Prendre un pause en pleine air(pv)

Qu’est-ce qu’il perdait au fond, à accepter? Maelle était une fille vraiment bien… il l’aimait beaucoup, même s’il la connaissait peu. Il se sentait bien avec elle, même s’il passait son temps à rougir dès qu’il songeait qu’il l’avait déjà vu en soutient-gorge. Sully en était encore rouge de gêne, de toute façon. Physiquement, cette jeune femme l’attirait beaucoup et il adorait son caractère. Elle n’était ni comme Virginia, ni comme Inki… entre les deux, à vrai dire.

« Chose certaine, vous savez ce que vous voulez dans votre vie, malgré ce qui vous entour… Je suis plus faible encore que vous moralement, mais vous avez sut me faire sourire lorsque j’ai eu retrouvé un peu mes esprits à ma chambre. Je n’avais pas sourit depuis des semaines. Votre… ‘offre’ m’enchante et me fait peur à la fois, mais malgré cette peur, je ne peux la refuser. » lui avoua-t-il enfin, complètement gêné, mais souriant.

Pourquoi refuser cela?! Il voyait tout en noir depuis trop longtemps… Maelle était cette lumière qui faisait fuir tout ce noir. De toute façon, Sully ne pouvait se fier qu’à elle. Elle était la seule qu’il appréciait autant, en dehors d’Inki et de Virginia. Mais Maelle, il ne la perdrait pas… Oh non!

[Désolée, l'est assez nul ce post ]

- Cela fvous fait peur...mais de quoi donc?
Vous savez il n'y a pas grand chose que je craigne moi alors qu'est ce qui peu vous faire autant de peur dites moi? Que je disparaisse? Je vous l'ai déja dis mille fois. Je ne permetrais a personne de me détruire. J'ai des choses a faire avant cela. Et puis il faudrait peu etre etre un peu optimiste vous ne croyez pas?

Elle le fixait de ses yeux gris. Elle était toujours debout devant lui et attendait qu'il fasse un geste, nimporte quoi.

-Ne mettez pas tout ce que vous avez vécu dnas le même panier sinon cela va vous bouffer un jour vous savez cela?


( pas grave^^... moi aussi j'ai un blanc la Xd)

Si seulement elle savait combien il avait peur de la perdre, elle aussi! Sully aurait aimé lui dire qu’Inki lui avait déjà une telle chose, que jamais un seul garde ne lui quoi que se soit… et maintenant, elle était disparut depuis des semaines, peut-être même quelques mois! Il soupira. Le pire, c’était que Maelle connaissait vraiment toutes les raisons de sa peur! Enfin, elle avait de la chance quand même : Sully était plus optimiste maintenant que quelques jours avant sa rencontre avec elle! Elle avait réussit à lui faire voir autre chose que du noir.
Il sourit à la jeune femme, quelque peu gêné. Il était bête de songer qu’elle disparaîtrait. Il ne laisserait personne la tuer, même s’il ne pourrait pas toujours être auprès de Maelle pour veiller sur elle. Il n’allait quand même pas faire cela! Se serait lui qui prendrait des coups de la part de Maelle, sinon. Qu’elle vive sa vie comme elle l’entendait, Sullivan ne l’en empêcherait pas. Sullivan avait beau être plus vieux que sa sauveuse, mais elle avait pratiquement toujours raison.

Le surveillant n’était qu’à un pas de Maelle… et il n’avait pas encore bougé, se contentant simplement de l’observer d’un air tendre. Qu’est-ce qu’il ferait sans cette fille?! Il verrait toujours tout en noir… et il serait mort depuis longtemps. Cette pensée le fit sourire ironiquement. Doucement, il leva son bras gauche, venant caresser la joue gauche de Maelle, du bout de ses doigts.

« J’ignore si cela va me ‘bouffer’, mais je peux bien faire un effort pour cesser de tout mettre dans ce même panier… »

Se serait difficile pour le pauvre Sullivan, mais il y arriverait probablement. Se penchant, parce qu’il était plus grand que Maelle, il vint déposer un léger baiser sur le front de celle-ci. Il l’aurait bien serré dans ses bras, mais… elle n’était probablement pas blessée seulement qu’au doigt… Il ne voulait pas gaffer et la blesser encore plus! Se serait trop bête.

MAelle n'avait pa reculer lorsque Sullivan c'était redresser. Elle voyait bienqu'il n'osait la prendre dans ses bras de peur de lui faire mal. Aussi elle ne s'offusca pas quand elle sentit ses lèvres sur son front. Elle ne voulait pas lui repondre à ses propos. Non.
Elle ne fit qu'un geste simple mais qui se comprenait.Elle entoura de ses bras le dos de l'homme et l'attira contre elle.Elle pouvait désormait senntir son corps contre le sien.
Cela ne lui faisait pas mal. Elle ressentait du reconford, bien qu'eel fut forte en elle même elle aimait cette sensation.


- C'est tout a votre honneur. Mais n'ayez pas peur de me seerrer vous savez mes blessures ne sont pas si importantes.

Elle redressa son visage vers celui de Sullivan et lui fit un sourire en coin pleins de malice. La sensation du froid du au vent avait disparut opur Maelle. Seul comptait cet unstant. Pour unr fois , une seule seconde elle avait laisser glisser ce visage inmperturbable, voir impassible.

Sully s’était laissé faire, sans rien dire. Il était surpris que Maelle l’attire contre elle, alors qu’elle était blessée. Mais blessée depuis combien de temps? À peu près autant que lui ou seulement depuis quelques jours? Pourtant, sa douce sauveuse ne semblait pas avoir mal, ce qui le rassura. Le surveillant l’entoura doucement de ses bras, faisant bien attention à son bras droit. Il avait beau arriver à le bouger, il ne devait pas exagérer! Il lui semblait que cela faisait des années qu’il n’avait pas prit quelqu’un, ainsi, dans ses bras! Sullivan en tremblait pratiquement tellement il semblait avoir peur de lui faire mal en la serrant ainsi. Il s’était rarement sentit si bien depuis longtemps. Sully caressait même tout doucement les cheveux de l’orpheline. Et dire qu’il avait eu du mal à simplement se dégêner pour faire ce même geste, mais avec Inki, plusieurs mois auparavant! Mais cette fois-ci, il ferait tout pour Maelle. Personne ne la lui enlèverait, malgré ce qu’elle pouvait dire… on ne savait jamais.

Sullivan semblait s’éprendre de plus en plus de cette jeune femme. Pendant un moment, il ferma les yeux. Elle sentait bon… ses cheveux étaient doux… Il trouvait seulement dommage qu’un imbécile avait déjà commencé à martyriser le pauvre corps de Maelle. Il aurait tellement aimé la serrer encore plus fort contre lui! Bon, d’accord, il la serrait déjà assez fort, mais ce n’était qu’une façon de parler. Où avait-elle été blessée? S’était-elle bien recousu, au moins? Elle aurait pu lui dire n’importe quoi, juste pour ne pas l’inquiété d’avantage…

« Vous savez où sont mes blessures pour m’avoir soigné, vous, je ne sais pas où sont les vôtres… Si les miennes sont encore fragiles, les vôtres aussi. Je ne tiens pas à vous blesser d’avantage… Je ne veux pas vous faire souffrir encore plus… » lui murmura-t-il, cherchant parfois un ou deux mots en français. « Vous comptez de plus en plus à mes yeux, Maaaa-elle. Jamais je ne supporterais le fait de vous faire le moindre mal. »

Psychologique ou physique, il éviterait autant que possible d lui en faire. Il l’aimait déjà trop pour cela. Ce qu’elle pouvait être belle, aussi! Sully avait rouvert les yeux, observant Maelle d’un air attendrit.

[Désolée pour hier et avant-hier, j'ai pas pas eu assez de temps pour répondre ^^' ]

( ya pas de mal^^)

Maelle savoura se moment tranquillment dans les bras de Sullivan. Elle savait qu'il tremblait un peu parce qu'elle le ressentait. Sans doute a cause de ses blessures. Aussi elle se détacha un peu de lui et lorsqu'il lui posasa qustion elle garda son petit sourire en coin.

- J'ai été agresser hière dans la matinée. J'aurais du faire attention en allant dans les douches. Je sais.
Il m'a ouvert le ventre et un peu abimé le doigt.

Elle montra son index bandé et lui dit encore pour le rassurer.

-POur le doigt je n'aurais aucune marque mais le ventre, mêm si j'ai asser bien recousue...j'aurais surment une fine cicatrice. Mais j'ose esperer que malgrés mes marques de guerre, je suis toujours dans votre coeur.

Elle disait cela mais elle savait au fond d'elle qu'il n'y avait pas d'importance, qu'il la prenait comme elle l'était. Elle l'avait bien compris alors qu'il l''avait tenu dans es bras. De plus son regard le prouvait doublement.

Hier? Dans la matinée?! Lui-même n’avait pas été en si bon état en si peu de temps… Il avait mit au moins une semaine avant d’avoir un peu plus d’allure… et voilà que maintenant, Maelle venait de lui la date à laquelle on l’avait torturée! S’il avait sût, jamais il ne l’aurait laissée debout aussi longtemps. Sullivan soupira. Il paraîtrait vraiment pour un homme trop protecteur… Il sourit à ses autres paroles. Il avait déjà plus de cicatrice qu’elle, de toute façon! Et puis, comment pourrait ne plus la garder dans son cœur?! Son tortionnaire aurait pu la mutilée et il l’aurait trouvé belle quand elle.

« Qu’importera le nombre de cicatrices, de blessures, etc., je vous aimerai toujours, Maaaa-elle. » lui dit-il, venant déposer un autre baiser sur le front de celle-ci.

Tout doucement, il l’entoura de son bras gauche, l’entraînant vers le banc. Il était hors de question qu’elle reste debout alors qu’elle était blessée! Heureusement, elle ne semblait pas sur le bord de la mort, comme lui l’avait été durant quelques temps. Une fois rassit avec elle, Sullivan soupira. Qu’avait-on fait, exactement, à Maelle? Pourquoi un seul de ses doigts était bandé? L’avait-on violée? Quelles horreurs avait-elle subie? Et par qui? Sully se posait probablement encore trop de question. Et il était peut-être mieux de ne pas avoir de réponse à sa dernière question… À présent, il savait le nom du nouveau sous-directeur… Malgré la peur qu’il éprouvait à l’égard de Gin, Sully risquait d’accéléré d’un cran sa vengeance s’il apprenait que c’était lui qui avait blessé Maelle.

« Vous avez froid? » demanda-t-il, alors que le vent lui semblait se lever d’avantage, venant ébouriffer encore plus ses cheveux.

Maelle laissa Sullivan l'atiré sur le banc et s'assit donc tout près de lui. Elle n'avait pas ttelement froid mais se sentait un peu fatiguée. Il est vrai qu'elle était encore convalescente.
Mais elle ne se l'avouerait jamais. Maelle n'était pas du genre à se plaindre ou a montrer ses blessures. Elle n'avait pas mal mais elle ressentait la fatigue.
Elle ne repondit pas a sa premier affirmation. Elle connaissait déja la reponse.
Elle porta son regard gris clair sur le visage de Sullivan et d'une main elle lui caressa le visage. C'était comme een reponse a son baisé sur le front.

- Non je n'ai pas vraiment froid. J'ai juste un peu de fatigue. Mais j'ai vu votre inquietude dans votre regard. Sachez que je n'ai pas mal et que je n'ai pas été violée. J'ai juste été un peu molestée. IL n'y a rien de bien grave et pusi ce n'est pas la peine d'en faire un fromage. Je suis en vie.

Elle frissonna alors qu'une vent plus froid vint quelque instant les enquiquiné sur leur banc.

- Vous voulez que l'on rentre?

Ça paraissait tant que cela, quand il s’inquiétait? Probablement. Même Virginia avait été capable de savoir lorsqu’il était inquiet… c’était à ce demander si c’était palpable, puisque Virginia était aveugle… Enfin, il n’avait pas à se plaindre, sauf qu’il ne pouvait mentir sur ses inquiétudes. Cela le fit sourire légèrement. Et Maelle qui répondait même aux questions qu’il n’avait pas dites à haute voix! Cette femme était vraiment géniale. À croire qu’elle devinait ce qui le tracassait. Et puis elle avait une si douce main… Sully n’avait pas remarqué cela avant, mais il ne fallait pas oublié que la dernière fois que Maelle l’avait touché, il avait été soit à demi-conscient, soit trop fatigué pour s’en rendre compte. Il se souvenait plus ou moins de ce qui s’était passé après sa torture et avant qu’il ne soit à sa chambre, d’ailleurs… Chose certaine, Maelle n’était pas en aussi mauvais état que lui. Enfin, du moins, elle ne l’était pas autant que lui, suite à sa torture.
Fromage, panier… Elle voulait un pique-nique ou quoi?! À force de parler de cela, elle donnait pratiquement faim à Sullivan.

« Ça paraît tant que cela, quand je m’inquiète? Enfin, vous avez vraiment une drôle de façon de voir les choses, parfois… Néanmoins, je suis happy que vous n’ayez pas plus souffert que cela… » dit-il, sachant que le viol ne devait pas être très… plaisant.

Lorsque Sully la vit frissonner alors qu’un vent plus frais se levait, il retira sa veste pour la mettre sur les épaules de la jeune femme. Sa chemise cachait toutes ses blessures, sauf celles au niveau de son bras, où l’on en voyait les débuts des coutures. Ça cicatrisait bien, même s’il garderait deux cicatrices à son bras.

« Oui, se serait mieux… Le lac est bien joli, mais il commence à faire vraiment froid avec ce wind! »

Il avait complètement oublié ce qu’était le mot ‘vent’, en français. Fonçant les sourcils, il se mit à réfléchir un moment, avant de soupirer. Il regarderait dans son dictionnaire, s’il passait à sa chambre.

« Où voulez-vous aller? » demanda-t-il à Maelle, ne cessant de la vouvoyer.

Maelle se rendit compte qu'ils n'avaient jamais cesser de se vouoyez depuis le début. Cela dit elle n'amaist pas toujours les convenances, mais là cela devenait un peu trop ..distingué voir froid de ce vouvoyez. Surtout apres ce qu'ils venaient de se dire. Aussi elle lui fit un sourire franc et pris la parole.

- Je susi asser parcpicace comme fille parfois tu sais. Mais je ne suis pas non plus devin. Seulement j'aime observer les gens pour comprendre ce qu'ils veulent faire ou dire. C'est plus partique parfois pour se comprendre.
Parcontre j'aimerais qu'on aille dans une endroit tranquille dans le manoir. Je ne l'ai pas encore vraiment visité, mais je connais lcertains lieux ou il ne faut pas trainer ou alors juste pour s'amuser. Alors je me met a ton libre choix Sullivan.

elle le regardait dnas les yeux avec ce même sourire franc et doux. Elle avait sa main dans celle du jeune home et cela lui donna un leger frisson dans le dos.

En tout cas, elle saurait facilement lorsqu’il serait inquiet. Il avait toujours la même tête, le Sullivan, toujours le même regard inquiet… Enfin, ça lui éviterait de toujours dire qu’il était inquiet pour elle!

« Je ne doute pas de ta… perspicacité… parfois, j’en viens à me demander si tu ne devines pas ce que je songe. »

Il sourit, sachant très bien que cela ne se pouvait pas, même si parfois, il en doutait légèrement avec Maelle. Elle semblait tellement toujours tant deviner ce qu’il pensait! Cette fille était… extraordinaire! Belle comme tout, intelligent, douée pour soigner des plaies… Une jeune femme vraiment parfaite. Et puis elle semblait capable de se débrouiller en anglais, ce qui l’aidait énormément et lui évitait de chercher des dizaines de minutes un mot qui lui échappait.
Sully resta songeur un instant sur l’endroit à proposer à Maelle. Sa chambre pourrait convenir, même s’il en avait marre d’y traîner depuis qu’il était blessé… Sinon, il y avait le salon qui devait être assez calme à cette heure-ci. La pièce vide aussi… elle était pratiquement toujours vide, de toute façon. De son pouce, il caressait tendrement le dos de la main de sa belle sauveuse.

« Eh bien, il y a ma chambre où personne ne pourra nous déranger, sinon le salon est très bien… et la pièce vide… quoi que la dernière fois où j’y suis allée, il y avait du sang un peu partout sur le sol… » fit Sullivan, avec une grimace de dégoût. Il jeta un coup d’œil interrogateur à Maelle. Où préférait-elle aller?

[Désolée, manque d'inspi' pour ce post ^^' ]

Maelle garda un sourire sur le visage. elle sentait dans son dos les douces caresses que lui prodiguait Sullivan. Elle pouvait sentir son parfum en resntant ainsi pres de lui.

- Non je ne peux pas les deviner car je ne suis pas omnisciente mais je suis observatrice. J'aime voir et percevoir les détails de ce qui m'entour. Parfois tu es un peu un livre ouvert. Mais toi aussi tu pourras faire cela quand tu me connaitras.
Il faut de l'entrainement.

Elle soupira silencieusement et s'écarta un peu de l'homme.

- Je penche pour la pièce vide. Je ne suis pas encore aller par labas. Je sias que cela peu etre étrange comme choix mais j'aime etre original parfois.

Elle lui fit un clin d'oeil et le tira par la main tout en lui faisant un sourire amusé.

-Aller allons y.

Non, bien entendu qu’elle ne pouvait pas savoir ce qu’il avait dans la tête, mais elle était douée pour le deviner. Cette femme était vraiment terriblement observatrice! Sully devait l’avouer… Lui, un livre ouvert? Probablement. Maelle n’était pas la seule à arriver à deviner facilement qu’il était tracasser à cause de telle ou telle chose.

« Eh bien, pour l’entraînement, je crois que j’en aurai terriblement besoin. » dit-il avec un petit sourire ironique.

Il avait déjà du mal à prononcer correctement le prénom de l’orpheline, alors elle devrait attendre encore un moment avant qu’il arrive à faire comme elle! Sully n’avait aucun mal à deviner quand une personne était triste et qu’elle le montrait un peu, mais autrement, il valait mieux ne pas trop lui en demander. Sullivan n’était pas le genre d’homme qui aimait se trouver entrer d’une foule. Une ou deux personnes, pas vraiment plus. Il était assez solitaire, même si une fois qu’il se faisait un ami ou qu’il tombait amoureux, il cherchait à passer beaucoup de temps avec cette personne. Il devenait peut-être un peu… collant.

« J’espère que la pièce aura été nettoyée, depuis le temps… L’avantage, c’est que nous allons y avoir la paix. »

S’il y avait une personne, se serait déjà un miracle! Sullivan sourit à Maelle. Cette fille était tout aussi imprévisible qu’Inki, mais bien moins… sadique. Ce qu’elle lui plaisait! Il se laissa tirer par la main, trop occupé à contempler sa gentille sauveuse pour songer à bouger. En fait, il ne sembla se réveiller qu’aux paroles de celle-ci. Sully eut un sourire gêné.

« Second floor! » dit-il, d’un ton joyeux, sans se rendre compte qu’il avait encore du mal à énumérer les étages, en français, d’un établissement.

Maelle se sentait un peu plus heureuse au fond d'elle même. Mais elle ne l'affichait pas vraiment. Elle avait encore se sourire amusé quand Sullivan lui parlait en lui indiquand l'étage.

Elle le tirait toujours gentillement par la manche vers le manoir.
Il faisait vraiment froid et de la fumée quittait ses narine. Ses poumons s'meplissaient d'air pur.


- On dit deuxième étage mon cher.

Elle avait dit cela sur le ton de la taquinerie pour le faire un peu mariné. Mais elle adorait son petit accent et cela ne la renfrognait nullement qu'il n'arrivait pas encore a prononcer son nom.

( pièce vide)