L'enfer sous vos fenêtres |
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| Chambre de Tanaïs. | |
| | Auteur | Message |
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Gin Kakon
Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 10/10/2006
| Sujet: Chambre de Tanaïs. Jeu 13 Sep - 23:05 | |
| Le temps passait vraiment très vite, bien trop vite même, il s’amusait beaucoup avec la jolie orpheline, enfin, maintenant, il était temps de rentrer, il choisirait bien sûr d’aller dans sa chambre à elle, déjà parce que c’était bien mieux qu’il lui parle sur un terrain qu’elle connaissait bien pour qu’elle puisse être en confiance, et surtout parce qu’il n’avait pas de chambre, enfin, la seule qui l’avait portait les inscriptions « chambre du directeur », écrit dans de grosses lettres noires, heureusement d’ailleurs que son nom n’y soit pas inscrit, sinon il aurai eut de gros problèmes avec la jeune femme qui l’avait accompagnée au lac et s’était laissée embrasser par le directeur qu’elle aurait repoussé violemment en temps normal, enfin sans doute… Bon, peut-être qu’il avait un peu exagéré en disant qu’un rapport, naturellement consentant, pouvait être cent fois meilleur qu’un baiser comme celui qu’il venait d’offrir à la jeune femme, étant donné que tout le monde n’avait pas le même niveau pour ces choses là, et le jeune homme pouvait se vanter d’avoir un certain niveau dans cette matière! Quoiqu’il en soit, il fut heureux de voir que la magnifique Tanaïs ne l’avait pas rejeté quand il l’avait serrée dans ses bras, elle était chaude, et c’est alors qu’elle posa sa tête contre le torse du jeune homme qui afficha un sourire à peine perceptible et commença à lui caresser doucement les cheveux, il s’éclipsa ensuite pour essorer son caleçon et revint vers la jeune femme, elle commença alors à se déshabiller devant lui, le laissant bouche bée, elle était vraiment très excitante mais ne semblait même pas s’en rendre compte!
« OUAAAAAAAAAH! J’adore! »
Quand il vit ses magnifiques seins bouger aux rythme de ces mouvements, il souhaita qu’elle n’aie jamais fini de se rhabiller, d’ailleurs elle prenait tout son temps, c’était vraiment très bon ça! Il restait tout de même là à l’attendre, sans bouger d’un pouce, elle enleva également sa petite culotte après avoir remis son soutif’, il regarda avec un sourire caricaturé de gros pervers, ça l’amusait, vraiment, cette femme là avait tout pour plaire, un magnifique corps, une superbe bouille et un caractère vraiment agréable et facile à vivre! Quand elle eut fini de se rhabiller, il s’approcha d’elle et lui prit délicatement la main droite, elle lui avait proposé de rentrer dans l’orphelinat, chose qu’il avait bien sûr accepté de faire avec un grand enthousiasme, lui indiquant qu’ils iraient dans sa chambre à elle, il la tira alors un peu, marchant en lui tenant toujours la main, il savait par où se trouvait les quartiers des femmes, il rentrèrent donc tous les deux dans la cour intérieur et arrivèrent ensuite dans les escaliers, personne, trop occupés avec les femmes, sans doute… Une fois rendu dans la zone résidentielle des femmes, il chercha pour s’arrêter finalement devant une porte que la jeune brunette semblait avoir reconnue, il y entra car la porte n’était pas fermée à clef et sauta sur le lit en souriant, après quoi il regarda calmement la jeune femme et commença à lui parler…
« Tu sais on peut tester de suite pour les rapports, hein hein hein? »
Il ne rigolait qu’à moitié en disant ça, depuis qu’il l’avait vue nue, il ne pouvait s’empêcher, même avec toute la bonne volonté du monde, d’oublier ces magnifiques seins bougeant au rythme des mouvements de la jolie orpheline, il ne pouvait oublier cette vision qu‘il ne pouvait qualifier autrement que de paradisiaque, il retira alors ses chaussures et s’allongea comme si de rien était dans le lit confortable de la jolie jeune femme qu’il regarda en souriant… | |
| | | Tanaïs de Lamare
Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Ven 14 Sep - 2:32 | |
| [ -> Lac ]
Elle en train d’extraire l’eau de ses sous-vêtements en entendant le commentaire de Gin qui la fit rire un moment, secouant davantage sa poitrine. Tanaïs ne semblait pas se soucier de l’envie que son corps pouvait provoquer chez un homme. Elle avait tout pour plaire, même si parfois, son caractère était insupportable. Elle ne se rendait pas compte qu’elle était si enviable. Tout ce qu’elle savait, c’était que Gin n’était qu’un pervers et ça la faisait bien rire. Un pervers gentil qui regardait sans toucher. Elle l’adorait.
« Espèce de pervers… enfin, c’est déjà bien que tu ne commences pas à baver. » dit-elle, blaguant.
Quand elle eut terminé de s’habiller, Gin lui prit la main et préféra aller à sa chambre. Il voulait peut-être lui éviter de voir le bordel de sa propre chambre, qui sait? C’était ce que Tanaïs imaginait, puisqu’elle ne se doutait pas du tout que la chambre de Gin était celle du directeur. Mieux valait qu’il attende encore avant de le lui dire… Enfin, de toute façon, à cette heure-ci, le dortoir était toujours vide pendant des heures et des heures. Les orphelines ne semblaient pas se sentir en sécurité dans le dortoir. Pourtant, il n’y avait jamais personne, sauf la nuit. Gin et elle seraient tranquilles. La jeune femme le guida jusqu’à la porte de sa chambre quand ils furent dans le dortoir. La chambre était de taille moyenne. Ni trop petite, ni trop grande. Juste parfaite. Il y avait quelques cadres sur les murs. La plupart représentaient des images de paysages ou d’animaux. Une commode servait à Tanaïs pour ranger ses vêtements et quelques objets. Elle avait, aussi, non loin de la porte, une petite table et une chaise. Le lit trônait au fond de la pièce, sur le mur. Une fenêtre juste au-dessus du lit était couverte par un rideau, mais la lampe éclairait la pièce.
« C’est ma chambre… Tu pourras passer quand tu veux, je ne ferme jamais la porte à clé. Le dortoir est presque toujours vide, alors je n’en vois pas l’utilité. »
Il sauta sur le lit alors que Tanaïs refermait la porte de la chambre. La pièce était beaucoup plus petite que l’infirmerie… C’était la première fois qu’elle remarquait combien elle pouvait être proche de Gin. C’était maintenant qu’elle se rendait compte à quel point il arrivait à la calmer… Elle en venait presque à se demander ce qui lui prenait. Pourquoi était-elle plus calme avec Gin qu’avec n’importe qui d’autre? Pourquoi se sentait-elle si bien avec lui? C’était tellement étrange. Puis, l’homme parla, la faisait éclater de rire. Il ne blaguait qu’à moitié, elle s’en rendait bien compte, mais de la manière dont il parlait, c’était plutôt marrant! Elle fit comme lui, elle retira ses chaussures, puis, elle alla s’asseoir sur son lit. Gin, lui, s’y était étendu.
« Je ne peux pas te dire oui et je ne peux pas te dire non. Ça m’intrigue beaucoup de savoir ce que ça peut faire quand on n’est pas violé et puis je t’aime beaucoup et je sais que tu ne me feras… pas de mal, mais… Je… je ne sais pas. C’est… trop… Ça me fait trop peur, Gin. Je me demande tout simplement si j’arriverai un jour à aller plus loin qu’un baiser. D’après toi, qu’est-ce que je dois faire? Te dire oui et te laisser le champ libre? Ou te dire non? »
Elle prenait un risque. Si Gin disait oui, elle pouvait tenter le coup, elle l’arrêterait si elle n’aimait pas ou qu’elle changeait d’avis. S’il disait non, elle se contenterait de se casser la tête à imaginer ce qui pouvait être mieux qu’un baiser de Gin. | |
| | | Gin Kakon
Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 10/10/2006
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Ven 14 Sep - 23:35 | |
| Quand elle rigola, sa poitrine s’agita encore plus, quel magnifique spectacle elle lui offrait, il rougit, sans le vouloir, bien évidemment, et puis qui n’aurait pas eut la même réaction que lui en voyant ça il n’y avait pas d’ailleurs que cette partie de son corps qui témoignait de son excitation et du point auquel il appréciait ce spectacle, enfin, heureusement ça ne se voyait pas énormément car il s’était assis, et quand il s’était enfin relevé, tout était repassé à la normale, enfin, une fois qu’il fut rendu dans la chambre de Tanaïs, il sauta sur son lit qu’il trouva d’ailleurs bien confortable et commença à lui parler de cette chose qu’elle lui avait dite précédemment, elle sembla être prise un court instant dans ses pensées et fini par le rejoindre sur le lit, enfin en s’asseyant uniquement… Elle semblait hésiter terriblement, elle hésitait beaucoup et il pouvait bien le comprendre, lorsque la jeune femme lui demanda ce qu’elle devait faire, il commença à lui caresser doucement le dos, la massant avec affection, et déposant de temps à autres un petit baiser timide au niveau de la nuque de la jeune femme, il était bien, là, derrière elle, tripotant sa peau froide et délicieusement douce, elle était vraiment quelqu’un d’exceptionnel autant physiquement que caractériellement, il l’appréciait vraiment énormément… Au bout d’un petit moment, il commença à approcher ses lèvres de son oreille gauche pour souffler légèrement dessus en lui disant que si elle aimait ce qu’il allait lui faire elle pouvait plus que lui dire oui… Il commença donc à lui léchouiller doucement le lobe de l’oreille, laissant passer ses lèvres dessus, délicatement, il voulait la faire frissonner de plaisir, mais surtout ne pas l’exciter, pour qu’elle en demande plus par elle-même, c’était ainsi qu’il fonctionnait, avec cette femme là tout du moins, il savait parfaitement s’adapter… Avec une grande tendresse, il commença à caresser les cheveux de la jeune femme, les faisant glisser entre ses doigts, ils étaient doux et lisses, vraiment très agréables à caresser, à tripoter…
« Tu sais que la nature t’as gâtée sur tous les points? »
Il disait bien sûr ça en souriant et entreprit de commencer à attaquer des parties plus sensibles, il posa sa main droite, qui était assez chaude, sur le ventre plat de la magnifique Tanaïs, la caressant doucement, laissant sa main remonter, lentement et progressivement, vers le soutien gorge de la belle jeune femme, sur lequel il passa sans appuyer, puis il passa sa main sur la seule partie des seins qu’il pouvait toucher, il commença alors à ôter le haut de la jeune femme, continuant à lui caresser amoureusement le ventre, il aimait bien ce contact, elle avait vraiment un corps très agréable… Il ne tenait presque plus, mais il se devait d’attendre la permission de la belle pour pouvoir accélérer un petit peu les choses, qui étaient déjà rendues à un très bon point, il dégrafa alors rapidement et avec une grande habilité son soutien gorge blanc encore un peu humide, puis il commença à lui caresser les seins avec sensualité, cherchant à la faire frissonner de plaisir…
« Si tu aimes ça alors dis toi que les rapports sont dix fois mieux! » | |
| | | Tanaïs de Lamare
Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Sam 15 Sep - 1:53 | |
| Elle aimait bien le voir rougir. Il avait tellement le don d’être charmeur et d’exagérer, parfois, son caractère de voyeur, mais cela ne l’empêchait de rougir quand il semblait plus gêné. Ça lui donnait un petit côté plutôt mignon, attendrissant. Au moins, il ne jouait au gros dur à cuire comme certains. Tanaïs, une fois qu’il furent à sa chambre, fut incapable de répondre par elle-même à Gin d’un simple oui ou d’un simple non. L’homme semblait comprendre son hésitation à lui dire oui, à se donner à lui. C’était ça qu’elle appréciait le plus chez Gin. Il savait la comprendre… et il savait toujours la persuader de dire oui quand il voulait quelque chose. Il savait la mettre en confiance et faire tomber petit à petit ses peurs avec lui. La jeune orpheline laissait l’homme lui caresser le dos sans rien dire, profitant simplement du moment pour se détendre un peu. Elle laissait son esprit vagabonder doucement, s’amusant à comparer son stéréotype des hommes et Gin. Elle pourrait lui dire oui, là, maintenant et elle était certaine qu’elle ne souffrirait même pas, que Gin ne lui ferait aucun mal. Gin ne la pénétrerait jamais de force, lui. Tanaïs sembla revenir dans la réalité en sentant le souffle chaud de sur sa peau. Ce qu’il dit la fit légèrement sourire. Elle était curieuse de savoir ce qu’il allait lui faire. Elle aimait bien ce petit massage, c’était agréable, alors pourquoi pas ce qu’il avait en tête? En sentant de Gin lui léchouiller le lobe de l’oreille avec sa langue, son sourire s’élargit alors qu’elle était parcourue d’agréables frissons. Elle aimait bien. C’était la première fois qu’on lui faisait cela. Enfin, il était vrai que ses violeurs ne s’étaient jamais attardés à se demander si Tanaïs prenait du plaisir ou non. En fait, plus ils lui faisaient du mal, plus ils avaient semblés s’amuser à attendre ses cris et ses pleurs. Mais tout cela, c’était terminé, à présent. Gin, au contraire, semblait éveiller son corps et son esprit à toutes ces nouvelles sensations de plaisir. Le corps de la jeune femme en voulait déjà plus. Tanaïs en voulait plus, malgré sa peur.
Elle ignorait la source de ce soudain besoin. La jeune femme ne répondit rien aux propos de Gin, mais sourit. Elle sentit la main de l’homme se poser sur son ventre plat. Elle était chaude, cette main… Tanaïs avait l’impression que cette main la brûlait partout où elle passait sur sa peau. C’était tellement agréable… Pourquoi est-ce que ce genre de plaisir n’existait pas lors d’un viol? Parce qu’un viol était un viol, probablement. Gin ne la violait pas… elle se laissait faire parce qu’elle le voulait. L’orpheline eut un instant de crispation en sentant la main de l’homme remonter sur son ventre pour aller sur sa poitrine, passant seulement à l’endroit où le vêtement ne couvrait pas ses seins. Tanaïs ne mit pas longtemps à se détendre à nouveau. Gin était trop doux pour qu’elle ait peur plus longtemps que quelques instants. L’homme la tenait : Tanaïs se donnerait à lui tant qu’il restait aussi doux et tant qu’il la laissait se familiariser avec ses gestes, comme il le faisait présentement. Quand il dégrafa son soutient-gorge, elle sourit.
« Même un soutient-gorge avec un cadenas ne te résisterait probablement pas, Gin. » fit-elle, voyant qu’il semblait avoir enlever ce genre de chose à maintes et maintes femmes dans sa vie, pour être aussi rapide et habile.
Tanaïs avait encore les seins humides et froids à cause de sous-vêtement. La main de Gin y était si chaude… La jeune femme, presque inconsciemment, pencha légèrement la tête vers l’arrière. Les pointes de ses seins s’étaient durcis. Son corps réagissait à ce doux plaisir que personne ne lui avait jamais fait connaître.
« Fais-moi connaître, Gin… Fais-moi découvrir… » lui répondit-elle, ajoutant qu’il avait carte blanche sur tout ce qu’il pouvait voulait tenter avec elle, tant qu’elle ne souffrirait pas comme lors d’un viol.
La première fois que l’on l’avait pénétré, elle avait cru mourir de douleur. L’homme n’avait pas été doux, mais au fil du temps, elle avait eu de moins en moins mal à se faire violer. C’était ce genre de sensation qu’elle ne voulait plus revivre. Néanmoins, elle faisait confiance à Gin. Il ne lui ferait jamais aussi mal. | |
| | | Gin Kakon
Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 10/10/2006
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Dim 16 Sep - 16:58 | |
| Gin adorait Tanaïs, sans doute l’appréciait il car il avait dû faire des efforts pour qu’elle consente à quelque chose avec lui, oui il s’était vraiment donné pour qu’elle accepte enfin de coucher avec lui et il sentait qu’il allait l’apprécier plus que toutes les autres femmes qu’il avait déjà prises auparavant, elle avait véritablement tout ce qu’il recherchait, une jolie poitrine, des fesses parfaites, un joli minois, en un mot elle était l’illustration parfaite que l’on aurait pût coller dans le dictionnaire à coté de perfection, il se rendait compte seulement maintenant à quel point il la voulait, dans toutes les positions possibles, il lui ferait goûter à ce plaisir que ces attardés d’agresseurs ne lui avaient jamais fait goûter, même pas brièvement, et pourtant elle faisait bien plus que le mériter, elle méritait vraiment de connaître le plaisir ultime, l’orgasme, chose que lui promettait fièrement le jeune directeur, il réussirait à la faire jouir, et même plus encore, quand il dégrafa son soutien gorge, elle lui fit un commentaire qui le fit sourire et auquel il répondit par un petit titillement de son téton droit avec le bout de son index, dire d’elle qu’elle était parfaite était un véritable euphémisme, elle était exactement le genre de femme dont chaque homme a rêvé au moins une fois dans sa vie, et elle s’abandonnait pour la première fois à un homme, en tout cas pour la première fois de manière consentante, certes elle n’était pas très active mais c’était plus que compréhensible, elle hésitait, et puis c’était à lui de lui faire plaisir, et certainement pas le contraire, elle semblait particulièrement sensible au niveau des oreilles, il allait lui faire connaître le bonheur, le nirvana, l’orgasme absolu, il voulait qu’elle apprécie tout ce qu’il ferait, il voulait qu’elle jouisse, qu’elle en redemande, d’un geste rapide, il l’allongea et l’embrassa, sa tête se trouvant au dessus de celle de la magnifique orpheline qu’il avait apparemment plus que convaincue, il se montrait aussi tendre et attentionné qu’il lui était possible de l’être avec Tanaïs, il l’aimait vraiment énormément cette femme là, dès qu’il eut fini de l’embrasser, il commença à lui léchouiller les mamelons, il les mordillait aussi un peu, c’était vraiment très bon, il adorait la jeune femme…
« Tu es la plus belle femme que j’ai jamais vu de toute ma vie, c’est vrai… »
Il recommença alors à l’embrasser goulûment, vraiment il adorait cette femme là, tandis qu’il lui massait avec douceur et affection ses seins, gros et fermes, jamais il ne s’en lasserait c’était trop parfait, et elle aussi elle le voulait, elle aussi elle voulait qu’il lui fasse découvrir le vrai, l’unique plaisir, ils étaient vraiment sur la même longueur d’onde… Il posa sa main droite chaude de nouveau sur son ventre, la caressant doucement, allant tout de même de plus en plus bas à un rythme très lent, il voulait qu’elle n’en puisse plus, qu’elle veuille qu’il le fasse, qu’elle le lui demande, c’était ainsi qu’il fonctionnait, car même avec une personne qu’il appréciait comme l’orpheline, il devait d’être le dominant, celui qui donne du plaisir, caresser Tanaïs était vraiment quelque chose d’excellent, elle était si froide et si douce, d’ailleurs elle était encore un peu mouillée à cause du petit tour au lac, ce qui rendait sa peau encore plus lisse que d’ordinaire, c’était vraiment comme caresser du velours, sa peau était toute lisse, glissante, il adorait réellement la toucher, laisser sa main se balader dessus, une fois qu’il fut arrivé au niveau du bas ventre, il remonta rapidement sa main vers les seins de sa belle orpheline et les malaxa avec calme et douceur, continuant de l’embrasser dans le cou, comment pouvait-on se montrer violent avec une telle perfection en face de soi? Il fit alors glisser sa langue le long du cou de la belle orpheline jusqu’à arriver à son téton qu’il léchouilla avec envie, puis il descendit encore jusqu’à arriver au nombril, il la chatouillait avec s langue en traçant de petits cercles autour de son nombril, une zone qu’il savait très érogène et sensible chez les femmes…
« Alors? » | |
| | | Tanaïs de Lamare
Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Dim 16 Sep - 19:24 | |
| Oui, Tanaïs hésitait à agir. Elle avait peur que si elle bougeait trop, elle serait portée à attaquer Gin. Elle n’avait jamais accepté qu’un homme pose ses mains sur son corps avant maintenant et ça lui faisait un peu peur. Elle ne voulait pas gaffer avec Gin, mais elle voulait, elle aussi, lui faire plaisir. La jeune femme ne savait pas faire grand chose, mais il y avait certaines actions pour lesquelles on l’avait souvent forcée… Elle pourrait faire plaisir à Gin en puisant dans ces actions qu’elle avait toujours trouvées horribles, mais qui semblaient plaire aux hommes. Oui, elle voulait que Gin caresse son corps. Oui, elle voulait connaître ces doux plaisir qu’il pouvait lui faire connaître. Oui, elle voulait le sentir en elle. Mais elle voulait aussi donner du plaisir à Gin. Tanaïs trouvait un peu injuste pour lui qu’il lui donne tant de nouvelles sensations, sans qu’elle-même ne réagisse plus cela. La jeune femme se laissa allonger sur le lit, le cœur battant. Gin ne l’attacherait pour la forcer, songea-t-elle, pour se calmer. Ce n’était pas le moment d’arrêter ça là. Elle commençait à peine à comprendre comment on pouvait prendre du plaisir à se faire caresser et embrasser. D’ailleurs, Tanaïs commençait à réagir au baiser de Gin. Elle réagissait timidement et maladroitement, mais elle réagissait. L’orpheline ne regrettait pas sa baignade au lac. Son corps était encore tout froid, mais la bouche de Gin était chaude. Ses mains se crispaient sur les couvertures du lit. Tanaïs n’avait pas peur, elle aimait simplement énormément ce que l’homme lui faisait. Elle aimait sentir les léchouilles, mais plus encore les doux mordillements. La jeune femme s’était décidée : peur ou non, elle se donnerait tout entière à cet homme et elle ne lui ferait pas regretter ces si doux moments. Elle trouverait un moyen de le remercier.
« Pour ma part, j’ignore si je peux dire que tu es beau… mais je sais que je peux dire que tu es le plus magnifique et sur tous les points. »
Gin n’avait pas eu tord, au lac… c’était lui le boss. Quel autre homme pouvait simplement lui arriver à la cheville? Aucun, selon Tanaïs. Il savait tout faire de ses mains et sa bouche, il était doux et fort, gentil mais ne se laissait pas marcher sur les pieds. Un homme parfait, tout simplement. Elle ignorait pourquoi elle lui faisait tant confiance, une confiance presque aveugle… Elle savait seulement qu’elle le voulait en elle. Elle voulait connaître cette première fois, de façon consentante, avec lui, le directeur de cet enfer… Quand il revint l’embrasser, elle passa ses bras autour de son cou alors qu’il lui massait les seins. Elle réagissait de moins en moins timidement, mais elle avait toujours cette impression d’horrible maladresse. Gin devait avoir l’impression qu’il allait coucher avec une belle femme vierge! Enfin, c’était presque le cas, tout compte fait. Il ne manquait que la virginité à Tanaïs. Pour le reste, elle n’avait aucune expérience en la matière… Elle aimait qu’il lui caresse le ventre et les seins. Tout son corps était parcourut de doux frissons de plaisir. Tanaïs avait encore l’impression que la main de Gin était au niveau de son bas ventre, alors que celle-ci était déjà remontée à sa poitrine depuis un moment. Devait-elle lui demander de la débarrasser de ce pantalon pour qu’il aille le fasse? Pouvait-elle lui retirer son haut, à lui aussi? Elle lui offrait tout ce qu’elle avait : sa tête, ses cheveux, ses lèvres, son cou, ses seins, son ventre, ses fesses, ses hanches, son entrejambe, ses jambes… Mais elle voulait aussi que lui se donne à elle. Tanaïs frissonna de plaisir en sentant la langue humide de Gin parcourir un peu son corps. La jeune femme avait chaud, même si sa peau restait froide. Elle avait l’impression que sa respiration était plus rapidement. Peut-être était-ce parce qu’elle avait peur quand même, malgré son envie d’aller encore et toujours plus loin.
« Tu es… tout simplement… parfait, Gin. C’est comme tu le disais… encore mieux que le baiser. J’ai l’impression de voguer sur un beau nuage blanc… C’est tellement bon… tellement agréable… Mais… Je sais que je ne réagis pas beaucoup, mais j’aimerais, moi aussi, pouvoir te donner ce genre de sensations. Je ne sais pas faire grand chose, mais il y a quelques trucs qui semblent plaire aux hommes et que je sais faire… »
Elle ne connaissait pas les noms des actes, par contre, mais elle espérait pouvoir faire plaisir a Gin. Les hommes semblaient aimer qu’on prenne leur sexe en bouche. Tanaïs n’avait jamais comprit comment ils pouvaient prendre du plaisir à cela, mais peut-être que Gin aimerait. Et puis il y avait les caresses, comme il le faisait pour elle.
« Puis-je? » fit-elle, pointant le haut de Gin, pour lui signifier qu’elle voulait le lui retirer. « Je n’ai pas envie de finir nue et de te savoir encore habiller! Tu as beau être doué de ta bouche et tes mains, mais je veux aller jusqu’au bout… Je veux connaître… Je… je veux te… savoir en moi… » | |
| | | Gin Kakon
Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 10/10/2006
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Lun 17 Sep - 21:26 | |
| Il sentait qu’il faisait plaisir à la jeune femme, et c’était d’ailleurs là son but premier et il semblait bien atteint pour l’instant, il était vraiment fier de lui, il se débrouillait toujours assez bien dans le style doux, chaque caresse qu’il offrait à sa jolie et innocente orpheline était calculée au centimètre près, il faisait vraiment attention au moindre détail… Il avait dans son lit, et ce n’était guère une hyperbole, la plus belle, resplendissante de toutes les créatures qu’il avait pût rencontrer dans toute sa vie jusqu’à présent, une poitrine grosse et ferme, une peau qui faisait passer le plus doux des velours pour de l’écorce pourrie, des yeux innocents, de superbes cheveux tirant entre le brun et le roux, mais surtout des fesses vraiment incroyables, il se sentait dur rien qu’en les voyant à travers le jean très moulant de la belle orpheline, dire qu’elle l’excitait était un vrai euphémisme, elle était vraiment faite comme une déesse, d’ailleurs cet orphelinat regorgeait de beautés, sauf qu’aucune n’arrivait ne serait ce qu’à la cheville de Tanaïs… Elle était véritablement l’incarnation de la beauté, si magnifique, des formes parfaites, une démarche sensuelle et excitante, si belle et pourtant des ordures avaient pût se montrer violent avec elle, des types avaient osé se montrer violents avec une si fantastique créature, bande d’abrutis dénués de cervelle, avec douceur, il continua d’embrasser la jeune femme, d’ailleurs il sentait qu’elle commençait à réagir, avec timidité et peur, mais au moins elle réagissait, c’était déjà ça, il ne voulait que le bonheur de celle qu‘il considérait désormais comme SA belle, son propre plaisir à lui lui important désormais vraiment très peu, il vit ses mains douces et belles se crisper, serrer les draps, c’était si excitant, il la voulait, il voulait la faire jouir, lui faire connaître cet ultime bonheur que pouvait être l’orgasme, il l’appréciait vraiment énormément, elle lui répondit ensuite qu’elle ne savait pas si elle pouvait dire qu’il était beau mais elle lui certifiait qu’il était le plus magnifique qu’elle avait vu sur tous les points, ça le fit rougir et il répondit à ce compliment par un mordillement de son mamelon gauche, qu’il commença ensuite à suçoter tendrement, elle passa alors ses mains autours de son cou, signe qu’elle commençait à devenir active dans cette relation, c’était vraiment bon pour le moment, il devait tenir, espérer pour obtenir ce qu’il souhaitait, à savoir l’avoir à lui pour toujours, quand il avait un projet, il ne lâchait pas le morceau, non il n’abandonnait jamais, Ce qu’il aimait le plus chez Tanaïs c’était son ventre, joliment plat et vraiment très doux, mais en y repensant vraiment très bien, il aimait tout chez elle, ses hanches invitantes, ses seins, énormes et bien fermes, il se saisit alors d’elle par les hanches et les colla à son bassin pour ressentir toute la chaleur du corps de la belle jeune femme…
« Vraiment, tu m’excites! »
Il commença donc à défaire les boutons du jeans moulant de la jeune femme et commença à lui caresser les cuisses avec une très grande envie, il la désirait si fort… Elle pointa alors sa chemise noire en disant qu’elle savait faire quelques chose que les hommes adoraient, pensait elle à une fellation? C’était le genre de pratique par excellence qui excitait tout homme, surtout qu’elle avait des lèvres délicieuses qu’on aurait pût croire faites pour ça! Oui il voulait sentir son sexe durci dans la jolie bouche de la jeune femme, elle était vraiment beaucoup trop belle, il la désirait énormément, alors ainsi il avait eut raison, oui ça il le savait, elle appréciait, apparemment, énormément ce qu’il lui faisait, quand elle lui demanda implicitement de retirer son haut, il s’exécuta et retira même son jean, se révélant en boxer, un boxer noir déformé par l’excitation du jeune homme… D’un geste très affectueux et aimant, il caressa la joue de la jeune femme, avant de ne lui masser les fesses avec une envie qui était plus que visible, presque palpable même, elle lui dit alors qu’elle voulait le sentir en lui, il commença à arquer ses sourcils et, après avoir souri un coup, il commença à caresser les lèvres de son vagin au travers de la petite culotte blanche de Tanaïs…
« Je t’adore, tu es la meilleure! » | |
| | | Tanaïs de Lamare
Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Jeu 20 Sep - 1:05 | |
| L’envie de Gin lui semblait plus que palpable. C’était hallucinant! Tanaïs avait peine à croire qu’elle pouvait lui faire tant d’effets… L’homme avait retiré lui-même son propre chandail et ses jeans. C’était ce qui rendait l’envie de Gin probablement plus que palpable… Elle était terriblement visible. Néanmoins, il restait doux avec la jeune femme, ce qu’elle appréciait énormément. Elle-même avait beau vouloir le sentir en elle, mais sa peur persistait. Elle était contente que Gin ne lui saute pas dessus. Pas maintenant en tout cas. L’homme n’aurait probablement pas à être aussi doux et attentionné s’il y avait une prochaine fois. Tanaïs saurait à quoi s’en tenir et elle n’aurait pas peur. La jeune femme ne se crispa pas quand elle sentit les doigts de Gin sur sa petite culotte blanche. C’était trop bon pour qu’elle ait peur ou qu’elle veuille tout arrêter là. Elle frissonnait de plaisir en se mordant légèrement la lèvre inférieure. C’était tellement agréable. Gin faisait des miracles avec ses mains… Se redressant un peu, elle vint déposer un simple baiser sur les lèvres de Gin.
« Mon pauvre petit Gin… Tu me fais voguer sur un beau nuage, mais toi… tu ne pourras plus remettre ton caleçon avant un moment, on dirait, si tu ne veux pas étouffer dans celui-ci. On va voir si tu ne fais que m’adorer après ce que je vais te faire. Fais-moi signe quand tu voudras que j’arrête. »
Sans rien dire de plus, elle s’écarta de Gin pour le laisser s’allonger sur le lit. Elle retira sa petite culotte. L’homme avait beau être déjà excité au vue de son caleçon, Tanaïs voulait l’exciter encore plus. Elle voulait lui faire plaisir autant qu’elle-même en avait ou en aurait. Elle se sentait prête à l’accueillir en elle. Elle le voulait, là, maintenant et tout de suite, mais elle se devait d’attendre. Elle voulait, elle aussi, lui faire plaisir. Tanaïs sourit faiblement à Gin et s’agenouilla sur le lit, entre les jambes de l’homme. Se penchant au-dessus de lui, elle se mit à dessiner les courbes de son corps et ses muscles du bout de son index. Ses seins bougeaient de temps en temps, à certains de ses mouvements, alors qu’elle chatouillait probablement Gin à quelques endroits là où passait son doigt. L’autre main de l’orpheline jouait avec le haut du caleçon de Gin, comme si elle hésitait à le lui enlever, avant de finalement commencer à glisser doucement sur celui-ci, effleurant de temps en temps l’entrejambe de l’homme. Puis, quand ses deux furent au niveau du sous-vêtement de l’ancien militaire, la jeune femme commença à le faire lentement glisser. Elle s’écarta l’espace d’un instant pour le retirer complètement à Gin et se réinstalla à sa position initiale, entre les jambes de l’homme. Tanaïs resta un moment sans bouger, observant le sexe de Gin, comme si elle le jugeait. Elle savait que tous les hommes n’avaient pas des sexes identiques, mais celui de Gin l’impressionnait. Il était plus gros que ceux de ses violeurs.
« Hmmm… monsieur est bien équipé à ce que je vois… » fit-elle à l’intention de Gin, avant de songer pour elle-même, mais à haute voix : « Je me demande si ça va rentrer partout… »
Pour la bouche, elle en doutait, mais pour le reste, se serait à Gin de voir jusqu’où il pourrait entrer et où. L’endroit ou les endroits de pénétration importaient peu la jeune femme. Elle avait été l’objet de tellement d’essai de positions ou de truc du genre qu’elle ne savait plus ce qui lui avait été fait sur son corps ou dans son corps! Se penchant vers l’avant, elle se mit à caresser du bout des doigts le sexe de l’homme, y déposant de temps en temps ses lèvres pour l’embrasser ou lui donner un tout petit coup de langue, juste pour faire languir Gin. Pour une femme qui s’était toujours fait violer, elle savait s’y faire pour donner du plaisir à un homme dans ce genre de situation. Elle ne tarda pas à engloutir le membre de Gin dans sa bouche. Elle allait le plus loin possible, caressant le sexe de sa langue, appliquant une plus forte pression dans ses caresses à certains endroits, suçant le bout du membre de temps en temps, jouant avec les bourses. Elle voulait voir si Gin se laisserait déverser dans sa bouche. Elle trouvait toujours cela étrange, quand ça arrivait, mais chaque fois, ses violeurs semblaient prendre beaucoup de plaisir. Enfin, si Gin venait qu’à se laisser aller dans sa bouche, elle attendrait de voir si elle devait avaler ou non la substance. La plupart du temps, elle avalait sans poser de questions et sans même savoir ce que c’est… La jeune femme ferait ce que Gin lui dirait, simplement parce qu’elle le voulait et non pas parce qu’elle était forcée. Et puis… elle aimait s’amuser comme ça, avec le sexe de Gin. C’était plus… agréable et elle le faisait parce qu’elle le voulait. Ça lui faisait tout étrange. | |
| | | Gin Kakon
Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 10/10/2006
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Sam 22 Sep - 14:28 | |
| Oui, Gin était beaucoup plus qu’excité par la jeune femme, lui aussi voulait la prendre si fort que son membre tendu sortait de son boxer noir dans lequel cette protubérance le faisait, de manière imagée bien sûr, étouffer, et, en étant très franc, peu de femmes l’avaient tant excitées, peut-être que le fait qu’il aie dû se donner et révéler un petit morceau de sa vraie personnalité l’avait rendu plus apte à apprécier l’acte sexuel avec la magnifique orpheline, quand il passait ses doigts sur sa petite culotte, il pouvait sentir une humidité chaude, autre que celle du beau lac où il avait passé un si bon moment avec la belle Tanaïs, il ramena alors les doigts à ses propres lèvres et étala tout le liquide sur ses pectoraux, pour exciter la jeune femme également… Elle déposa alors un petit baiser sur les lèvres du jeune directeur qui répondit par le même geste, il aimait vraiment énormément sa petite orpheline, elle était décidemment sa petite orpheline à lui, jamais il ne la laisserait à un autre, tant qu’il serait le chef ici, elle n’appartenait à personne d’autre que lui! La jeune femme lui dit alors quelque chose qui le fit sourire, elle l’amusait vraiment beaucoup, mais elle lui parla alors de quelque chose qu’elle voulait faire pour lui faire plaisir, il se tut et se contenta de s’allonger tandis que sa belle s’écartait de lui, comme si elle préparait quelque chose, qui allait, à tous les coups, être très coquin et surtout, fort intéressant à « subir », elle retira sa jolie petite culotte, le faisant bander encore plus fort, il allait très bientôt la prendre, et il était sûr qu’elle allait plus qu’adorer ça! Mais finalement non, elle commença juste à caresser son corps musclé, le faisant frémir de plaisir, faisant très légèrement bouger ses gros seins, il aimait vraiment beaucoup ça, il la voulait, il voulait la prendre de suite… Il remarqua qu’elle semblait jouer avec l’élastique de son boxer, le baissant légèrement et le remontant juste après jusqu’à ce qu’elle finisse par le lui ôter complètement, elle observa alors pendant un petit moment son membre et fit une remarque à laquelle il répondit par un sourire et un rougissement plus que visible, elle pensa alors tout haut à quelque chose qui fit éclater de rire le jeune directeur, qui lui assura que ça rentrerait partout, sans exceptions!
« Je te veux… »
Elle caressa donc son pénis du bout de ses doigts, longs, fins et chauds, et posa ses lèvres fraîches et pulpeuses sur son gland, avant de le lécher par petits coups de langue, le faisant frémir au moindre petit contact, si minime soit-il! Elle englouti alors littéralement son sexe dur dans sa bouche, lui suçant entièrement, au point qu’il lâcha un gémissement rauque de plaisir, elle allait très loin et caressait tout son sexe de sa langue chaude et douce, puis elle commença à jouer avec ses bourses, l’excitant encore plus, jusqu’à ce qu’il pose sa main droite sur le crâne de Tanaïs, pas pour enfoncer plus son membre, non, juste pour lui caresser avec affection les cheveux, il ne comptait pas se vider entre ses lèvres, ça ne l’amusait pas tellement dans ce genre de situation, il voulait plus la prendre que venir dans sa bouche… Au bout d’un petit moment, il lui demanda, en souriant gentiment, de s’arrêter, il se releva alors sur ses genoux et allongea la jeune femme à son tour sur le dos, après quoi il mit sa tête entre ses deux cuisses et, tout en lui caressant les fesses de deux mains, commença à lécher le creux de la cuisse gauche de la jeune femme, allant de plus en plus vers la droite et appliquant de moins en moins fort sa langue à chaque avancée, jusqu’à ce qu’il se retrouve enfin devant le clitoris de la jeune femme, qu’il regarda avec un petit sourire… Il déposa alors de petits coups de langue appliqués dessus, ne sachant pas si la jeune femme était plutôt « vaginale ou clitoridienne » , il préférait commençait par vérifier ça, bien qu’il sache qu’il n’y avait pas réellement de femme qui puisse être vaginale ou clitoridienne, en fait il voulait plutôt savoir ce que préférait sa belle Tanaïs! Dès qu’il eut fini, il remonta pour lui lécher le ventre, traçant un cercle tout autours de son nombril, alors que ses mains, auparavant affairées à masser es fesses de la jeune femme, étaient remontées sur sa taille, pour bien la tenir, sachant que les sensations de ces caresses la ferait bouger… Il se releva alors et tourna délicatement sa belle orpheline sur le ventre pour commencer à frotter les lèvres de son vagin avec son gland, le faisant frémir d’excitation, tandis que sa main droite, dont il enfonça la première phalange du pouce dans l’anus de la jeune femme, malaxait doucement la fesse droite de la brunette…
« Allez, j’y vais… »
Il ne disait pas ça pour lui-même mais plutôt pour la jeune femme, il rentra doucement et avec insistance son membre en elle, elle était toute chaude et surtout très humide, il commença de longs et lent vas en vient pour la stimuler, enfonçant et retirant toujours son pouce de l’anus de la belle…
« Alors tu aimes? » | |
| | | Tanaïs de Lamare
Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Sam 22 Sep - 16:50 | |
| La jeune femme n’avait jamais vu un homme aussi excité à la vue d’une femme presque nue. Tanaïs semblait fière de provoquer une telle réaction chez Gin. L’homme lui avait assuré que son membre entrerait partout sans exception. Tanaïs en avait des doutes, mais elle lui faisait confiance. Il savait plus qu’elle où ce truc pourrait entrer! C’était tellement plus gros que tout ce qu’elle avait pu voir… elle n’avait pas le choix de croire le « l’infirmier suppléant ». Elle ne répondit rien, outre un sourire ravi, à ses secondes paroles. C’était évident qu’il la voulait… et il l’aurait! Il pourrait même l’avoir de toutes les manières possibles, s’il le voulait. Tanaïs lui avait donné carte blanche. Elle le désirait terriblement. Concentrée sur sa besogne, elle entendit un bruit rauque provenant de Gin. Elle continua ses caresses sur le sexe de l’homme sans rien dire, mais visiblement contente du résultat. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait gémir un homme, mais elle avait beaucoup d’estime pour Gin. C’était ce que l’orpheline voulait : lui faire passer un bon temps en lui donnait le plus de plaisir possible. Tanaïs ne s’était jamais tant aussi bien appliquée à sa tâche… et Gin ne la dégoûtait pas, ce qui semblait beaucoup aider. Tanaïs aurait pu lui faire cela encore longtemps, même s’il lui demandait, à présent, d’arrêter. Elle avait bien aimé qu’il lui caresse les cheveux pendant un moment, alors qu’elle caressait son sexe. Elle préférait cela qu’à se faire enfoncer la tête entre les jambes de ses violeurs. Oh, bien entendu, Gin aurait pu le faire et elle ne l’aurait pas frappé ni boudé pour cela. Elle aurait mis ce geste sur une simple envie d’avoir encore plus de plaisir. Elle n’aurait pas pu en vouloir à Gin. La jeune femme avait retiré sa tête d’entre les jambes de l’homme. Elle se sentait fière d’elle-même. Elle avait réussit à faire gémir Gin!
Elle se laissa allonger sans rien dire, curieuse de voir ce qui l’attendait et mourant d’envie de sentir Gin en elle. Tanaïs avait l’impression d’être torturée tellement l’attente lui semblait si pénible mais si douce. La langue de Gin parcourait l’intérieur de sa cuisse gauche, la faisait frissonner de plaisir. Elle aimait, mais regrettait d’être si sensible à cet endroit. La langue du directeur la chatouillait et elle faisait de gros efforts pour ne pas trop rire ou encore fermer ses jambes. Heureusement, cela ne dura pas une éternité.
« Tu sais que tu es cruel, Gin? » fit-elle avec un sourire.
Puis, sentant les petits coups de langue sur son clitoris, elle poussa un cri où se mélangeait la surprise et le plaisir. C’était… indescriptible. Sa respiration s’était accélérée. Elle voulait Gin. Elle voulait qu’il cesse cette douce torture, elle n’en pouvait plus. Alors que la langue de l’homme tournait autour de son nombril, elle se remit à parler :
« Je retire ce que j’ai dis… Tu es plus que cruel, Gin Kakon! »
Elle voulait jouer la fâchée, mais le sourire qu’elle avait sur le visage ne faisait pas de Tanaïs une jeune femme bien crédible. Le directeur avait finit par la retourner sur le ventre. Elle pouvait sentir le sexe de l’homme se frotter contre son entrejambe. Tanaïs avait envie de bouger son bassin pour le faire entrer en elle, mais elle ne fit rien. Elle avait envie de lui hurler de la pénétrer. C’était la première fois qu’elle désirait si ardemment cela. Elle accepta sans prendre peur la première phalange du pouce de Gin en elle. Par contre, quand ce fut le tour du sexe qu’elle sentit entrer, elle se crispa, cessant de bouger. On entendait que sa respiration rapide et forte. S’attendant à avoir mal, elle ferma les yeux, les mains crispée sur l’une des couvertures du lit. Gin faisait des mouvements de va-et-vient, mais tout ce que ressentait Tanaïs, c’était du plaisir. Elle finit par rapidement se calmer. La jeune orpheline respirait rapidement. Elle gémissait.
« D’après toi? Ce n’est pas assez évident, peut-être? »
Elle n’aurait su dire ce qui lui donnait le plus de plaisir entre le pouce et le sexe, mais chose certaine : elle aimait tout ce que Gin lui faisait.
« Tu avais raison… c’est mieux que le baiser… Oh! Gin… tu es tellement merveilleux! » | |
| | | Gin Kakon
Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 10/10/2006
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Dim 23 Sep - 23:31 | |
| La jeune femme pouvait vraiment être très très fière d’elle, car l’exciter autant sans même l’avoir touché une seule fois était un véritable miracle, c’était un signe qu’elle l’excitait vraiment beaucoup, mais qui n’aurait pas eut la même réaction que le directeur à la vue de si beaux seins, d’un fessier pareil et d’une si jolie bouille? Après tout, il n’était qu’un homme, fondamentalement, et la vue de ce magnifique corps nu le faisait perdre toute logique, il voulait la faire gémir de plaisir, faire sortir ces sons si agréables d’entre les lèvres pulpeuses de la jeune femme, mais ce fut elle qui lui décrocha un petit gémissement rauque, lors de sa fellation, elle s’appliquait vraiment beaucoup, et il la remerciait en lui caressant les cheveux, sans trop appuyer pour ne pas s’enfoncer trop vite en elle et bloquer sa respiration, il aurait bien voulu le faire, c’était bien vrai, mais par respect pour elle il ne le fit pas, elle semblait d’ailleurs beaucoup s’amuser à lui faire cette petite faveur, malaxant ses bourses avec un grand soin, ça ne faisait que plus l’exciter encore, il voulait la prendre, il la voulait vraiment, à tout prix, lorsqu’elle eut arrêté de faire son si doux et merveilleux travail, il commença à lui léchouiller le creux de la cuisse gauche jusqu‘à arriver à son petit bouton rose, voulant qu’elle gémisse à son tour, il sentait parfaitement le moindre de ses gémissements, de ces frémissements, les remarques qu‘elle lui faisaient sonnaient si bien, elle avait une voix si claire et douce, le jeune homme la retourna sur le ventre et posa ses mains sous son bas ventre pour la remonter un peu, la prenant en levrette, mais il ne la pénétra pas, préférant frotter son gland dur et gros contre les lèvres du vagin de la jeune femme, elle était si chaude, il la pénétra avec douceur, profondément et en prenant tout son temps, elle était toute humide et toute chaude, il enfonça également son pouce dans l’anus de la jeune femme, en constatant à quel point elle était serrée il retira son pouce et fit entrer deux doigts, il la prendrait par tous les trous, sa réponse après qu’il lui ait demandé si elle aimait le fit sourire, il commença à accélérer clairement la cadence de ses va et vient, en sa belle, jusqu’à ce qu’il estime en avoir fait assez dans cette position, en ralentissant ses mouvements, il retourna la jeune femme pour qu’elle soit sur le dos et continua en position de missionnaire, lui léchant avec affection les tétons, il l’appréciait vraiment beaucoup…
« Mais toi aussi tu es merveilleuse, la meilleure de toutes »
Il lui caressa les hanches avec amour, elle avait une peau si douce, si parfaite, il l’embrassa dans le cou, après quoi il posa ses mains sur les omoplates de la jeune femme et la souleva, pour pouvoir ainsi la prendre la position du lotus, il était très endurant, son seul but était de faire venir la belle jeune femme, qu’elle crie, qu’elle lui dise qu’elle adorait ça!
« J’adore quand tu… Tu gémis! » | |
| | | Tanaïs de Lamare
Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Lun 24 Sep - 21:40 | |
| Elle l’avait sentit retirer son pouce de son anus, pour le remplacer par deux doigts. Tanaïs avait beau apprécier énormément Gin, mais au lit, il était tout simplement divin. Elle n’avait pas assez de bouches pour gémir tout ce qu’elle avait à gémir. La respiration de Tanaïs était rapide, elle avait chaud, mais Gin lui donnait le plus merveilleux des plaisirs. Elle trouvait dommage que les viols ne soient pas aussi plaisant. Et elle regrettait que chaque employé ne puisse pas avoir une orpheline bien à lui. Tanaïs ne regretterait pas, d’avoir Gin pour « propriétaire ». L’homme avait accéléré ses mouvements depuis un moment, mais à présent, il ralentissait. Pourquoi? Quelque chose n’allait pas? Avait-elle fait quelque chose de mal? Dans cette position, elle ne pouvait pas faire grand chose, à moins de se déboîter l’épaule pour se mettre à caresser un peu Gin. Ce n’était tout de même pas son problème s’il l’avait mise sur le ventre. Elle comprit quand il la retourna pour la mettre sur le dos. Elle aimait quand il lui léchait les tétons. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle trouvait cela agréable, de sentir cette langue toute humide et chaude sur elle. Tanaïs resta un moment surprise en se sentant soulevée. Gin était endurant, il n’y avait pas à dire! Enfin, de toute façon, la jeune femme ne s’y connaissait pas en la matière. Autant laissé Gin s’amuser à choisir les positions! Qu’il la pénètre là où il le voulait bien et comme il le voulait, cela importait peu à l’orpheline. Toute ce qu’elle faisait, elle, s’était de gémir, toujours de plus en plus fort et d’apprécier ce si bel instant. La jeune orpheline espérait qu’aucune autre orpheline n’entrerait ici. Elle ne voulait pas que son amitié avec un homme se sache, de même que cette petite partie de plaisir.
« Tu… adores? Attends un peu de m’entendre… crier! »
Ça ne tarderait pas. Elle respirait rapidement et ses gémissements ressemblaient de plus en plus à des cris encore faibles. Passant ses bras autours de Gin, elle se mit à lui caresser tendrement le dos et les cheveux. Elle adorait tout ce que Gin lui faisait. Elle adorait Gin, tout simplement. Sa confiance envers lui était, à présent, totale. Il n’avait plus à lui cacher quoi que se soit, Tanaïs ne risquait plus de le rejeter. Qui pourrait rejeter un tel homme? Il lui faisait vivre de si bons moments que cela lui était impossible, à présent.
« Tu sais quoi? Je… je regrette pratiquement que… les orphelines n’aient pas de… de propriétaires parmi… parmi les employés. Ça ne m’embêterait pas, à moi, de… de t’appartenir! » fit-elle avec un large sourire, tentant de respirer plus lentement pour bien se faire comprendre. C’était assez difficile.
Avec un homme comme Gin, Tanaïs n’aurait pas à se plaindre si ça avait été le cas. Il était trop doux et trop gentil. Elle en venait même à le trouver de plus en plus beau. Pour une fille qui ne s’était jamais intéressée ni aux hommes ni aux femmes, Gin lui plaisait de plus en plus. | |
| | | Gin Kakon
Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 10/10/2006
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Mer 26 Sep - 17:19 | |
| Il ne savait pas ce qu’il aimait le plus lui faire, il hésitait beaucoup entre la pénétrer analement de ses deux doigts et la prendre en position du missionnaire, il avait une vue si magnifique, il se sentait encore prêt à fonctionner pendant un sacré bail, il voulait lui faire ressentir le plaisir absolu, qu’elle le supplie de lui en donner plus, toujours plus, il la désirait plus que tout, et il pensait bien que c’était plus que réciproque, il y avait comme une sorte de connexion entre eux, il savait ce qu’elle voulait et elle aussi, elle savait lui faire vraiment très plaisir, lui apporter énormément de bonheur, il la sentait, si chaude et si humide, elle savait vraiment comment l’exciter, elle semblait d’ailleurs être très sensible au niveau des seins, et lui il adorait ces gros seins, ces énormes seins si beau, si fermes, il la souleva ensuite pour la prendre dans la position du lotus, chose que semblait apprécier grandement la jeune orpheline, enfin à vrai dire à peine plus que tout le reste, mais c’était dur de plus apprécier ça qu’elle le faisait en ce moment, elle se laisser totalement aller, laissant les vagues de plaisir l’envahir, il continuait ses mouvements avec un petit sourire, ses mains toujours contre le dos de la jeune femme, la serrant contre lui et écrasant sa poitrine contre son torse musclé il en voulait plus, il suait déjà, pas énormément mais assez pour pouvoir se permettre de se passer un court instant le revers de la main sur le front, puis il l’écouta parler du fait qu’il adorerait l’entendre crier, il sentait sa respiration rapide et ses petits gémissements, qui se transformaient d’ailleurs petit à petit en cris, des petits cris faibles et réguliers, il l’adorait cette fille là, elle lui fit alors une remarque sur une sorte de forme d’esclavagisme qui le fit sourire, il ferma alors doucement les yeux et l’embrassa au creux de sa nuque avant de lui répondre…
« Moi je t’appartiens si tu le veux! »
Il l’attrapa ensuite et la reposa en position de missionnaire, lui titillant les tétons avec ses pouces tandis que ses mains englobaient ses beaux seins, il était très friand de poitrines grosses et fermes, tout ce qu’avait la jeune femme en fait! Il adorait aussi son postérieur si beau, bien dur et rebondi, il arrêta alors de la pénétrer avec ses doigts et se retira très vite de la jeune femme, la regardant avec un grand sourire… Puis il lui demanda avec un petit air très pervers si elle souhaitait innover un peu… Il la retourna pour la reprendre en levrette mais cette fois il fi passer son gland autours de l’anus de la jeune femme qu’il commença à pénétrer tout doucement en levrette… Il n’allait pas vite, ne souhaitant pas lui faire mal, il avait préparer son trou avec ses deux doigts rien que pour ce moment, il caressait aussi le petit bouton rose de la jeune femme avec douceur, il souhaitait à tout prix qu’elle jouisse…
« Tu aimes? » | |
| | | Tanaïs de Lamare
Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Jeu 27 Sep - 1:23 | |
| Elle arrivait à sentir le torse musclé et chaud de Gin sous ses seins. Et dire qu’elle n’avait jamais trouvé agréable de se retrouver ainsi plaquée contre un homme… et maintenant, elle en redemandait pratiquement! Enfin… Gin était différent, aussi, selon elle. Différant de tous les autres… Il valait beaucoup pour Tanaïs. La seule chose qu’elle redoutait, c’était qu’il parte une fois que tout cela soit terminé. Oh, bien entendu, la jeune femme espérait pouvoir l’avoir de nouveau dans son lit un de ses jours, mais elle voulait aussi pouvoir continuer à le voir. Il était trop merveilleux pour qu’elle ne le voit plus! Tanaïs oublia rapidement ses angoisses. Comment Gin pourrait-il refuser de la voir encore, alors qu’elle semblait tant l’exciter? Il restait un homme, après tout ; il en redemanderait bien à Tanaïs. Et elle, elle se ferait une joie de passer à nouveau du si bon temps avec lui! Elle n’aurait plus peur. D’ailleurs, elle n’avait déjà plus peur du tout. Gin savait s’y prendre pour la calmer et la mettre en confiance. À cette pensée, elle sourit faiblement et lui vola un rapide baiser. Quand Gin lui dit que si elle le voulait, il lui appartenait, elle se mit à rire.
« Mais tu m’appartiens… déjà! Je te faisais patienter une seconde de plus, un peu plus tôt… et tu explosais, j’en suis… certaine! »
Il lui avait semblé tellement à l’étroit dans son caleçon! L’homme la redéposa. Il l’avait tenue longtemps ainsi! Tanaïs était émerveillée… elle le savait endurant, mais à ce point, c’était surprenant! Non. Pas venant de Gin. Il avait réussit à la couler longtemps sous l’eau, il avait réussit à faire tomber ses barrières, il avait réussit à l’avoir dans son lit… Gin était capable de tout. Il pouvait aussi bien protéger quelqu’un par sa force que de faire du mal à quelqu’un… Cet homme était capable de tout, mais Tanaïs n’arrivait pas à se l’imaginer capable de faire du mal à quelqu’un. Il ne lui en faisait pas et pourtant, la jeune orpheline consentait à tout avec lui. Quand le directeur se retira complètement d’elle, elle arqua un sourcil. Pourquoi cessait-il cela? Elle comprit plus ou moins son geste à sa question, mais Tanaïs ne refusa pas d’innover. Gin avait carte blanche, il pouvait tout faire! Mais elle était contente qu’il lui demande son avis. D’ailleurs, ça l’intriguait ce qu’il avait l’intention de faire. Cet air pervers la réjouissait pratiquement, à vrai dire. Que voulait-il tenter? Elle se laissa à nouveau retourner. L’orpheline poussa un petit cri quand Gin pénétra son anus. Elle n’avait pas mal, ce qui la surprenait beaucoup. Gin y allait tout doucement, aussi. Elle s’étonnait que le sexe de l’homme arrive à entrer. Ça lui faisait étrange de ne pas être pénétrée d’un coup sec et d’avoir cette chose si grosse en elle à cet endroit. La jeune femme ne pouvait s’empêcher de gémir de plus en plus fort. Son corps suppliait Gin de lui en donner plus, comme si lui-même comprenait le but de l’homme : la faire jouir. Tanaïs ne mettrait probablement plus beaucoup de temps à cela.
« Oui… » réussit à articuler entre deux forts gémissements.
Combien de femmes pouvaient accepter de se faire pénétrer là? Combien de femmes Gin avait-il pu faire tomber sous son charme avant elle? | |
| | | Gin Kakon
Nombre de messages : 187 Date d'inscription : 10/10/2006
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Dim 30 Sep - 17:51 | |
| Il sentait les beaux et gros seins de la jeune femme s’écraser contre son torse musclé, il la voulait, dans toutes les positions et dans tous les endroits possibles, il la ferait crier, c’était d’ailleurs presque le cas à vrai dire, l’excitation de la jeune femme était bien plus que palpable, autant de par ses gémissements, qui stimulaient d’ailleurs énormément le directeur, que de par d’autres signes comme ses tétons durs et son intimité trempée, il fallait vraiment qu’il la revoie un de ces quatre! Autant pour qui elle était que pour ce qu’elle valait au lit, il était habituellement très endurant, mais il se sentait un peu faible là, sans doute en raison de la manière dont il s’était donné au lac quelques instant auparavant, quoiqu’il en soit, il faisait tout pour se laisser bercer par l’instant présent, c’était lui qui était supposé bouger dans cette position mais il ne faisait pas grand-chose, préférant laisser sa belle orpheline se charger de bouger de la manière qui l’excitait elle… La jeune femme laissa alors s’échapper un petit rire cristallin d’entre ses lèvres pulpeuses quand le jeune homme lui dit qu’il lui appartenait si elle le souhaitait, elle lui répondit qu’il lui appartenait déjà, et au vus de ses arguments, il était évident qu’il lui appartenait bel et bien, à elle et à elle seule, oui, si il avait dû plus l’attendre, il aurait explosé, il remarqua un durant un très court instant le petit sourire de la jeune femme lorsqu’il afficha son petit air pervers, elle lui faisait beaucoup d’effet, et il était sûr que c’était réciproque, lorsqu’il la pénétra dans l’anus, il prit bien son temps pour la pénétrer, déjà c’était beaucoup plus agréable pour lui et apparemment bien moins douloureux pour la belle brunette, elle était vraiment très serrée et chaude ici, il n’en pouvait plus, son instinct reprenait, il voulait à présent autant son propre plaisir que celui de sa belle, il commença par de longs et très lents vas et vient, c’était si bon, il en voulait encore plus, et elle aimait ça, il accéléra donc, ne dépassant pas la limite qu’il s’était fixé, ne faisant pas mal à la jeune femme, et procurant, à son corps comme à celui de la jeune femme, le plaisir maximum, il préférait très largement les rapports vaginaux mais l’anal ne le dérangeait pas non plus, lorsqu’il eut achevé ses vas et vient, qu’il termina par un dernier grand coup, puis il se retira et reprit comme si de rien était ses rapports dans l’intimité de la jeune femme…
« Alors, tu préfères ça où la sodomie? »
Tout en disent cela, il continuait de la prendre en levrette, lui tenant fermement la taille de sa main gauche et caressant toutes ses parties sensibles de la droite, plus elle s’excitait, plus elle semblait se resserrer, c’était donc profitable aux deux jeunes gens, d’ailleurs il commençait à fatiguer, ça devait faire à peu près quarante longues minutes qu’il la prenait et sa fatigue était bien apparente, il pourrait tenir encore assez longtemps, sans doute, mais à partir de là, il devait constamment se retenir, il ne savait pas si sa partenaire avait joui ou pas, ce qui lui posait quelques problèmes pour savoir si il pouvait enfin se laisser aller, bah, elle comprendrait sans doute que sa fatigue accumulée précédemment avait énormément réduit son endurance et qu’il n’en pouvait plus, sans réduire la cadence, il la tourna donc en position de missionnaire, donna un dernier grand coup et sorti pour se vider sur le ventre de la jeune femme et beaucoup au niveau de ses seins, il n’a pas pût se retenir pour cette fois, dommage… Il embrassa alors la jeune femme, qui avait d’ailleurs un peu de sa semence sur la joue, et lui demanda si elle avait eut un orgasme, bien qu’il se doute qu’elle ne sache pas vraiment ce que c’était, n’en ayant probablement jamais eut au cours de ses viols… | |
| | | Tanaïs de Lamare
Nombre de messages : 36 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: Chambre de Tanaïs. Dim 30 Sep - 23:06 | |
| Les longs et lents mouvements de va-et-vient s’étaient accélérés, sans être nécessairement terriblement rapides. Il ne lui faisait pas mal du tout. Tanaïs n’aurait jamais cru tant de plaisir possible dans un acte, pourtant, si simple et qu’elle avait toujours trouvé horriblement dégoûtant. Elle n’était pas tombée sur les bons gars, apparemment. Gin savait lui faire plaisir. Elle aimait tout ce qu’il faisait, peu importait le trou qu’il pénétrait. Elle haletait de plus en plus. La jeune femme ne lui répondit rien quand il l’eut pénétrée à nouveau vaginalement. Elle ignorait que ce truc précédent avait un nom, mais elle n’aurait su dire ce qu’elle préférait. De toute façon, sa respiration et ses cris ne lui donnaient pas assez de temps pour répondre à son bel amant. Son plaisir était de plus en plus intense, mais elle se fatiguait, elle aussi. Même Gin semblait avoir du mal à garder la cadence. Elle se sentit retourner sur le dos à nouveau avant que Gin ne donne un dernier effort et se retire complètement d’elle. Un liquide blanchâtre aboutit sur son ventre et sur ses seins. Il en avait mis du temps à se lâcher. Tanaïs se promit qu’un jour, elle arriverait à le faire se vider lors d’une fellation. C’était à peu près la seule chose qu’elle savait faire de bien, alors elle ne pouvait pas faire autrement que se fixer cet objectif. Ce ne serait pas l’homme qui s’en plaindrait, elle en était certaine. Tanaïs haletait toujours quand Gin l’embrassa. Elle n’avait toujours pas esquisser le moindre geste depuis la fin de l’acte, si ce n’était que répondre au baiser. Elle n’oublierait jamais cela. À la question de l’homme, elle arqua un sourcil.
« Je ne sais même pas ce que c’est, comment veux-tu que je te réponde? En fait, c’est tout juste si je sais comment s’appelle le sexe d’un homme et d’une femme, alors ne m’en demande pas trop. Je ne savais même pas que ce truc, cette… pénétration avait un nom. La sodomie, as-tu dis? » elle resta un court instant pensive avant d’ajouter : « Et sincèrement, je ne sais pas ce que j’ai préféré. J’ai tout aimé. Tu es tout simple… sublime au lit! Est-ce qu’on ressent autant de plaisir à chaque fois, quand on le veut vraiment? Et puis qu’est-ce que je fais de ce truc blanc sur moi? Je n’ai pas envie que ça coule sur le lit, quand même. Et la prochaine fois, plutôt que de me « décorer » avec cela, emmène-toi de la crème fouette, tu pourras te faire un petit festin. »
Eh oui, même après ce doux moment, son caractère un peu brusque reprenait le dessus, sans pour autant qu’elle soit réellement fâchée que Gin se soit vidé sur elle. Tanaïs passa son index de la main droite sur son sein droit pour remonter la semence de Gin qui coulait un peu.
« Merci, Gin… c’était tout simplement… parfait tout ça. Si je peux faire quoi que se soit pour te remercier, n’hésite pas. Et mon lit t’est toujours ouvert. » | |
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