses yeux perçurent alors la silhouette d'une jeune fille ,qui sans aucun doute était nouvelle...la pauvre...la pauvre jeune fille dont les si beau yeux était jusqu'alors vierges d'horreurs,de sang et de martyr,le corps si frêler et si intact qui n'allait pas tarder à recevoir coups et blessures,la si belle voix,elle pouvait le deviner,qui allait bientôt se casser à force de crier...Sans un bruit,redevenant lucide et s'arrachant à sa rêverie,la jeune femme se dirigea vers l'orpheline.

Maelle était a michemin quand l'orpheline vint a sa rencontre. Apparement ce n'était pas une nouvelle, vu l'allure qu'elle avait et son regard un peu dur. Maelle se doutait qu'ici la vie allait etre rude mais..peu etre bien plus qu'elle ne le pensait.
Elle garda donc un air mefiant et salua sa camarade.

- Bonjour, Je m'appel Maelle Uldanion
Ce nom ne te diras pas grand chose et c'est tant mieux, il ne vaux pas grand chose.

Elle avait un leger sourire amusée sur le visage. Elle était méfiante mais pas antipaatique. De plus elle savait très bien qu'il lui fallait asser vite se faire à ce bahut afin d'avoir le moins de problème possible.

Yria la fixa avec un regard froid de ses yeux vert de printemps.Sa marche s'interrompit tranquillement tandis qu'elle écoutait la jeune inconnue lui adresser la parole.Elle put,alors détailler l'orpheline.Sa peau était aussi blême que celle d'Yria,quoique empreinte d'un peu plus de couleur,ce qui lui restait du monde qu'elle venait de quitter...De longs cheveux noirs lui tombaient dans le dos et flottaient autour de sa tête,volant au gré du vent.Son regard était sérieu et assez mature et son ton, dur et direct.Yria aimait ce genre de presonne méfiante,elle même était comme cela.

La jeune femme se présenta sous le nom de Maelle.Il parait qu'il n'évoquerait rien dans la mémoire de Yria.sans doute une orpheline s'était appelée comme cela,une défunte orpheline...sans doute...Yria n'avait pas envie de réfléchir à cela.Elle nicha cet réplique dans un coin de sa tête,assez rapidement pour entendre la seconde phrase de la jeune femme.Son nom ne valait pas grande chose...mouais...ce n'était pas faux remarque.Ici,les gardes ne se donnaient pas la peine d'appeler les orphelines par leur nom...

-Ne commence pas à te dévaloriser.Ceci est le boulot des gardes.Et tu as raison,il ne vaut rien,du moins autant de temps que tu restera ici.Et tu as à peu près autant de chances de sortir d'ici vivante que de rencontrer Dieu.

Elle avait dit cela sarcastiquement mais d'un ton nullement méchant ou agressif.Aucun sourire n'apparaissait sur son visage et ses mains étaient toujours enfoncées nonchallament dans ses poches tandis qu'elle consiédarit Maelle.

Maelle laissa sa valise sur le sol et jugea du regard cette personen qui lui parlait commeune véterante. Elle était peu etre nouvelle, mais n'aimait pas etre prise pour un bleu.
Alors tout en replaçant ses cheveux derrière sa nuque elle lui dit , et ce toujours avec ce même sourire amusé.

- Certes. Mais mon nom n'est aps digne d'etre retenu. Je prefere ne pas trop le notifier. Mais je ne suis pas du genre a me dévaloriser croiyez moi.
A ce qu'il parrait j'ai même une nature bourrine dans le sang. Enfin vous demandez au flic quia reçut ma porte en pleine face pour m'avoir dit que je devais le suivre.
QUand a mes chances de sortir croiyez moi je me les met de côté je ne peux pas mourire avant d'avoir vu quelqu'un

Yria daigna d'écouter la jeune Maelle même si au fond d'elle,elle soupirait intérieurement.Son visage n'était plus ensauvagé par la lueur glacée de ses yeux au regard pénétrant,comme si elle avait autrefois voulu voir au plus profond de la nouvelle.La longue tirade da la jeune femme était ponctuée de méfiance et de froideur,celle que Yria conaissait...la sienne...Elle ne laissa pas paraitre son étonnement vis à vis de Maelle et l'écouta jusqu'au bout.Elle était bien un peu pathétique...bah...elle changerait bien à force de vivre ici,Yria le savait,elle avait de l'expérience...

-Retiendront ton nom les esprits naïfs et gamins qui voudront ou devront les retenir.Je me fiche éperduemment de ton histoire qui m'intéresse autant que ce qu'il ya dans ta valise.Quand à ta mort,elle viendra lorsqu'elle viendra...mais tu aura le temps de connaitre les gardes de c't'e batiss' pourrav'.

Elle se retourna machinalement ,faisant face au bâtiment imposant,sombre et peu acceuillant qui se dressait devant elle et Maelle.Elle sentait petite,bien qu'elle soit agée de presque vingt ans mainteant.8ans qu'elle était là...dont quatre passés avec ces gardes qui avaient transformé ce paradis en enfer...Elle haissait les hommes...elle LES haissait...ses gardes qui se nourissaient de la souffrance des orphelines,buvant leurs cris déespérés et savourant la vue de leur sang...

Yria serra les dents.Combien de fois elle et ses amies avaient essayé de s'échapper d'ici,combien de fois elles avaient échoué mais repartaient avec l'espoir de réussir une fois prochaine...Combien de filles étaient tuées chaque mois...combien étaient violées chaque semaine...combien étaient torturées chaque jour...combien de cris poussaient elles chaque minute...
Une bouffée de rage et de haine monta en Yira mais elle se contenta de détourner la tête de l'orphelinat qu'elle fréquentait le moins possible,passant le plus clair de son temps dehors,à se balder,à penser à autre chose,ce qui restait d'amour dans son coeur meurtri...Ce qui restait d'espoir dans son esprit torturé...

-Et bien l'on pe dire que tu es une veterante. Mais tu ne devrais pas me juger aussi rapidement.
Ceci dit merci pour les mises en gardes , la mort me regarde. Et elle n'est pas si monstrueuse que tu le penses. Parfois elle est jouissive.
Enfin d'apres certains.

Maelle avait remarquer que Yria semblait emplie de haine vis avis des gardes. Cela crevait les yeux. Alors elle se dit qu'apparement c'étaient des gardes pir que ce qu'elle pouvait penser. Et bien soit. Elle ferait avec. De toute façon bourrine comme elle était certains allaient peu etre se retrouver avec un nez tordu.

-Il y a d'autres choses a connaître avant toute chose?

Maelle n'avait pas finit de parler.Yria ne s'en plaignit pas,mais il fallait ne vraiment rien avoir d'autre à faire.Elle se contenta de laisser courir les paroles qu'elle jugeait sans grande importance jusqu'à son cerveau, sa grande silhouette toujours immobile.

-Je suis une orpheline comme une autre.Tu peux très bien connaître ce manoir en une journée comme tu peux le connaître en trois jours.Le résultat sera le même.Ce sont des couloirs dont les murs sont parsemées de portes,menant aux chambres aux cuisines,à la salle de torture etc...Bien que le manoir soit grand,c'est toujours les même murs,les mêmes portes,les mêmes cris ,les mêmes pleurs,et sa pendant toute une journée.Même la nuit ils ne se taisent.

Je ne craint la mort et je suis du genre provocante,je ne le cache.Mais on ne sait jamais sur qui on va tomber.Les gardes ne reculent devant rien,il ne suffit pas d'être séduisante,doté d'une force colossale,pour leur échapper,il vaut mieux le sens de l'esquive,la plupart des filles se cachent.Même parfois les gardes subissent la torture de leurs semblables,on devrait tous les interner entre eux,mais sans nous...

Tu verras au fur et à mesure que tu passera du temps ici,tu finiras par détester cet endroit,comme nous le détestons tous.Tu verras que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue,plutôt aller en enfer,disent certaines,mais l'enfer...on y est déjà...Mais on ne peut plus reculer,on est ici,on y reste.

Yria avait dit cela tranquillement,sans un soupçon d'émotion,de quelconque tristesse ou haine dans la voix,comme si sa tirade était composée de phrases décrivant le temps qu'il faisait.On perçevait nettement une certaine nonchalance dans ce qu'elle disait.Elle détestait ce lieu,cet endroit,parfois,en se rappelant ce qu'elle subissait,elle aurait préféré ne pas être née...

-Tu découvrira par toi même et verra de tes yeux ce qui se passe ici.Là seulement tu me croieras ou pas,cela sera ton choix.Ici,on n'échappe à la torture,certaines n'échappent à la mort...sont tuées d'un coup ou succombent à leurs blessures.Le sang coule ici Maelle.Des âmes s'envolent,des corps tombent inertes et l'on ne les revoit jamais...Mais les cris retentissent souvent.Tu t'y habituera.M'enfin...je suis sure que tu finira tôt ou tard par avoir le déshonneur de recontrer les gardes.

Maelle commençait a trouver Yria asser seche dans son genre. Cela dit, elle se faisait surment un carapace histoire de ne plus souffire autant qu'auparavant. Maelle était loin d'etre idiote. Ellel avait parfaitement compris que la vie ici n'allait pas du tout etre simple. Mais elle s'en fichait pas mal. Elle ne se laisserait pas faire et certains y laisseront leurs dents. C'était une certitude.
MAelle haussa les épaules devant les paroles chaoyique d'Yria et lui fit un sourire amusée voir ironique.

- C'est si chaotique de par ta bouche que l'on pourrait vite fuire. Mais moi je ne suis pas prette à me laisser appeurée ou a m"appitoyer sur mon sort. Je ferais avec. S'il faut baisser les bras c'était avant de venir ici. Maintenant c'ets trop tard.
Ceci dit tu ne m'as toujours pas dit qui tu étais exactement a par une orpheline. Tu as bien un prénom je me trompe? Alors quel est il?
Moi c'est Maelle

Yria haussa les épaules.Sa jeune interlocutrice était courageuse certes,sans doute ne se laisserait-elle pas faire alors qu'elle rencontrerait un des gardes qui vivait ici.Soit.Elle la croierait ou non.

-Je ne remet pas en cause le courage que tu sembles posséder.Le courage ne compte pas ici.Ce qui compte...je ne sais pas,sans doute de suirvivre,ou de sortir d'ici.Bref tu le verra par toi même en rentrant dans ce...cet endroit ou tu vas passer un bon nombre d'années.

Elle désigna dédaigneusement le manoir.On aurait dit un château hanté.Il faisait peur,sa silhouette massive,et noire se découpant dans le ciel gris.Décidément le temps était à l'orage.Si l'on était pessimiste,on dirait que le soleil ne poinait jamais le bout de son nez dans cette mer de cumulus épais.Il faisait lourd,ce pourquoi Yria était en simple chemiser,comme à son habitude.

Maelle lui demanda,accompagné de son sourire ironique,son nom.Yri faillit sourire sur le coup.Son visage resta tout aussi blême et impénétrable que lorsqu'elle lui avait adressé la parole pour la première fois.Ses yeux brillaient d'une même intensité qu'à l'ordinaire,saillisant sur son maigre visage.Elle secoua brièvement la tête afin de remettre derrière sa tête les longs cheveux sombres qui encadraient sa tête avant de reprendre la parole.

-N'avais-tu pas dit précédement que les noms n'avaient de valeur ? Ne te l'aie-je pas confirmé ? Mais que gagnerais-tu à savoir mon nom ?

Ses sourcils se haussèrent un bref instant avant qu'elle ne pousse un soupir inaudible.

-Néanmoins,pour que tu le saches,je me nomme Yria Leghan.Mais mon nom de veut rien dire.On me tutoie en général.Et je tutoie mes "soeurs"dont tu fais à présent partie.

-mouaips soeurs, Orphelines. sa done un coté religieux tout cela. Mais je suis d'accord sur un point. Il faut bien que l'on se regroupe. Mais juste une chose. J'ai dit un nom pas un prénom.
C'est jouer sur les mots mais peu importe j'aime la précision.

Maelle avait garder son sourire ironique et repris tout en remettant ses cheveux en arrire. A cause du vent ceux la faisaient leur cinéma et cela Maelle n'aimait pas tellement.

- Enchanter quand même de te connaitre. Mais t'en fait pas pour ma survit. J'y arriverais très bien. J'ai eut un pere quasi mafioso alors tu sais. Cela ne me changera pas tellement dans le tableau . C'est juste plus difficile et plus passionnant. Voir stimulant. Vous n'avez jamais songer a leur rendre la monnaie en les rendant fous par exemple. PLutot que de vous laisser faire et attendre que l'on vous délivre. IL y a toujours une porte de sortie, plutot que d'attendre que lamort vienne ou que le messie ne se ramene.

-A mon souvenir tu m'a demandé mon prénom,mais j'ai l'habitude de le donner en entier.Je ne sais pas s'il y a des jeune femmes religieuses dans ce manoir,je ne leur ai jamais posé la question,peut importe.Nous sommes comme une famille ici,enfin en parlant des soeurs,j'ai entendu dire que certaines d'entre elles avaient une liaison avec certains gardes.

Elle haussa de nouveau les épaules et ses cheveux furent à nouveau les jouets du vent qui se renforçait,sans pour autant être violent.Ses mains étaient toujours enfoncées dans les poches de son jean et jouaient avec des papiers de bonbons restés dedans.Les histoires d'amour de ses soeurs ne la regardaient pas et pour tout dire,ne l'intéressaient guère.

-Je ne m'en fais pas.J'ai suffisament à m'inquiéter pour ma propre survie,remarque que ma vie est un long fleuve tranquille comparée à celle des autres.Cela pourra changer...mais cela est de même depuis bientôt huit ans.

Elle s'arrêta un instant pour répondre à la supposition de la jeune femme.Elle était comme toutes les nouvelles de cet orphelinat.Comme Lacus,dont le corps était barré de cicatrices aujourd'hui,comme Sarah qui avait rendu l'âme...

-Les rendre fous ? Combien de fois avons nous essayer de nous évader ou de les rendre fous de quelconque manière...Cela n'a jamais marché,certains gardent espoir,d'autre se taisent et subissent...

Mais sans doute cela changera-t-il qui sait ?L'espoir fait vivre comme dit le proverbe...Mais bon...pour l'instant,la journée ne fait que commencer,les cris retentissent déjà,les gardes sont tous levés,mais pas les orphelines.Tu veux que je t'accompagne ?

Maelle eut un sourire plus franc. Cette fille lui plaisait beaucoup au final. Elle était loin d'etre idiote.

- bahhh les temps change et d'apres un grand barbu il ne pleut pas tout les jours comme rien ne dure en ce bas monde. Alors bon. Autant ne pas trop non plus se prendre le choux fleur si tu veux mon avis.
Moi j eprend la vie comme elle vient. Mais si on marche sur mes plat de bande je ne me laisserais pas faire. Crevée je veux bien mais pas n'importe comment et pas pour n'importe quoi.
Enfin cela dis j'en suis pas à prendre la decision. Alors oui je veux bien un peu de ton aide. Je ne connais pas du tout les lieu. C'ets vaste comme manoir je suppose.

Enfin les rendre fous c'est idiot de ma part. Ils le sont déja pas vrai.

Il eut un leger rire ironique et lui fit un clin d'oeil complice.

-Je t'aime bien comem fille. tu as de l'a jugeotte et de la répartie.

Yria se surprit à sourire devant le clin d'oeil de la jeune fille.Enfin de compte,elle lui plaisait.Au moins,elle avait la particularité de ne pas être idiote celle là.Il y avait toujours un peu de fermté dans ses tirades,et l'on perçevait nettement sa féminitené dans ses propos,elle aimait cela Yria.

-Les gardes ne sont pas fous,au contraire,mais il est vrai qu'il ont l'amour de la torture,du viol et du sang,mais ils sont très fut-fut crois moi.

Le vent continua de jouer avec sa cascade de longs cheveux noirs et brillants,malgré la sombreté de ce matin brumeux.Mais Yria le laissait faire à présent.Elle aurait fière allure après tient !Mais bon,aussi provoctante et arrogante qu'elle était,Yria n'avait pas le défaut d'être égocentrique.Elle se fichait de son accoutrement autant que de sa coiffure.

-Tu ne crèvera pas si tu ne te caches pas et si tu ne donnes pas l'impression d'avoir peur.Et puis bon,ils vont pas tu tuer le perimer jour.

Elle lui adressa un faible clin d'oeil.

-Allez suis-moi.

La jeune femme tourna le dos à Maelle.Puis elle commença tranquillement à marcher vers le manoir,l'enfer dans lesquel elle vivait depuis si longtemps et duquel ne se faisait pas un plaisir de passer la porte...

(Dsl,bloque d'inspi ^^)

Maelle garda son sourire et et attrappa sa valise qu'elle plaça sur son épaule. Elle était d'apparence frêle mais ne manquait pas de force.

-Ummh ben en fait je n'aime pas me cacher. bien trop curieuse pour cela en fait. Mais d'accord je te suit. Apres tout je ne connais pas du tout les lieux.


Elle emboita le pas d'Yria. Decidement elle n'allait pas s'ennuyer ici et il y avait des gens interessant qui plus est.
Le vent joua encore un tour à Maelle en lui ebourrifant encore un peu plus ses long cheveux. Chose qu'elle ne supportait pas. Elle passa une main agacé dans sa chevelure et fit une moue. Ce n'était pas tant l'apparance qui la gènait, mais plutot la sensation.


(Chambre de Maelle)