un moment de paix (pv Sullivan)

Maelle arriva donc avec Sullivan dans une espece de pièce laisser l'abandon..
Lorsqu'elle poussa la porte enfin. Il n'y avait pas vraiment de la poussière, ni même du sang. apparement c'était propre..bien plus que sa propre chambre.
On pouvait sentir que cette pièce avait été aairé qui plus est.
Elle lacha la main de Sullivan et regarda autour d'elle. Il y avait la un canapé plutot grand et confortable a vue d'oeil. Mais il n'y avait guerre de meubles. Cette pièce servait donc a rien? ou bien était ce juste une lubie que de ne pas habiller une pièce ?

Elle se tourna vers Sullivan le regard interrogateur

- A quoi sert donc cette pièce? A rien? C'ets chose curieuse non?

Deuxième étage? Combien de fois lui avait-on dit cela?! Il ne les comptait plus et pourtant, Sully ne semblait toujours pas faire le lien. Étage… Quel mot étrange! Enfin, cela semblait amuser Maelle de le reprendre ainsi… Et elle faisait bien! C’était ainsi qu’il finirait par être parfaitement bilingue, vu qu’il faisait toujours les mêmes erreurs.
Pas du tout déçu d’entrer enfin dans l’orphelinat, il soupira. Il faisait plus chaud ici! Néanmoins, il laissa sa veste à Maelle. Il n’en avait pas besoin, ici. Il sourit d’un air rêveur en songeant qu’elle avait toujours l’une de ses chemises. Avait-elle fait exprès de la garder? Peut-être…
La pièce vide était… propre, au plus grand soulagement de Sullivan. Le surveillant éclata de rire aux questions de la jeune femme. Il n’avait pas rit depuis longtemps…

« À rien, j’imagine… Franchement, je n’en sais rien du tout! J’imagine que même les plus vieilles orphelines ne le savent pas… Peut-être pour la vue et la paix que semble offrir cette pièce? La vue vers l’extérieur est vraiment superbe, mais autrement, je ne vois pas l’utilité de cette pièce… pas plus que d’avoir un coin détente et un salon. Personnellement, je n’en vois pas la différence. »

Une chose curieuse? Oui, mais il ne pouvait pas plus l’expliquer. Allant s’asseoir sur le canapé, il invita Maelle à en faire de même. Il ne voulait surtout pas qu’elle se fatigue à rester debout. Lui-même ne pouvait pas encore rester des heures sans s’asseoir, au risque d’avoir horriblement mal. Alors qu’il observait la jeune femme d’un air tendre qui semblait changer complètement son visage aux allures sévères, Sully soupira. Il voulant tant serrer Maelle contre lui, encore un moment.

« C’est fou comme cette pièce est si vide, mais si… intrigante et étrange à la fois! » Il resta quelques secondes silencieux, avant de poser une question à Maelle : « Maaaa-elle… qu’est-ce que c’est ‘wind’ en français? »

Le mot lui échappait depuis tout à l’heure et cela le frustrait un peu de ne pas s’en souvenir. C'était tout simple, par contre, à se souvenir... 'Vent'... rien de compliqué!

Maelle lui souriait un ppeu en coin alors qu'il lui parlait en s'assayant sur le canapé.
Elle ne tarda pas a le rejoindre en quittant la veste de Sullivan. Elle avait encore un léger pull en dessous et un colle blanc dépassait du pull. Cen'était autre que la fameuse chemise du jeune homme.
Elle se serra un peu contre ce dernier et posa sa tête sur son épaule.
Son regard se posa sur le profile de Sullivan et elle lui dit alors.


- Cela veux dire le vent par chez nous. D'ailleurs entre nous et en ce momen t il est plutot mordant se vent.
Enfin c'est vrai cette pièce est tres calme on sera vraiment tranquille par ici.
Je n'ai guere envie qu'on nous derange.

Cela dit elle se releva et s'assit sur les genoux de Sulivan en lui faisannt face. Son regard était pénetrant alors qu'elle l'entoura de ses bras et approcha ses lèvres de celle de l'homme. elles les frotta doucement avant d'introduire sa langue entre les lèvres de Sullivan.

Le sourire de Sullivan s’élargit lorsqu’il reconnu le haut de sa chemise. Elle était trop grande pour Maelle, mais c’était plus confortable de porter des vêtements plus grand que des vêtements qui nous entraient pratiquement dans le corps tellement ils étaient serrés! De toute façon, qu’importait ce que Maelle portait, elle restait toujours belle… même si Sully n’avait pas du tout détesté le fait de la voir en soutient-gorge. Bon d’accord, il n’avait pas eu la tête à réellement la regarder lorsque cela était arrivé, mais il lui arrivait de rêver de Maelle. Le surveillant passant l’un de ses bras autour de Maelle lorsque celle-ci déposa sa tête sur son épaule. Il se sentait si bien ainsi! La jeune femme sentait si bon…
‘Vent’… mais oui, c’était évident! Suffisait de le savoir pour que cela soit évident… Sully soupira et se promit de traîner son petit dictionnaire Anglais-Français, la prochaine fois.

« Le vent est parfois pire que cela, au Canada… surtout l’hiver. Il fait déjà très froid et c’est encore pire lorsqu’il souffle. Ici, il fait déjà beaucoup moins froid en hiver. »

Il n’avait pas faux, mais il ne pouvait pas dire que le vent n’était pas chaud non plus, ici. Au moins, le directeur chauffait l’intérieur de l’orphelinat! Sully aurait désespérer, sinon… quoi qu’il n’aurait pas dit non pour se coller un peu plus à sa belle Maelle. C’était fou comme il avait l’impression de renaître avec elle! Il était pratiquement fier d’avoir des coutures au bras… C’était tout de même Maelle qui les lui avait faite… C’était elle qui l’avait sauvé.
Lorsque la jeune femme vint s’asseoir sur ses genoux, il faillit pratiquement rouspéter. Ce n’était pas prudent pour une jeune femme qui avait des blessures récentes… et ce n’était pas non plus confortable. Pourtant… le simple regard de Maelle le fit taire. Il aimait son regard pénétrant, même s’il avait l’impression de ne jamais rien pouvoir lui cacher.

En la voyant approcher ses lèvres des siennes, Sullivan sentit son rythme cardiaque s’accélérer. Il laissa volontiers un passage à la langue de Maelle. Son cœur battait à tout rompre. Prenant délicatement le visage de la jeune femme entre ses deux mains, il lui caressa les cheveux et le visage alors que sa langue caressait tout doucement celle de Maelle. Sullivan était rouge comme une tomate, mais il ne s’en souciait pas. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas embrassé quelqu’un… que personne ne l’avait embrassé… Et bon sang que Maelle embrassait bien! Sully avait l’impression de fondre. Après un moment, il entoura la taille de l’orpheline de ses bras, la serrant tendrement et tout doucement contre lui. Il avait peur de lui faire mal, mais en même temps, il y serait allé tout aussi doucement, même si elle n’avait pas été blessée. Au bout d’un moment, il mit fin au baiser. Son cœur battait encore terriblement rapidement. Approchant ses lèvres de l’oreille de Maelle, Sully déposa un baiser sur le lobe de celle-ci avant de murmurer :

« Je t’aime… »

C’était la première fois qu’il le lui disait directement…

Maelle profitait sereinement de ce baisé et caressa de même les cheveux de Sullivan. Ses doigts se melaient a eux avec douceuer comme pour donner un massage cranien.
Sa langue caressait celle de l'homme avec lenteur et elle avait envie de plus encore. Son coeur battait fortement dans sa poitrine.
Sullivan mit fin au baisé et s'approcha de son oreille.
Ce qu'il murmura la fit sourire, mais pas d'amusement, non il était heureux se sourire.
Alors elle le regarda droit dans les yexu et lui caressa une lèvre d'un doigt.

- Je t'aime Sullivan.

Puis le quitta son pull car il faisait chaud dans la pièce contrairement à l'exterieur, dévoilant ainsi la chemise du garde.

- Tu vois j'ai encore ta chemise si tu veux la reprendre tu n'as qu'a le faire ,je ne mis opposerais pas.

Maelle garda ses bras autour du cou de Sullivan en ne le quittant pas de ses yeux gris.

Il aimait tellement la façon qu’avait Maelle d’agir. Elle lui faisait penser à un mélange d’Inki et de Virginia… Il se sentait tellement bien avec elle! Sully espérait pratiquement que les doigts de Maelle se mêlent à ses cheveux pour y rester coincés… il ne souhaitait que l’avoir tout près de lui, dans ses bras, contre lui. Il aurait aimé se noyer dans le regard de Maelle.
Elle quitta son pull. Il faisait bien plus chaud ici, à moins que se ne soit lui qui ait terriblement chaud… mais bon, il sembla mettre un temps à comprendre les paroles de sa belle sauveuse. En fait, même après réflexion, il n’était pas certain de comprendre. Était-ce une invitation pour aller plus loin, dès maintenant ou simplement une remarque? Finalement, il sourit, venant déposer de nouveau ses lèvres sur celles de Maelle, l’embrassant tendrement.

Il avait beau essayer d’y aller le plus tendrement possible, mais on voyait bien que cela lui avait manqué, de ne pouvoir embrasser une femme qu’il aime. Son cœur ne battait que pour Maelle, à présent. Bien que Sullivan s’était promis de ne pas être aux pieds de cette jeune femme, il venait de complètement se faire avoir. Il ferait vraiment n’importe quoi pour cette belle orpheline, à présent.
Après un moment, il mit fin de nouveau au baiser, venant appuyer sa tête sur l’épaule droite de Maelle, déposant de légers baisers dans le cou de sa sauveuse.

« Je suis content de voir que je pourrai la récupérer, même si cela ne me dérange pas que tu le gardes. » Elle pourrait lui prendre tous ses vêtements sans même qu’il se fâche ou qu’il l’empêche de faire cela. « Et quand comptes-tu accepter de me la redonner? »

Maelle eut un faible sourire quand Sullivan lui embrassa le cou. Elle avait garder ses bras autour de la nuque de l'homme et avait pencher le cou en arrière pour donner une meilleur prise à Sullivan. Quand à sa question elle y repondit avec malice dans le regard et le sourire amusé.
Son regard se planta dans celui du garde et s'y noya.

- Je l'accepte dès maintenant mais je refuse de la defaire moi même. Si tu la veux tu devras me l'enlever et je ne ferais rien pour t'en empecher. Puisque j'ai dis que j'acceptais de te la rendre dès cet instant.
Cette reponse de va t elle?


Elle rapprocha son visage du sien et frotta ses lèvres aux siennes sans tentr de les entrouvrirent pour aller chatouiller la langue de Sullyvan.
Elle se sentait bien entre les bras de cet homme. C'était different de ses anciens amours. Ici il y avait le risque en plus et cela lui plaisait plus que tout.

En la sentant pencher le cou vers l’arrière, il eut un sourire ravi, déposant des baisers un peu partout sur la cou de Maelle, frottant parfois son nez encore froid dans le cou de celle-ci. Il semblait chercher à déceler les moindres odeurs que pouvait dégager la jeune femme. Et en même temps, il se réchauffait un peu le bout du nez dans le cou où la peau de Maelle lui semblait si chaude. Et elle était si douce, en même temps!
Sa réponse le fit frissonner légèrement. Non pas de froid, mais de plaisir. Maintenant?! Tout de suite?! Il la laissa frotter ses lèvres contre les siennes, sauf que le surveillant, lui ne tint pas très longtemps à ce petit jeu. Il aimait trop aller caresser la langue de Maelle pour ne pas se frayer un passage entre ses lèvres. Bien entendu que cette réponse lui allait… Doucement, sa main droite se porta sur le premier bouton, au haut de la chemise. Il joua avec un longtemps instant alors qu’il embrassait Maelle, jouant tranquillement à explorer la bouche de celle-ci.

Sully hésitait. Maintenant ou attendre encore un peu? Ce n’était pas tant la veste qu’il voulait récupérer, mais plutôt pouvoir admirer le magnifique corps de Maelle. Il l’avait déjà vu en soutient-gorge et franchement, elle était craquante cette jeune femme! Comment résister à cela? Bon, elle avait peut-être un autre chandail en dessous, mais quand même… Rêver était toujours permis à Sullivan! Doucement, il décolla ses lèvres de celles de la jeune femme, déboutonnant le premier bouton de la chemise. Il déboutonna le second, puis le troisième et ainsi de suite.
Mais si quelqu’un entrait?! Pendant un instant, il s’arrêta, songeur. Il jeta un coup d’œil inquiet à Maelle. Peut-être vaudrait-il mieux lui laisser la chemise, après tout… n’importe qui pouvait entrer dans la pièce à tout instant…

La jeune femme ne compris pas pourquoi il hésitait out a coup . Avait elle commis une erreur..non ce ne pouvait etre cela. Elle continua se baisé néanmoins tout en caressant le palai de Sullyvan de sa langue. C'était si sucré, si doux. Elle ne voulait plus se détacher de lui, pour rien au monde.
Ses mains massait l'arrière du crane du garde alors qu'elle accentua son baisé. Esperant ainsi l'encourager a continuer. Personne n'avait l'idée de venir ici et combien même il n'aurait qu'a pretexter qu'il la violait. Ainsi l'importun tournerait les talons.
Ses lèvres quittèrent un bref instant celles de Sullivan et elle lui dit au creux de l'oreille.

- Je suis sûre que personne ne viendra; C'est une piece vide...ne l'oublie pas.

Ses mains quittèrent la nuque de Sullivan et glisserent sur ses épaule avant de descendre pour caresser son torse. Sa chemise a moitier defaite laissait entrevoir sa poitrine camoufflé dans un soustient gorge blanc. Les lèvres de Maelle revinrent taquiner celle du garde puis de nouveau elle l'embrassa mais avec sensualité et lenteur. Le premier qui les derangerait elle se jurais bien de le lui faire payer.

Il s’était laissé embrasser, mais ne semblait pas plus réagir. En fait, le fait qu’il songe qu’une personne pourrait entrer ici semblait complètement le figer de peur. Oui, de peur. Il avait peur pour Maelle. Personne ne s’en prendrait à lui, mais à elle… Belle comme elle était, si la personne qui entrait, par exemple, était un homme, il ne manquerait pas de vouloir s’amuser à son tour avec Maelle dès que Sully serait loin ou aurait le dos tourné. Les paroles de la jeune femme, par contre, eurent l’effet voulu. Il oublia ses craintes, se disant que Maelle avait –encore- raison. Comment résister plus longtemps à cette jeune femme de toute façon?! Elle avait beau être blessée, mais bon sang qu’elle avait le don de faire bondir le cœur de Sullivan!
Doucement, il recommença à déboutonner la chemise à Maelle –enfin, elle était à Sullivan, mais bon, peu importait à qui elle était cette chemise!-. Répondant à son baiser, il avait l’impression de fondre littéralement. C’était… si doux…

Après –un assez court instant, en fait-, la chemise se trouvait complètement déboutonnée. Délicatement, Sullivan mit ses mains sur les épaules de Maelle et la fit glisser, caressant par la même occasion ses bras. Il voulait faire cesser le baiser, mais en même temps, il ne voulait pas. Il voulait dévorer Maelle des yeux, mais ne voulait pas les ouvrir tellement il se sentait bien à l’embrasser si doucement. Puis, doucement, il finit par reculer sa tête, séparant, à regret, ses lèvres de celles de sa sauveuse. Son regard se porta sur le visage de celle-ci, avant de lentement descendre. Il se jetterait aux pieds de Maelle si elle le lui demandait. Il ferait tout pour elle… et pas seulement pour pouvoir voir ce corps magnifique. Simplement parce qu’il l’aimait… Il leva son regard vers le visage de la belle orpheline.

« Tu es si belle… »

Sa voix n’était qu’un murmure alors qu’il venait enlacer la jeune femme de ses bras, se collant doucement contre. Il vint l’embrasser à la base du cou, alors qu’il posait lentement ses mains sur les hanches de la jeune femme. Sully la dévorait tout simplement du regard. Son visage était rouge de gêne, par contre. Lentement, il glissa ses mains dans le dos de Maelle, passant souvent ses doigts sur l’attache du soutient-gorge, mais sans y toucher d’avantage. Par contre, il ne se gêna pas pour venir embrasser de nouveau la belle Maelle dont il était éperdument amoureux. Frayant un passage à sa langue dans la bouche de la jeune femme, ce fut à son tour d’aller explorer doucement le palais de celle-ci, ses dents, sa langue… tout! Il voulait tout connaître de cet endroit si doux.

Maelle se laissa porter par le baisé que lui vouhait Sullivan. Ses mains, quand à elles lui offraient de délicieux frissons lorsqu'elles lui caressaient le dos.
Lorsqu'elle perçut la gène du garde, Maelle lui fit un regard confiant et commença a déboutonner la chemise de Sullivan. Elle aussi voulait gouter à sa peau. Bientôt la chemise de l'homme fut découverte et de ses douces mains habiles Maelle la fit glisser sur les bras de Sullivan.
Son regard était devenu plus clair sous les attentions du garde, et plus doux. Le baisé cessa a nouveau car elle avait besoin de reprendre son souffle. Ce dernier était un peu sacader, tot comme son coeur commençait a battre vite. Maelle voulait chasser cette gène du visage de celui qu'elle aimait. Alors elle approcha ses lèvres de son oreille et lui susurra.

- Suis je une honte pour toi?....

Puis elle lui mordilla l'oreille avec précaution afin de ne pas lui faire de mal, alors que ses mains caressaient le bas du torse de Sullivan et frola sa cicatrice avec douceur, et sensuellement. Elle esperait qu'li se reprenne et cesse d'être timide a son égard. Il n'avait rien a redouter d'elle et elle avait tant a lui offrire. Elle aimait cet homme et un feu interieur qui jamais ne s'était eveilelr auparavant brulait petit a petit en elle.