Une torturée qui sort de torture...

Amaryllis n’avait plus beaucoup de force. La jeune femme n’avait aucunement prit la direction de l’infirmerie, certaine que sa torture ne ferait qu’empirer si elle faisait une elle chose. Non, en fait, elle s’était rendue au second étage, dans la pièce vide. Elle avait laissé une traînée de sang derrière elle… Ama, une fois à l’intérieur de la salle, n’eut même pas la force de refermer la porte. Elle se laissa tomber au sol. Son pauvre corps avait été meurtri… Le nom de son tortionnaire était gravé de l’épaule à la naissance de son sein gauche. Elle avait un doigt brûlé –l’index de sa main droite- et complètement paralysé, ainsi qu’une grosse entaille au ventre et à la cuisse gauche. Elle avait aussi le chiffre ‘44’ de gravé à grandeur du dos… Une longue traînée sanguinolente sous les seins à cause d’un fouet et des traces de coups un peu partout. Elle avait aussi la bouche complètement en sang, tout comme son épaule qui était blessée jusqu’à l’os. Amaryllis sortit le couteau de la veste d’Ellioth qu’elle avait sur le dos. Elle le regarda un moment, hésitant entre s’ouvrir les veines ou se le planter dans le cœur.

Elle prit le couteau dans sa main droite qui tremblait terriblement. Seul son index refusa de serrer le manche de l’arme blanche. Il restait toujours dans la même position, refusant de bouger. Lentement, elle approcha l’arme de son bras gauche. Elle avait peut-être le visage en sang, et bien qu’elle n’en soit pas encore vidé, elle ne semblait plus avoir toute sa tête. Doucement, elle fit entrer le bout de la lame dans son bras. Elle traça un ‘L’, un ‘A’, un ‘C’, puis vint un ‘U’ et enfin le ‘S’. Tout cela formait le mot : LACUS. Le nom de son aimée… Elle allait justement s’ouvrir les veines quand le couteau lui tomba de la main. Elle semblait trop faible pour continuer… Peu à peu, une marre de sang se formait autour de la jeune femme… Et peu à peu, elle perdait ses forces… et bientôt, elle tomberait sans connaissance si cela continuait. Mais avant que cela n’arrive, elle retira la veste d’Ellioth, laissant son pauvre dos, marqué d’un gros ‘44’ et reprit son arme. Un peu comme lorsque l’on avait un deuxième souffle quand on courait… Elle trancha la veste en deux. Restant complètement nue à la merci de tous, Amaryllis laissa tomber à nouveau son arme et ferma les yeux, à bout de force.

[Topic libre à tous... Venez sauver ma chtite Amaaaa!!! ]

Sessho avait dû régler un problème de cadavre que le sous-directeur lui avait apporté, il s'était d'abord levé brusquement et aavit regardé avec plus d'étonnement que d'effroi le corps sans vie, puis il avait falsifié un rapport de décès et demandé encore une fois à Ellioth de ne pas recommencer, meme si il savait pertinement que c'était inutile...
Le medecin se baladait maintenant à travers les couloirs, il n'avait pas encore visité trois pièces, le geenier, une pièce dont il ne connaissait pas la fonction et les cuisines du sous-sol.
Il toussa alors et, en penchant sa tete vers le bas,a perçu destraces de sang, il les regarda alors en fronçant les sourcils, elles étaient rfaches et Ellitoh était déscendut directement enterrer le cadavre, or les bureaux étaient au premier étage, qui pouvait bien saigner ainsi?

Sessho *Bon sang, tout ça... La personne doit au moins etre inconsciente!"

Il couru alors et sa course le mena devant une porte, la porte de la pièce qu'il n'avait pas visité, il la poussa avec une pointe d'apréhension puis vit une femme torturée couchée par terre, il se contenta de froncer les sourcils et, au lieu de lui porter immédiatement secours, l'observa, elel était pas si mal, mais ce n'était pas le moment de penser à ça, il se ressaisit de suite et sortit des pansements de la trousse de premiers soins qu'ila avit toujours sur lui, puis il les appliqua et stoppa l'hmoragie, après quoi il baffa l'orpheline mais pas trop fort car elle éatit déjà toute rouge...

"Oh! Ca va?"

La jeune femme n’était plus vraiment consciente quand le médecin entra dans la pièce. Elle n’avait plus conscience de rien, si ce n’était que son esprit de délire et de cauchemar qui la hantait. Elle voyait sans cesse le visage d’Ellioth et sa perte de sang commençant à se faire grande, la tête ressemblait de plus en plus à celle d’un démon que celle d’un humain. Sa douche entrouverte laissait couler le sang qui s’échappait de sa langue et de l’intérieur de sa lèvre inférieure. La jeune femme ne se rendit même pas compte qu’on faisait cesser l’écoulement de son sang et qu’on bandait ses plaies. Ce n’est qu’en recevant une claque qu’elle sembla peu à peu revenir dans la réalité. Ouvrant lentement les yeux, elle poussa un cri de peur en voyant l’homme. Elle allait lui hurler qu’elle n’avait rien fait de mal quand elle remarqua un bandage à son bras. Le bras où elle s’était elle-même gravé le nom de son aimée… Était-il possible qu’il lui eut bandé ses plaies? Amaryllis resta longuement sans rien dire, une lueur néanmoins craintive dans les yeux. L’orpheline n’avait pas osé bouger. Il ne pouvait pas être si méchant que cela s’il avait prit la peine de lui donner les premiers soins…

« Je… »

Elle jeta un coup d’œil à son doigt qui était resté paralysé… Elle aurait aimé lui dire qu’elle allait bien pour qu’il la laissait s’ouvrir les veines en paix, qu’elle puisse mourir… mais d’un autre côté, elle avait si mal… Peut-être pouvait-elle lui faire confiance… autrement, elle n’aurait qu’à se planter son couteau ensanglanté dans le cœur…

« … Non… j… j’ai mal partout… » réussit-elle à articuler, crachant un peu de sang.

Amaryllis tremblait de peur. Elle aurait aimé pouvoir échapper à son regard. Pendant un moment, elle se maudit d’avoir coupé la veste. Au moins, son corps nu n’aurait pas été complètement à découvert… Elle espérait que Sessho ne soit pas un violeur… ou s’il l’était, qu’il ne lui ferait pas trop de mal.

« Qui… qui êtes-vous? » lui demanda-t-elle d’une voix tremblante, se doutait qu’il devait savoir le nom de son horrible tortionnaire. L'aiderait-il en sachant cela?

Sessho fronça un sourcils,quelle femme bizare, oui, il avait décidement un sacré cas en face de lui, il bailla alors et lui annonça qu'il s'appelalit Sessho et qu'il était le medecin, il regarda alors la veste tranchée en deux à coté de la femme et écarquilla les yeux, puis il lui demanda si son agresseur s'appellait Ellioth, elle sembla lui dire que oui, cette veste c'était la préférée du sosu-directeur, il avait tué un garde pour avoir mit de la boue dessus, alors que ferait-il à une orpheline qu'il avait déjà torturé sans raison en apprenant qu'elle avait foutu sa veste en l'air?

Sessho "Dis moi t'es pas un peu bizare? C'estq uoi ce Lacus, 44 et ce..."

Il regarda alors l'énorme écriture sur la naissance du seins d'Amaryllis (en fait il regarda plus le sein que l'écriture...) et se tut, il retira son amnteau après avoir sortit son carnet de notes, son couteau, sa carte et son porte feuille, pusi il regarda le couteau et celui de la fille, les compara un moment pusi prit celui dela jeune femme, le jeta par la fenetre et rangea le sien, mais voyant l'air inquiet de la femme il luia ssura qu'il ne ferait rien mais lui demanda tout de meme si on aavit utilisé le couteau dentelé sur elle, en effet cela laissait des "blessures sales " et pouvaiet entrainer une infection menant à l'amputation.

Un médecin? Était-il gentil? Enfin, pour le moment, il ne lui semblait pas méchant… Elle se détendit un peu. Lorsqu’il lui demanda si son agresseur avait été Ellioth, elle resta un moment sans voix, jetant un coup d’œil à l’écriture avant d’acquiescer. Le regard sombre, elle ne jeta même pas un coup d’œil à la veste d’Ellioth. Il n’avait qu’à ne pas la lui tendre s’il avait voulu la garder en un seul morceau… de toute façon, elle était pleine de sang. Amaryllis resta un instant silencieuse quand il lui demanda ce qu’étaient les gravures dans sa chairs…

« Je n’en sais rien pour le chiffre… le nom de mon tortionnaire, il me l’a fait lui-même et l’autre, celui de Lacus… c’est moi… Je voulais me tuer et je m’étais dis qu’au moins, je garderait un souvenir d’elle, mais… je n’avais plus assez de force pour m’ouvrir les veines… » lui dit-elle d’un air sombre, résignée à lui répondre.

Ellioth l’avait démolit à un tel point qu’elle répondait même à Sessho… Elle n’avait même plus la volonté de ne pas répondre aux hommes et garder le silence pour les énerver. Amaryllis avait bien vue que le regard du médecin s’était dirigé plus sur son sein que sur l’écriture, mais elle s’en fichait complètement. Qu’il la viole si cela lui chantait, elle ne résisterait pas. Le voyant sortit un couteau de son manteau, elle se raidit, lâchant un cri de peur. Pourtant, il ne fit que comparer l’arme d’Amaryllis à la sienne, sans lui faire de mal. Le fait qu’il lui assure qu’il ne lui ferait rien la rassura. Elle ne pouvait que se fier à sa parole.

« Oui… je… me suis servit de couteau pour graver le nom de Lacus… et… tous ceux qu’Il a utilisé l’étaient… Il n’y en avait pas des normaux, je crois… alors Il a prit des dentelés… »

Elle serra les poings, espérant que cela n’occasionnerait aucun problème… seul son doigt brûlé et paralysé restait bien droit…

Sessho écouta attentivement la réponse d'Amaryllis, heureusement pour elle, les blessures ne semblaient pas très vieilles, il soupira alors et se gratta le haut du crane, réfléchissant à la manière de s'y prendre pour expliquer à Ellioth que la fille aavit déchiré sa veste, mais là n'était pas le soucis, sans un mot, le eune homme prit la main gauche de l'orpheline et l'oberva, rien de spécial dessus, puis il lui prit l'autre main et constata sans aucune once d'effroi ou d'étonnement qu'elle avait le doigt brulé partiellement, c'était un mode opératoire courant chez le sous-directeur...
L'homme au cheveux blanc sortit alors une petite bouteille de désinfectant et imbiba un peu de tissu avec le liquide.

Sessho "Ca va te faire très mal mais ne bouge pas"

Il appliqua alors le bout de tissu sur les blessures après avoir retiré les pansements, puis replaça ensuite les bandages, Amaryllis avait à peine crié et elle était toute pale, Sessho eut un froncement de sourcils, un dont lui seul avait le secret, enfin bref, il poussa ensuite un long soupir et tendit son long manteau à la femme, un long manteau noir qui devait arriver aux genoux d'Amaryllis.

"Bon, dis moi un truc, qu'estce qui t'a valu les foudres d'Ellioth?"

Elle laissa Sessho prendre sa main gauche sans rien dire. Elle tremblait légèrement, mais fut soulagée de voir qu’il ne tentait pas de la tripoter… bien qu’elle n’aurait même pas résisté… Lorsqu’il regarda son autre main, par contre, le médecin put constater qu’elle avait un doigt quelque peu brûlé et qui restait paralysé. Pourquoi? Amaryllis ne le savait pas du tout, mais il refusait de bouger. La jeune femme le laissa même désinfecter ses plaies. Elle ne cria qu’une fois ou deux, au niveau des plaies sensibles, mais autrement, rien ne semblait sortir de sa bouche, si ce n’était qu’un faible gémissement de douleur. Elle avait l’impression qu’on lui brûlait ses plaies… Pourtant, c’était bel et bien du désinfectant à première vue et non ce qu’utilisait cet imbécile d’Ellioth pour la faire souffrir encore plus. Amaryllis était pâle, malgré tout le sang qui salissait son visage.

La jeune femme accepta de bonne grâce le manteau et le mit rapidement sur ses épaules, heureuse d’enfin pouvoir couvrir son pauvre corps. Elle le salirait… mais n’aurait qu’à le nettoyer plus tard, ce n’était pas plus grave que cela. Elle lui devrait bien cela, après il soignait ses blessures et lui apportait un semblant de réconfort. Par contre, Ama mit un temps à répondre à Sessho. Elle-même l’ignorait…

« Je… je ne sais pas. La première fois, c’était il y avait quelques semaines de cela, il est venu me chercher dans mon lit, tout simplement. Pas d’explication, rien. Je ne faisais rien de mal… Je dormais… Il m’avait dit que si je parlais de ce qui s’était passé, il reviendrait me torturé… J’en ai parlé un peu à l’homme qui m’a soigné et… à Lacus, mais rien de plus. Puis, il est revenu me chercher un peu plus tôt dans la soirée alors que j’étais avec une amie, un garde et l’homme qui m’a soigné… Je ne sais rien de plus… »

Honteuse, elle baissa la tête pour fixer ses jambes couvertes de sang. Qu’est-ce que Sessho ferait d’elle? De sa main gauche, elle essuya son visage couvert de sang pour en enlever le plus possible. Elle puait le sang…

« Que… qu’est-ce que vous allez faire de… de moi? » demanda-t-elle, un peu hésitante à poser cette question au médecin.

Sessho la regarda d'un air grave et sadique et lui expliqua qu'il alalit sans aucun doute possible la violer et lui graver aussi son nom par dessus Lacus après quoi il irait dénoncer celui qui l'avait soigné et qu'il arracherait sans doutes les yeux de Lacus, lui trancherait les seins et lui coudrais le sexe, il avait dit tout cela très sérieusement et toussa un peu après, puis il annonça à la jeune femme qui le regardait d'un air horrifié qu'il plaisanatit, puis sa toux redoubla d'intensité, pas une crise, pas maintenant!
Il sortit alors des cachets d'une petite boite, en avala un et eut alors comme un éclair de génie, il se releva et gribouilla quelque motsz sur son eptit carnet, les medecins sont réputéspour très mal écrire, en effet, à l'université, il doivent prendre de snotes très rapidement, enfin bref, il avait trouvé de quoi fabriquer le poison qu'il préparait à l'attention de Max, il releva alors Amaryllis et poussa la porte...

Sessho "T'as de la chance d'etre tombée sur moi, un "type normal" t'aurais déjà violée puis tuée."

Il toussa alors encore un peu et commença à s'en aller, mais... Pourquoi ne la violerait-il pas en fin de compte? Oui, elle n'était pas ma du tout, en y pensant bien, des seins pas très grosmais pas pour autant petits, unebouchequi paraissait agréable, des belles fesses, des hanches invitantes, après tout, n'était-il pas supposé etre un tortionanire, il se retourna entement et la considéra, en fait il ne pouvait pas se permettre de faire ça, elle était dans uné tat déjà suffisement lamentable...

Elle resta sa voix, mais se remit à trembler violemment de peur, songeant que son calvaire était loin d’être terminé. Sessho semblait plus que convaincant et elle ne voyait aucunement qu’il blaguait. Littéralement morte de peur, Amaryllis semblait sur le point d’éclater en sanglot quand il finit par lui annoncer qu’il blaguait. Elle resta sans voix. Comment pouvait-il blaguer sur elle tel sujet alors qu’on venait de la faire souffrir et qu’on avait commencé à la violer?! Pourquoi toussait-il autant? Il était probablement malade… Il était si facile d’attraper une petite maladie ici, avec tous ces gardes qui passaient leur temps à tout changer partout! Amaryllis se laissa relever. Elle restait tremblante sur ses jambes et semblait sur le point de tomber à tout instant, mais son état semblait un peu mieux depuis qu’elle avait cessé de perdre son sang.

« Je sais… » murmura-t-elle d’une voix faible, ajoutant que d’une manière ou d’une autre, elle n’avait même plus assez de volonté pour se garder elle-même en vie… Qu’on la tue où qu’elle-même se tue, cela ne changerait pas grand chose.

Lorsqu’elle le vit commencer à s’en aller, elle prit peur. Pour une fois qu’un homme ne lui faisait pas de mal! Elle ne voulait pas qu’il parte et la laisse seule. Elle s’avançant donc vers lui, la démarche assez chancelante. Se tenant au mur de sa main droite, Amaryllis espérait ne pas manquer de force et tomber.

« Ne… ne me laissez pas seule… s’il vous plait… Je ferai ce que vous voudrez, mais ne me laissez pas seule… »

Elle lui donnerait son corps s’il le voudrait, mais tout ce qui lui importait, c’était de rester en compagnie de quelqu’un et qu’on lui dise pourquoi son doigt restait paralysé et s’il le serait pour toujours…

Sessho regarda Amaryllis sans dire un mot et l'invita à s'asseoir de nouveu, il ne voyait pas ce qu'il pourait faire, à quoi bon profiter d'une femme dans un si sale état?
Biensur! Il lui demanderait plus tard de payer une petite dette, et de payer en anture, pour l'instant il allait s'occuper d'elle, il lui entoura l'index de la main droite et dit sur un ton très séieux dqu'il faudrait l'amputer, pusi il toussa de nouveau et annonça qu'il rigolait, encore...

Sessho "Ca doit venir des nerfs ou du choc, ça devrait repartir tout seul demain"

Il lui dit alors que si, le lendemain, tout n'était pas redevenu normal, elle n'aurait qu'à passer le voir pour qu'il effectue une petite opération, mais il doutait sincerement qu'elle ait à revenir le voir le lendemain, il soupira alors et lui demanda pourquoi elle ne rentrait pas dans sa chambre pour aller se coucher.

"Allez dépeche toi d'aller te coucher, tu viendras demain pour payer ta dette..."

Il ne pû réprimer un sourire plein de mauvaise pensée, puis il tenta de réobserver les formes de la fille àt ravers son amnteau, amis ne distingua aps grand chose, il observa alors sa tete que la lune éclairait à travers la fenetre, elle avait une belle bouille...

Si Amaryllis n’avait pas perdu tant de sa propre volonté, elle aurait refusé de s’asseoir à nouveau, mais elle était heureuse d’avoir obéit : lorsqu’il lui annonça qu’il lui faudrait amputer son doigt, elle avait pâlit et probablement qu’elle serait tombée sous le coup de cette horrible nouvelle. Une blague?! UNE BLAGUE?! Mais ne voyait-il pas qu’il jouait avec ses nerfs et sa maigre patiente?! S’il n’avait pas balancé son couteau par la fenêtre, elle se serait tué, c’était certain… Pourtant, ses paroles la rassurèrent. Si c’était supposé redevenir normal dès le lendemain, elle n’aurait pas à subir quoi que se soit d’autre du genre d’amputation…. Fort heureusement! Amaryllis acquiesça. De toute façon, elle ne se gênerait pas pour revenir le voir. Elle ne tenait pas à garder un doigt paralysé à vie! Enfin, s’il le restait…

« Ma… dette… »

Ses mots sortirent de sa bouche, comme si elle avait du mal à songer qu’elle avait effectivement une dette envers cet homme. Elle avait encore l’esprit un peu brouillé, mais elle acquiesça, lui disant qu’elle irait le voir soit à l’infirmerie, soit à sa chambre, comme il le souhaiterait. Amaryllis se releva doucement, secouant légèrement la tête. Dormir lui ferait du bien. Mais avant elle passerait aux douches. Pas question qu’elle reste couverte de sang plus longtemps. Elle allait partir quand elle se rendit compte qu’elle avait toujours le manteau de Sessho sur le dos.

« Votre manteau… vous le voulez maintenant ou je le vous le rends demain, bien propre? » lui demanda-t-elle, sachant que s’il le voudrait maintenant, elle devrait se promenée nue dans les couloirs. Tant pis, il n’y aurait personne à cette heure-ci! Une fois qu'elle eut sa réponse, elle partit.

[Désolée, ça m'évitera d'attendre 1 journée pour poster à nouveau ^^' ]