Chambre de Gin Kakon, directeur

Gin resta silencieux, profitant du afit qu'elle rpenait sa douche, il farfouilla dans son sac, elle avait pas mal de babioles qui ne servaient à rien pour se défendre, mais il prit tout de même soin de ccher les clefs, qui étaient excessivements pointues et une sorte de bombe, il ne savait guère ce qu'elle contenait mais ce ne devait pas être quelque chsoe de recommandé afin d'être utilisé sur les yeux d'un Directeur pervers psychopathe ...
Il tira également un portable dont il retira la batterie qu'il jeta sur le sol et écrasa rapidement, il aurait pû venir à la belle journaliste la mauvaise idée d'appeller la police...

*Espèce de conne...*

Il vit alors la porte s'ouvrir, un sourire s'afficha sur ses lèvres, il sortit alors de sa poche un énorme Desert Eagle et en pointa le canon sur Kyhara, la regardant d'un air sadique, un de ses yeux caché par sa mèche brune récalcitrante, lui souriait, elle pouvait enfin voir son vrai visage, un sadique obsédé qui ne l'avait laissée en vie que pour profiter de son corps, elle ne lui avait, au rpemier abord, pas semblé vierge, mais la découverte qui le ferait risquerait bien de le surprendre agréablement, quelle malchance de perdre sa virginité alors que l'on est pas consentante cela devait être!

"Bon je vais faire court, tu me suce, ou je fais gicler ta cervelle et j'utilise tes tripes pour retapisser ma chambre espèce de salope de fouille merde"

Utiliser ce langage de basse cour lui faisait un bien fou, enfin, il pointait la tête de Kyhara avec le canon de sona rme, il ne tremblait pas et était un excellent tireur, le moindre faux pas et la liste des personnes mortes ici s'allongerait d'une nouvelle personne pour cette soirée...
Il lui dit aussi d'un ton sec et froid que si elle s'avisait de le mordre, il lui logerait une balle dans chaque articulation du corps avant de ne l'accrocher par les pieds dans un entrepot à viande jusqu'à ce qu'elle en crève...

"T'as comprit? ALORS FAIS TON PUTAIN DE BOULOT!"

Gin la regarda avec rage, l'envie de tirer sur cette incapable le prenait chaque seconde, mais il se retenait, elle avait d'abord une fellation à lui faire, il s'approcha d'elle, le canon de son arme pointé sur Kyhara, il l'attrapa violement par les cheveux, tirant extremement fort sur ceux ci, après quoi il ouvri sa braguette et regarda de haut et avec dédain la jeune femme, après quoi il lui dit d'un air horriblement calme et par conséquent, dérangeant, la raison pour laquelle elle en partirait pas...

" Déjà, tu sais ce qu'il se trame ici, de deux j'ais plus d'argent par mois que tu n'en a en un an, et pour finir, je veux que tu me suce!"

Elle aurait pû totu raconter à la police après, et cela n'aurait pas plu au Directeur qui ne tenait guère à aller en prison, mais bon, il se pencha vers Kyhara et lui dit simplement qu'elle n'avait qu'à rentrer son mmebre dans sa bouche et le lécher c'était aussi simple que ça et cela lui éviterait bien des ennuis, il sortit alors son membre de son caleçon et le fit passer par l'ouverture de la braguette, le mettant devant les yeux de sa prisonnière...

"Tu as comprit espèce d'idiote bonne à rien?!"

Il lui colla le visage contre son membre tout chaud, et un peu dur, puis il lui caressa doucement le visage avec, jusqu'à arriver aux lèvres pulpeuse de la journaliste, il lui murmura d'ouvrir ses lèvres si elle tenait à rester en vie, il était très crédible dans son rôle, et également terriblement térrifiant, il falalit vraiment une grande volonté pour oser désobéir à tout personne vous regardant droti dans les yeux comme l'homme le faisait...

"Suce..."

Gin esquissa un sourire, pour une vierge, elle se débrouillait excessivement bien, il se mit alors à rire et voyant qu'elle sembalit avoir du mal à enfoncer totalement son memrbe dans sa bouche, il déchargea son arme et la jeta vers l'ouverture donnant sur la salle de bain puis il posa ses deux mains sur le crane de Kyhara et ricana, puis il fit de rapides et violents mouvements du bassin, faisant sortir et rentrer ensuite son pénsi au maximum au fond de la gorge de la jeune femme, puis il se retia juste avant d'éjaculer et garda son membre durçi au maximum devant le visage de sa vcitime, il lui conseilla alors de garder les yeux bien fermés et il lui éjacula sur le visage, la regardant avec dédain et sadisme...

"Petite salope... Si tu es vierge alors tu vas déguster, j'suis encore chargé à bloc!"

Il la souleva rapidement et la déposa en la jetant sur son grand lit, puis il lui demanda pourquoi à son avis, il était le seul à avoir un si grand lit, il ricana alors à nouveau et déconseilla à la jeune femme de tenter quoi que ce soit, il posa alors son doigt sur la petite culotte de Kyhara, appuyant sur l'élastique , et le longeant jusqu'à se retrouver juste à coté de la vulve, enfin à coté du tissu qui recourvait cette partie, il exerça une pression là où, selon ses estimations qui s'avérèrent exactes, était le clitoris, puis, sentant la eptite bosse, il écarta le tissu et commença à léchouiller l'endroit, qui avait une bonne odeur dûe à la douche de Kyhara...

"Bon, je me demande ce qui t'excite le plus?"

Il remonta vers ses seins et titilla les tétons avec la sphère de sa langue, puis commença à caresser la joue de la femme, avant de ne remonter vers elle et lui assurer qu'à partir de ce jour, elle serait son esclave attiré, et qu'elle effectuerait toutes les atches sans avoir uns uel avis à donenr à ce propos, il éclata alors de rire et l'embrassa langoureusement, puis il redescendit s'occuepr des seins...

"Je vais te voler tes deux virginités ma belle!"

Gin éclata de rire lorsque Kyhara lui rétorqua que l'esclavagisme était aboli, il lui répondit en souriant qu'ici, personne n'avait un esprit plus évolué qu'au delà du moyen age, donc par conséquent, l'abolition de l'esclavagisme n'avait pas encore eut lieu ici, il faudra attendre au moins quatre cents années, et la jeune femme ne sortirait pas d'ici de si tôt, alors elle ne verait pas passer ces quantres longs siècles, elle le supplia ensuite de ne pas la dépuceler, il explosa alors d'un rire plus sadique qu'amusé et répondit à la jeune femme qu'il fallait bien que ça arrive un jour...

"Allons, esclave, ne dis pas de sôtises! Tu vas adorer ça!"

Il rentra alors son majeur dans le vagin de sa victime, pour l'élargir un peu et éviter un saignement lorsqu'il prendrait la belle jeune femme dont il léchait les seins avec avidité, un désir brulant de s'emparer d'elle, il lui mordilla les tétons et caressait le doux ventre de sa "chienne", puis il approcha sa alngue et la rentra dans le nombril de sa jolie esclave, il léchouilla l'intérieur un momentet s'approcha ensuite de l'oreille droite de Kyhara qu'il mordilla doucement, puis il rentra un deuxième doigt, son index, dans l'antre inéxplorée de sa pute, sentant que la jeune femme commençait enfin à mouiller...

"Tu n'auras pas d'ennuis avec moi si tu reste bien sage..."

Le Directeur retira alors ses doigts et commença à caresser rapidement la vulve de la jeune et naïve journaliste, il approhca alors les doigts de son autre main vers son anus et la regarda ens ouriant tel un fou, il remonta alors sa main et lécha longuement son majeur, puis il le rentra brutalement dans la partie anale de sa chère esclave...

"Ca fait mal? Imagine avec deux doigt!"

Aux paroles du directeur, Kyhara frémit. Si l'esclavage était de mise dans cet établissement, la torture moyenâgeuse l'était-elle aussi? Elle ne voulait même pas le savoir. Elle était condamnée à vivre en esclave pour cet homme.

- Non, je vais pas aimer, non, s'il vous plaît !

Il la caressait de partout, jouait avec son corps, son sexe, elle poussait de petits gémissements. Elle commençait à mouiller, son corps la trahissait déjà. Si elle se mettait à mouiller comme une chienne et prendre du plaisir dans ce rapport sexuel non-consentant, plus jamais il n'aurait la moindre considération pour elle. Elle demeurerait à jamais sa pute en chaleur, son esclave.

- Je vais être sage, je vous promets! Pitié, ne me faites pas de mal! Je ferai tout ce que vous voudrez, pitié !

Elle s'excitait de plus en plus, sa respiration se faisait plus rapide, elle retenait avec peine ses gémissements, son plaisir involontaire. Mais soudainement, il enfonça un doigt dans son anus, elle poussa un cri et se tortilla pour lui échapper.

*Deux doigts?! Oh non, pas ça! Je veux pas, je vais mourir de douleur, il est si dur, si méchant! Pourquoi je dois subir ça? J'ai rien fait!*

- Oui, ça fait mal! lui dit-elle d'une voix timide et tremblante.

[HJ : désolée un peu court, j'ai pas d'idées]

Gin resta souriant, bon apparement cette petite séance avait été suffisante pour la faire mouiller, il éclata de rire et l'embrassa de nouveau, melant la langue rougeatre à celle de sa pute attritrée, pauvre jeune femme, tomber sur le Directeur de ce lieu maudit pour une première fois, quoi de plus triste? Il y avait de quoi être désespérée!!!
Le jeune homme retira son ahut, découvrant son torse musclé et quelques cicatrices de guerre, enfin, il retira son pantalon jean bleu et son caleçon noir, se retrouvant nu devant sa chienne, il avait retiré son doigt de l'anus de la jeune femme et posa une mains ur chacune de ses cuisses, puis il s'approcha d'elle et la regarda, un regard chaud et à la fois sadique...

"Tu es une sacrée soumise, j'aime bien ça! Je vais te traiter comme tel!"

Il la releva et lui ordonna de se mettre en position de levrette en hurlant, mais il n'attendit pas qu'elle s'éxécute et la mit lui même à quatres pattes et caressa les lèvres de son vagin avec son gland, souriant encore tel un dément, il vit alors qu'elle mouilalit suffisement comme ça et en conclu qu'il n'y aurait pas ou un petti saignement, il posa alors une main sur chaque fesse et rentra son pénis dans la partie inéxplorée de la jeune journaliste, puis il lui asséna une énorme claque sur la fesse droite (Féssée! xD) et envoya un premier coup de reins excessivement violent et rapide, puis il ralenti legerement le rythme jusqu'à arriver à une gestuelle plus douce, demandant à la jeune femme comment elle trouvait cela, tandis qu'il lui rentrait son index dans l'anus jusqu'à la première phalange...

"C'est ce que je disais, tu es une salope..."

Ces pleurs, quel agacement, elle ne savait décidément pas se tenir cette pute là ! Il continuait à faire de lents et long mouvements de va et viens avec son sexe, peu lui importait que Kyhara crie de douleur ou pleure telle une madeleine, lui, il adorait ce tunnel chaud et humide, une pétasse comme il les appréciait, il enfonça encore un peu plus son doigt dans l’anus de la jeune journaliste et accéléra son rythme de coups de reins, caressant les fesses rebondies de sa « chienne » avec sa main gauche qu’il venait de libérer, cette salope criait de plus en plus fort sa douleur et son refus, chose qui avait pour effet d’énerver le jeune Directeur au plus haut point possible !

*Mais quand est ce qu’elle va la fermer !?*

Il enfonça cette fois son majeur au maximum dans le cul de la jeune femme, puis il arrêta ses mouvements de reins brutalement, se retenant de toutes ses forces d’éjaculer, puis il retira son sexe brulant et approcha ses lèvres des oreilles de sa pauvre jeune victime, se penchant un peu pour lui parler et la mettre en face de sa douleur et sa faiblesse…

" Tu as mal avec un doigt entier ? Imagine avec… "

Il prit son pénis d’une main et caressa les contours de l’anus de la jeune femme innocente avec, il souriait tel un fou, elle allait sérieusement morfler cette salope là… D’ailleurs il sentait qu’il allait sérieusement adorer la sodomiser, mais il y avait des limites à son sadisme, il tendit le bras et ouvrit le tiroir de sa table de chevet, sortant du lubrifiant, il avait l’habitude de faire passer des orphelines par là, et c’était sa manière de faire regretter à jamais à ces chère pétasses leur insolence, ici le viol n’était rien de plus que l’étape avant la torture en cas de récidive...

" Remercie moi, REMERCIE MOI BORDEL !!!! DIS MERCI CHIENNE ! "

Il s’en était fat une putain, une esclave, rien de plus qu’une créature qui était là pour qu’il assouvisse ses désirs sexuels, mais peut-être serait elle également utile pour toutes les corvées, il s’était trouvé son esclave, enfin, il ouvrit le pot de liquide lubrifiant et l’appliqua autours de l’anus de la jeune femme, après quoi il reposa le pot et pénétra Kyhara par l’anus en riant…

« ALLEZ, DIS QUE TU ADORE CA !!!!! »

Kyhara ne voulait plus qu'une chose, c'était que tout soit enfin fini. Elle était à bout de forces, mais son tortionnaire ne semblait pas avoir l'intention d'en finir aussitôt. Elle n'était même plus capable de hurler, elle se laissait faire telle une poupée. Pendant un très court instant, elle crut que c'était terminé, car il arrêta tout mouvement. Mais Gin vint lui parler à l'oreille. La jeune femme sentait son souffle chaud dans son cou. Elle sentait l'énervement du directeur, alors elle cessa au mieux ses pleurs, pour ne pas qu'il la punisse. Elle avait peur. Peur comme elle n'avait jamais eu peur.

Il lui mit du lubrifiant autour de son anus. Elle sentait qu'elle allait passer à la casserole.

" Remercie moi, REMERCIE MOI BORDEL !!!! DIS MERCI CHIENNE ! "

*Le remercier!?!? Le remercier de quoi? De me briser? De me détruire? Il est immonde, il est infernal! Mais je suis obligée, sinon il va me faire du mal, je tiendrai pas…* Elle se dit pour elle-même: *Courage, c'est bientôt fini, fais ce qu'il te dit, ne le contrarie pas, et ça sera vite fini.*

- Merci! Merci Monsieur le Directeur! Je ferai ce que vous voudrez, mais me tuez pas, je vous en prie!

Elle n'arrivait pas à le croire, elle était entrain de remercier son "propriétaire", pour quelque chose qu'elle détestait par-dessus tout. Il la pénétra violemment par l'anus, son cri fut tel qu'il avait dû résonner dans tout le manoir. La douleur était indescriptible, inimaginable pour quelqu'un qui ne l'avait jamais ressentie auparavant. Gin Kakon était fort, soldat endurci, elle n'était qu'une petite fille, fragile et délicate. Il riait, elle était terrifiée. Il prenait son pied, elle était pétrifiée de douleur. Il commandait, elle subissait. Il était le Maitre, elle était la soumise.

A son ordre, elle aurait voulu répondre "Non, non je vous hais, vous me faites mal, je vous déteste, je déteste ce que vous me faites!" Mais dès qu'il haussait le ton, ça la plongeait dans un état de terreur effroyable. Les frissons la parcouraient, elle se mettait à trembler. Elle se résigna à lui dire:

- OUI! Oui j'adore ça! Je suis une salope, j'aime ça!!!

Il la pénétrait profondément et de plus en plus vite. D'une main il la tenait par le ventre pour pas qu'elle se retire, de l'autre il l'empoignait par les cheveux, l'obligeant à se cambrer au maximum.

Malgré la douleur, elle ne se débattait pas. Elle ne pleurait pas. Pour ne pas l'énerver.

Gin adorait voir sa jeune et innocente victime tordue de douleur, il commença alors à se faire plus doux, caressant doucement les belles fesses rebondies de Kyhara, déposant de doux baisers sur son dos, il avait de très brusques changements de comportement de temps en temps, et heureusement pour la jeune journaliste, il s’était montré, comparativement à ses habitudes, extrêmement clément, enfin si on pouvait considérer que faire de quelqu’un son esclave était mieux que la mort, enfin, il avait beaucoup aimé joué à ce jeu de dominateur, cela l’avait d’ailleurs grandement excité, alors qu’il était sur le point d’éjaculer, il s’arrêta net et se retira de l’anus de sa pute…

« Tu es vraiment une bonne salope toi, si tu te montre toujours aussi docile peut être serais je plus doux la prochaine fois… »

Il lui fit, alors signe de rester dans la position qu’elle tenait, il la lâcha et approcha son membre toujours aussi dur du visage de la jeune femme, qu’il caressa du revers de sa main droite, une douce caresse affectueuse, il était sujet à des changements de personnalité radicaux, et cette fois il commençait à éprouver non pas de l’amour ni de l’affection, mais plus une relation entre un bon animal et son maitre, en la récompensant d’une manière fort particulière, il lui ouvrit alors la bouche et arrêta sa caresse sur le visage de la jeune femme…

« Dorénavant, tu viendras dormir ici chaque soir, tu seras ma chienne, mon esclave, ma pute… PIGE !? »

Il posa ses deux mains sur le haut du crane de Kyhara en lui ordonnant de garder la bouche ouverte, puis il s’introduisit de nouveau dans cette délicieuse bouche et fit de longs et lents gestes de va et viens, sentant la langue de son esclave sur son gland, souriant toujours, son œil droit barré d’une mèche d’un brun clair, il avait l’air si sympathique et charmant, comme quoi les apparences n’avaient absolument aucune signification…

« Petit cadeau pour toi… »

Il ferma les yeux sous le plaisir et éjacula dans la bouche de la jeune femme, la sentant pratiquement s’étouffer, il avait bien envie de jouer avec ses nerfs, il restait à l’intérieur de sa bouche et caressa ses longs et soyeux cheveux noirs, puis il lui dit qu’elle devait avaler, que c’était son rôle de pute, de chienne, d’esclave, tout simplement…

« Si tu n’avale pas je te jure que je te crève les yeux ! »

La belle n'avait plus qu'une envie, qu'il la laisse tranquille, qu'elle puisse se blottir dans un lit, et dormir d'un sommeil sans rêves. Elle se sentait vide, vide de toutes envies, de tous sentiments. Sur la fin, il s'était montré plutôt doux, et elle se dit qu'elle avait eu de la chance; il aurait pu se montrer pire, la torturer, voire même la tuer de sang froid. Elle se laissa aller à ses caresse, elle ne pensait plus à rien.

Sur le coup de la surprise, alors qu'il lui annonçait qu'elle devrait revenir "dormir" [HJ: mais ouais, c'est ça! ^^] chaque soir dans sa chambre, elle s'exclama:

- Cha… Chaque soir?!

*Oh non! C'est pas possible, ça va recommencer tout les soirs… je veux pas revivre ça! Mais quand est-ce que ce sera fini? J'en peux plus…*

Mais elle se reprit bien vite:

- Oui ! Oui, Monsieur le Directeur, j'ai compris! Je vous appartiens…

Elle lui avait répondu d'une petite voix tremblante. Il remit son sexe entre les lèvres pulpeuses de la jolie noiraude. Elle avait envie de vomir par reflexe, il s'enfonçait en elle, ça la dégoûtait. Elle n'arrivait plus respirer, et sa poitrine commença à se soulever de plus en plus haut. Soudain, c'était fait. Il avait éjaculé, son sperme lui emplissait la bouche. Les larmes perlèrent aux coins de ses yeux, puis coulèrent le longs des ses joues. Elle était humiliée pour le restant de ses jours. Ne voulant pas déclencher le courroux et s'attirer les foudres du beau directeur – à présent son Maitre – elle avala le nectar chaud. Ça n'avait pas vraiment de goût, mais c'était écœurant.

Puis, elle se retira d'elle-même pour le supplier:

- S'il vous plaît, j'en peux plus, je suis fatiguée… Je veux dormir, laissez moi aller me coucher, je vous en prie… Pitié, dites moi que c'est fini! Je vous en supplie…

Elle se recroquevilla sur les draps de soie rouges et ferma ses beaux yeux bleus au regard pur, laissant ses larmes couler doucement. Elle pleurait en silence…

La jeune femme se mit à hurler de douleur. La pénétration de son petit trou déjà meurtri de la soirée précédente lui ravivait des douleurs insupportables. Elle pensait que ses supplications auraient suffit à éviter le pire, mais apparement il n'en n'avait que faire. Elle protesta doucement:

- S'il vous plaît, pourquoi vous me pardonnez pas? Je vous ai supplié... je suis désolée, je regrette vraiment, je vous l'ai dit!! Arrêtez je vous en supplie, je serai obéissante, je ferai votre ménage, sil vous plait, ça fait trop maaaaaal....

Elle gémit encore sous les accelérations impitoyables du directeur. Les larmes perlaient sur ses douces joues...

- Vraiment je regrette, laissez moi partir, je vous en supplie, je serait sage, pitié, j'en peux plus de ce calvaire, arrêtez pitié...

Pendant quelques secondes elle ne dit plus rien et soudain une vague de colère l'emporta. Elle se mit à se débattre avec violence, tentant de griffer le jeune homme sur les cotés, de lui arracher les cheveux, puis hurla comme une dingue avec rage:

- Espèce d'enfoiré de merde!!! C'est toi qui devrait te faire enculer, connard!!!

Sentant ses forces la quitter, la petite Khyara dut se résigner à arrêter de se débattre. Il la prit si violemment qu'elle manqua de s'évanouir. Elle était secouée de violents sanglots, qui étouffaient ses hurlements.

Bouger d'elle même?! *Non mais pis quoi encore????*

- C'est bon, ça va... j'ai compris, pardon, je vais être sage, je vous promets. Mais j'arrive pas, ça fait trop mal, ayez pitié Maître. Comment pouvez vous être si dur? Je ne mérite pas ça, pourquoi vous continuez? S'il vous plaît, vous y allez trop fort. Je vous promets d'être obéissante, mais soyez plus doux, je ferai tout ce que vous voudrez...



[HJ: désolé pas d'inspiration... éventuellement, tu pourrais m'emmener dans un autre endroit, salle de torture ou autre, pour changer un peu, a moins que tu aies une autre idée]