chambre de Sessoh

Le médecin marchait accompagné de Verona à travers les couloirs, il manqua de nombreuses fois de se perdre mais finit par arriver devant une grande porte qu'il poussa dans un petit grincement, il entra alors dans sa chambre, il montra à la jeune femme son énrome lit, on se demandait meme comment on pouvait mal dormir dedans, il montra aussitot la salle de bains, elle aussi était assez grande, le détéctive s'affaa alors sur sa chaise, regarda son petit réfrigirateur qui ne contenait guère plus de deuux bouteilles de champagnes et un ou deux morceau de viande, l'homme soupira et demanda à la pensionnaire si elle désirait quelque chose

Sessoh *Faudra que je pense à dormir...*

Le médecin observa la jeune femme et s'approchat d'elle, observant un peu au passage ses jambes, lorsqu'il fut assis à coté d'elle, il se demanda intérieurement pourquoi elle lui avait demandé de le rejoindre,il réfléchit longuement en posant son index sur le bas de sa lèvre inférieure mais ne tira pas de conclusion satisfaisante, il lui demanda alors ce qu'elle voulait faire, mais, sans attendre de réponse, il posa sa main sur la cuisse de Verona, il avait toujours été un grand MR sans gène, il ferma alors à moitié lesz yeux pour se donner un regard percant et contempla de nouveau les courbes de la pensionnaire

Sessoh *Bon... Qu'est ce qu'elle veut?*

C'était la troisième ou quatrième fois qu'il la touchait ainsi. Mais cette fois, il ne retirait pas sa main. Tant mieux, elle pourrait mieux faire jouer ses atouts physiques. Seule avec ce beau jeune homme qui l'attirait tant, son côté de séductrice ressortait beaucoup.

Elle décroisa les jambes et s'approcha de lui. Verona détacha ses longs cheveux auburns qui descendirent en une cascade de flammes sur ses épaules. Sa main vint se poser, comme par inadvertance sur celle de Sessoh.

Pour le moment, elle jouait le silence. Son comportement ne cachait rien de ses désirs mais elle ne comptait pas le refaire avec tout les garçons qu'elle croiserait.

*S'il n'a pas compris, je me tire.*

Sessoh devint beaucoup plus sérieux, il fit glisser le bout de ses doigts de gauche à droite sur la cuisse de la jeune femme, après quoi il rapprochat son visage de cette dernière et, de sa main actuellement libre, il massa trèslégerement et doucement les épaules de Verona, la contemplant à nouveau, au niiveau du postérieur, de la poitrine, et surtout des cheveux qu'il ne put s'empecher de caresser en saisissant sans aucune violence l'arrière du crane de l'Italienne, qu'il observait toujours, mais avec, cette fois, un petit sourire en coin

Sessoh *Un volcan... Pas faux...*

*Alors, ça y est, tu te réveilles.*

Verona se laissa faire. Elle ne disait toujours rien, observant simplement et ensuite, elle déciderait de ce qu'elle ferait. Sentant sa main sur l'arrière de sa tête, elle rapprocha son visage et effleura ses lèvres.

Elle ne l'embrassa pas, si il la voulait, il allait falloir aller la chercher, voire même l'attraper. La jeune femme pouvait se faire plus fuyante qu'une anguille pour attirer les hommes. Féline jusqu'au bout des ongles, elle se faisait désirer.

Sessoh se prépara à embrasser Verona lorsqu'il se rendit compte qu'elle l'avait feinté, il découvrit totalement ses dents blanches en adressant en sourire à l'Italienne, qu'il embrassa, entremélant sa langue avec celle de la jeune femme, il fit remonter la main précédement occupée à caresser la cuisse la pensionnaire jusqu'à sa joue, qu'il se mit à froler du bout des doigts dans un mouvement continu.
Le médecin arrèta alors son embrassade et demanda à l'orpheline ce qu'elle voulait vraiment faire, un sourire pervers en coin, lui avait ses petites idées, ce n'était pas un inspecteur abruti comme il se plaisait à se le faire croire, mais bien un etre doué d'une grande intelligence et un vicieux de première classe

Sessoh *Et ben...*

Verona répondit au baiser avec autant de fougue que lui. Seulement, elle ne répondit pas à sa question, elle tourna la tête et lui jeta un regard en coin. Elle n'allait pas arrêter son petit jeu en si bon chemin.

La jeune femme se leva d'un coup et se tourna pour faire face à Sessoh. Il n'avait qu'à tendre un peu les mains pour lui attraper les hanches. Elle le laissait mariner, c'était plus drôle pour elle.

*Allez, un petit effort, je préfère les joueurs.*

Le médecin soupira, saisit la jeune femme par les hanches et la fit tomber sur le lit, il roula un peu pour se retrouver sur elle, après quoi il l'embrassat tout en relevant sa chemise et tentant de dégraffer son soutien gorge d'une main, chose peu aisée our quelqu'un de si peu habile que lui, mais, après plusieurs essais infructueux, il y parvint et passa lentement le bout de ses doigts sur le sein gauche de Verona, cette fois son coté pervers était totalement reveillé, le jeune détéctive se sentait étrangement "libéré".
Il descendit alors, embrassant le cou de l'Italienne et au niveau du haut de son seins droit.

Sessoh "Alors madame ne répond pas aux questions? C'est un peu trop silencieux la"

Le jeune homme frissona de plaisir et continua à déshabiller la pensionnaire, elle était maintenant nue et lui n'avait d'oté que la chemise, il retira donc lentement son pantalon et recommença à mordiller le téton de Verona, le léchant également avec le bout de sa langue, il fit glisser lentement les doigts de sa main gauche verse le vagin de a partenaire et se it àeffleurer le clitoris,calculant chaque geste qu'il effectuait, ne laissant rien au hasard et descendant de plus en plus bas, il se trouver désormais sur le nombril de la jeune femme et la chatouillait avec des coups à 'aide de son organe gustatif.

Sessoh *J'ais toujours adoré les rousses :/*

Le jeune médecin soupira et repoussa sa mèche blanche sur l'arrière de son oreille droite, après quoi il se rapprocha à nouveau de Verona et retira son caleçon, laissant voir son sexe à cette dernière.
L'inspecteur posa ses mains sur les hanches de la jeune femme et la pénétra, enfonçant son pénis dans le vagin de l'Italienne et et faisant des mouvements de bassin à une grande vitesse, il arreta de tenir sa partenaire avec la main gauche et lui caressa les fesses.
L'homme fit alors glisser sa langue hors de sa bouche et se lécha les lèvres, un petit sourire pervers en coin, cela devait faire 5 mois que le pauvre bougre n'avait pas fait l'amour.

Sessoh *Bordel ça veut dire quoi andiamo?*

Le médecin soupira, passa ses doigts sur ses cernes, se rahbilla et rechargea son arme, un petit air déçu, sans plus, au visage, il sorti une bouteille d'alcool, en but un peu et décida de, our la première fois depuis déjà cinq jours, dormir, il posa sa main sur sa tempe et, prit d'un de ses accès de schyzophrènie qui le rendait horriblement con, il tomba sur le sol et croisa le regard de la jeune femme nue, ses yeux s'équarquillèrent lorsqu'il demanda ce qu'elle faisait la, c'est alors que ses yeux se mirent à regarder au niveau de son pantalon et que le policier poussa une petite éxclamation

Sessoh "Hey mais c'est quoi ce truc? Qu'est ce que tu fous dans chambre, à... Poil!? Mais c'est un viol! O_O"

Ne comprenant décidement rien à rien sous cette personnalité, il demanda à la femme de sortir, lui qui paraissait ridicule, la regardant dans les yeux, le doigt ointé vers la porte et le jean légerement déformé par l'organe en éréction, n'importe qui aurait pu en rire, mais pas l'abruti qui se tenait devant Verona, il trouvait cette dernière assez belle mais comptait, avant tout, trouver ces foutues lentilles de contact jaunes dont il avait déposé la boite dans sa valise, qu'il avait déposé... Quelque part...

Sessoh *Bordel, une violeuse, j'aurais jamais cru ça*

[Le sessoh intelligent est mort, place à l'originel XD]

[ça, c'est inattendu!!^^]

La jeune femme se rhabilla à son tour, ne comprenant rien d'autre que son compagnon avait une crise de folie. Profondément blessée, une larme perla au coin de son oeil mais ne coula pas. Vulcania venait de tomber sous le charme de cet homme si étrange. Elle qui aimait l'anormalité avait trouvé ce qui lui plaisait vraiment.

"Ok, ça va je m'en vais. Tu devrais te reposer, je crois que tu es un peu surmené."

Son regard de braise devenait glacial sous la déception. Elle se leva, lissa sa jupe et marcha vers la porte. Elle se retourna une dernière fois, les schyzos étants parfois sujets à de brusques changements d'opinion.

Sessoh, meme si il était très con, comrpsi sa boulette et annonçca qu'il lui demandait juste de fermer la porte, ne sachant pas que faire pour la retenir il lui proposa un jus d'orange mais se rappela quil n'avait que du champagne dégueulasse à ses yeux, et, pour lui, la meilleur façon de draguer était de proposer du jus d'agrume quelle qu'elle soit, chose, bien évidement, fausse mais à laquelle le médecin croyait dur comme fer.
l'inspecteur foireux s'approcha donc de Verona, tentant vainement de cacher son éréction qui commençait à s'estomper, il poussa un soupir de soulagement lorsqu'il n'eut plus à dissimler sa réaction naturelle et demanda à l'Italienne si elle souhaitait aller quelque part

Sessoh "Boire du jus d'orange? De l'eau? Du sang... Euh du café je voulais dire :/"

Le jeune homme observa avec éttonement Verona, il devait etre de plus de 7 ans plus agé qu'elle, mais les caresses de l'Italienne le réconfortaient, il se sentait tranquille quand enfin il lui prit doucement la main, se releva et lacha enfin la pensionnaire, il lui adressa un sourire et jugea préférable et plus poli de lui offrir quelque chose à boire, il avait du vingt de 20 ans d'age qui trainaiyt toujours dans sa cave, entreposée la par celle qui tenait autrefois l'endroit, elle aurait sans doute voulu utiiser ce précieux liquide pour un grand évemnement mais la pauvre...

Sessoh "Demain je tenterais d'organiser un petit truc à manger, je pense que meme si ouvrir ces bouteilles n'ets pas une chose bien, votre "grand mère" aurait préféré qu'elles finissent par servir"

Sessoh avat, en réalité, connu cette vielle femme, à qui il aurait confié n'importe quoi, meme sa vie, un e femme sr ui on pouvait compter et de la part de qui le moindre mot était une caresse portée directement au coeur, les meilelurs s'en vnt toujours en premier, pensa tout bas le détéctive en repensant à Max

Après avoir jeté un bref coup d'oeil aux bouteilles présente sur la petite table en bois entreposée dans le fond de la salle et sur laquelle reposaient les précieuses bouteilles, il soupira et eut pour idée d'aller faire quelque chose, bonne idée mais faire quoi?
Ne sachant donc pas que faire, Sessoh alla s'asseoir sur le lit, à quelques trentaines de centimètres de la pensionnaire, le détéctivese plongea alors dans un grand moment de réfléxiontotalement inutile et ridicule, il se tenait la, un doigt sur le front, murmurant pour lui certaines choses à faire, un certain mot revenait souvent et c'était "aller" ce qui n'aidait vraiment pas Verona à la compréhension.

Sessoh *Aller lui prouver que le dirlo est une tarlouze? :/*

l'inspecteur ne savait pas quoi faire et cela se voyait, il grava donc deux ou trois idées dans sa mémoire et préféra demander à l'Italienne, la regardant d'un air étrange, et demandant de l'excuser si il avait une tete de détérré, c'était juste que maintenant, meme sous la protection de mille gardes, il voulait et devait envoyer le directeur en prison et comptait bien travailler tous les dossiers de ce dernier

Le jeune homme soupira alors et se releva, décidé à retourner à la cave, il se devait de secourir cet homme, meme si c'était le plus infame des connards, la plus ignoble des ordures, son devoir de policier l'obligeait à le sauver.
Sessoh s'approcha donc de la table et prit la veste qui était sur une chaise bancale et usée par le temps après quoi il saisit son magnum dans la main droite, on ne sait jamais avec les dangers ambulants comme ce Maxime Liebert.

Sessoh "Je vais à la cave voir quelqu'un, tu me suis?"

On pouvait voir dans son visage une expression très sérieuse, meme si il restait toujours, intérieurement, un grand con incapable de placer trois mots sans que l'on finisse par se foutre de sa tronche par l'intermédiaire d'une petite vanne ou d'un lapsus idiot, l'homme franchit alors la porte en direction des sous sols

Sessho avait enfin trouvé sa chambre, il regarda d'un air pervers Kaede qu'il trainait à travers les couloirs depuis quelques temps, il allait pouvoir se "détendre" un peu, ce n'était pas trop demandait, il esperait, ce n'était guère sympathique de foutre "un vent" à verona et Takeo mais il avait envie de se soulager un peu, il poussa alors la porte et, à son grand étonnement, vit une chambre totalement rénovée, sans doute quelques aimanles hommes spécialisés dans ce domaine avaient du passer, le matelas était propre et, conclut le médecin en appuyant dessus, moelleux, tant mieux, il valait mieux faire ça dans un environement adapté, la couette était duveteusee t douce, encore mieux, il s'approcha alors un peu de celle qu'il trimballaiit partout depuis au moins vingt minutes et voulu se pencher pour l'embrasser, mais une douleur lui vint de nouveau, il commençait à pencher la tete qu'un mince filet de sang coula, rougissant ses dents...
Impossible! Pas maintenant, il ne pouvait pas etre prit d'une autre crise si peu de temps après une autre, il réussit tout de meem à s ressaisir, il ferma alors la porte à clef et alla dans ses petites toilettes ou il cracha son sang et but un peu d'eau pour faire passer le gout immonde dans sa bouche.

Sessho *Uh uh uh, pauvre petite, je la plains...*

Le detective sortit alors des toilettes et s'approcha de nouveau de Kaede, mais il ne se sentait pus d'humeur, il sortit alors un verre et se servit avec du charonnay, un champagne français qu'il appréciait beaucoup, après avoir avalé le contenu de sa coupe d'une traite, il en roposa un peu à la charmante jeune femme en afce de lui, il ne tarderais pas à retrouver la forme, de toutes façons, elle n'y échapperais pas...