Coupure (pv pacson et Hot)

Il voiyait très bien que Verona avait décider de ne pas montrer sa peur. Et franchement, cela l'énerva. Mais toujours dans sa grande colère, il décida d'en finir au plus vite car Verona ne l'exitait plus vraiment beaucoup. Aucune énergie comme il aimait... aucune vibration et de plus malgré les tentatives de celui-ci, aucun ralement il n'avait entendue. Pacson eut quelques moments des doutes sur ses compétences en tant que ... enfant du mal. Avait-t-il réussi??? Certainement pas, un échec évidament. Et oui, malgré sa personnalité délirante, Pacson pouvait lui aussi perdre.

Il égacula totalement dans Verona laissant échapper un énorme AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH.

Puis aussi rapidement qu'il l'avait enfourcher s'enleva de sa proie et se dirigea vers son pantalon. Il le mit avec rapidité puis sans dire un seul mot, se dirigea vers le lit de Verona. Il la détacha complêtement de son lit, enlevant les noeuds, le bandeau sur sa bouche et la couvra de drap totalement blanc.

Puis il retourna vers sa chemise tout en la remettant.

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Verona faisait de son mieux pour ignorer ce qu'elle était en train de subir. Pacson lui faisait mal aussi bien au corps qu'au coeur. Elle haïssait son bourreau autant qu'elle le plaignait de n'avoir trouver que cela pour exprimer sa haine des siens. La jeune Italienne ne sentait plus rien à présent.

Pacson finit par jouir dans un grand cri. Elle ne fit absolument rien. Par contre, elle fut surprise qu'il la détache pour la recouvrir ensuite d'un drap propre. Elle s'y enveloppa pour couvrir son corps puisqu'il avait déchiré ses vêtements. Elle le regarda se rhabiller en silence avant de se lever.

"Pourquoi? Pourquoi tu ne dis plus rien?"

Elle arrangea le drap qui glissait légèrement. Curieusement, elle avait du mal à lui en vouloir d'avoir fait ça. Peut-être à cause de ses changements de personnalités, elle n'arrivait pas à savoir pourquoi.

- Tu n'est pas fraiche et désirable. En fait, tu est médiocre, je me demande même pourquoi j'ai perdue mon temps avec toi....

Pacson était un salaud de nature. Tout son corps avait repris sa personnalité qu'il possédait la plupart du temps....

- Tu n'est qu'une petite sa**** qui se fait baiser par des sois-disant MEC. Tu ne sais pas apprécier le moment présent... Dommage.. tu aurrais pu être quelqu'un de bien suite à ce que j'ai osez te faire. Tu peux te plaindre à qui tu voudra, crier sur tout les toits que je suis le pire des salauds car de toute façon je ne m'en cache pas. J'aime prendre les jeunes filles par forces.... Moi.. je suis vrai et je ne me cache pas...

Il s'était approcher de Verona comme un père qui gronde sa petite fille. Ses mains tremblante de colère.

- Allez, Verona, sourie à la vie... elle est tellement belle non? Sourire en coin.

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L'Italienne remit un peu d'ordre à sa longue chevelure rousse. Il lui reprochait de ne pas être désirable et l'accusait d'un manque de caractère, de ne pas assumer sa vraie nature. La dernière phrase cassa tout son discours, comme d'ordinaire.

"L'erreur vient peut-être de toi. Tu n'as rien fais pour que je sois désirable. Pour le reste, tu as sans doute raison, j'ai peut-être mal choisies mes relations. Cependant, ai-je vraiment eut le choix?"

Verona s'approcha de la fenêtre ouverte. Elle n'avait plus peur de laisser son dos à Pacson. D'ailleurs, elle n'avait plus peur de lui tout court. Elle commençait même à lui trouver une certain charme avec ses passages d'une folie pure à une sagesse impressionnante. Elle se retourna, le drap qui la couvrait glissa un peu.

"Mais au fait, qui te dis que je n'ai pas apprécié ce que tu m'as fais? Je ne l'ai pas montré, c'est tout."

La jeune fille quitta l'appui de la fenêtre pour s'approcher de son interlocuteur. Bon sang! Trop grand pour elle! Alors elle l'attrapa par la nuque, le pencha et posa ses lèvres sur les siennes. Ses yeux se fermèrent.

Pacson fut très impressioner du retour de situation. Contre toute attente, Verona se retrouva en un instant devant lui déposant ses lèvres sur les siennes.

????????????????????????? Voilà se qui se passa dans le cerveau de Pacson. Il se retira de son étreinte et la pris par les mains pour la repousser de plus loin encore.

- Tu agit comme une enfant.souffla-t-il

Il se retourna et continua de boutonner sa chemise. Il remonta son pantalon pour ensuite rentrer sa chemise dedant en tourna le dos à Verona.

Pacson était normal. Ont aurrait pu croire qu'il était enfin arriver à avoir sa personnalité humaine. Il passa sa main dans ses cheveux les replacants maladroitement.

- Ont devrais remettre un peu d'ordre ici, je crois.

Il commenca à placer le tout ignorant Verona. En fait, Pacson n'avait plus du tout envie de jouer avec celle-ci. Pour l'instant, cependant, cela ne l'empêcherait certainement pas de recommencer un jour.

- Si l'envie te prend, viens me voir, ont pourra arranger quelques choses pour améliorer tes performances.

(DARK ENNEMIS)

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Verona recula sous la poussée de celui qui avait été son bourreau. Voilà que maintenant il était normal. Du moins, c'est ce qu'il paraissait. Concernant son côté puérile, l'adolescente hocha la tête.

"Ici, on l'est toute un peu parce qu'on a dû grandir très vite. Tu crois peut-être que c'est facile de jouer à cache-cache avec une bande d'obsédés?"

Elle le regarda ranger la pièce et finit par observer ce qui restait de ses affaires. Elle put récupérer ses sous-vêtements et sa jupe. Avec le reste de son débardeur, elle se fit une sorte de bandeau de poitrine. Elle nettoya le sang qu'il avait mis sur son ventre. La rouquine se tourna vers Pacson.

"Et on fait comment pour sortir? Je te rappelle quand même que tu as balancé la clé par la fenêtre."

Avec un miroir, elle essuyait les traces de sang de l'entaille sur sa joue. Un peu du liquide rouge coula sur son doigt qu'elle lécha.

Pacson sourit sans que Verona le remarqua.... Bande d'obsédé! AH Ah ... contrairement à PAcson, les autres n'était que des moutons dans une bergerie. PAcson lui était vrai et n'Avait pas peur de crier qu'il aimait faire pleurer les gens et même les voirs mourrir. Cependant, il ne crut pas bon de répliquer à cette réplique.

Il fut un pue énerver que Verona ne se rappella pas bien ou il avait balancer la clé. MAis il ne répondit pas encore une fois.

- Tu sauras ma belle que tout ce qui se trouve dans une pièce peut devenir une clé. Mais bon ca ne m'étonne pas de toi. Aucune débrouillardise.

Connaissant très bien comment défaire une pogné de porte, pacson se mit ardament au travail recherchant les petites faiblesse de ce morceau de bois.

- J'aimerais que tu te rendent utile et apporte moi donc la petite braoche enrouler sur le comptoir .... à moins que tu ne vois pas avec tes yeux...

Pacson était normal, enfin comme un homme normal tout en fesant des commentaires sacartisques... franchement, personne n'aurrait pu douter que celui-ci venait d'agresser une belle et jeune fille. Mais enfin, pourquoi Pacson était ainsi?... Même lui ne le savais pas, c'était en lui et il obéissait. Sans jamais être le même.

Accroupie près de la poignée, il perdit patience et donna un violent coup du la poigner ce qui le fit saigner de sa main. Mais cela ne l'arrêta pas il continua à rechercher le fissure.

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Verona haussa les épaules. Finalement, ce type n'était peut-être pas si intéressant que cela. Un taré de plus dans ce monde de fous, rien que de très banal en fin de compte. Elle avait décidé d'ignorer ses remarques désobligeantes et prit ce qu'il lui demandait. Elle lui apporta au moment où il cognait de nouveau contre la porte.

"Ouais bon, on se calme maintenant."

L'Italienne était déçue par cet homme qu'elle avait un instant crut différent des autres. Si il était différent, ce n'était que par ses crises de folie, pour le reste, il était comme les autres.
La jeune fille alla s'asseoir sur le lit où il venait de la violer. Vraiment, c'était dommage qu'il l'ait repoussée. Elle aurait voulue lui montrer que la douceur était mieux que la brutalité. Mais lui n'en voulait pas. Tant pis.

"Bon alors, tu l'ouvres, cette porte?"

Verona s'énervait et voulait s'en aller.

Pacson essaiya du mieux qu'il pouvait mais décidément, cette porte ne s'ouvrirait que par l'extérieur.

Citation :

"Bon alors, tu l'ouvres, cette porte?"

Pacson se retourna lentement vers Verona.

-Va, tu la fermer pé*****?!

Il se jeta brutalement sur celle-ci lui administrant un claque violente au visage. Son corps était brulant et il commençait réellement a en avoir plein sa claque. Enfermer avec une fille tellement '' Normal ''.

Elle était comme toute les autres, voulant tout maintenant et jamais plus tard, ou bien elle avait tout ou bien celle-ci voulait juste après l'avoir eu.. arfff pacson était vraiment méler et se ressaisit.

- On va passer un autre instant seul ici tout les deux faut croire....

Puis aucun mot ne sortit de sa bouche ensuite. Il attendait assis a coté de Verona.

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Verona ne broncha pas sous la claque qu'il lui envoya. Elle en avait prit d'autres, et des bien pires. Elle se contenta de se masser un peu la joue, histoire d'en faire disparaître la rougeur. Elle s'apercevait facilement qu'elle avait prit un léger ascendant sur lui en lui emmêlant les pensées. Lui ne comprenait que les autres fous et elle arrivait à jouer sur les deux tableaux. Elle le regarda s'asseoir près d'elle et l'observa plus en détails.

Il n'était pas si mal, il avait un charme certain. Mais son état mental l'empêchait visiblement de savoir se mettre un peu en valeur. Quel dommage qu'il soit si malade. Elle sourit légèrement en l'entendant parler d'un moment qu'ils auraient à passer ensemble.

"Tu m'as demandé de venir te voir un de ces jours pour "améliorer mes performances" si je reprends tes propres mots. Puisqu'on a du temps, montre-moi ce que tu voulais dire."

L'Italienne avait bien eut peur de lui au début mais plus maintenant. A quoi bon le craindre, il était finalement presque plus sain que les autres gardiens.

Pacson était beaucoup plus normal qu'à certain moment. Quelque fois, sont coté fou le mettait dans des situations vraiment invraisemblable que même Pacson n'arrivait pas à comprendre.

Citation :: "Tu m'as demandé de venir te voir un de ces jours pour "améliorer mes performances" si je reprends tes propres mots. Puisqu'on a du temps, montre-moi ce que tu voulais dire."

Pacson souria tout en continuant de regarder par terre. Puis ce tourna vers Verona.

- J'ai été méchant avec toi, excuse-moi...

Pacson s'excuser... un moment certainement rare pour une personne comme lui étant donner que lui tard dans la soirée, il serait toujours le même, celui qui aime faire le mal. Mais en se moment, il était fort sincère. Peut-être que la naiveté qu'il voiyait en elle lui fesait pitié.... ou peut-être que le vra James voulait être présent à quelque moment pour ne pas se faire oublier.

Il s'était touner pour lui dire ses paroles la regardant. Puis dans un mouvement tendre et doux, il déposa un léger baiser sur ses lèvres. Puis se retira quelque peu. Puis un autre baiser plus passionner par il lui mit une main sur la joue pour le savourer.

En manque de compassion, Pacson avait laisser le vrai James apparaitre, ce qui arrivait rarement. Un Pacson faible et fragile, un Pacson que même lui, détestait voir.

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Verona attendait une quelconque réaction de l'homme à ses côtés mais pas celle qu'il eut. Elle le regarda avec de grands yeux. Il avait une réaction tout à fait "normale" si il existait une norme dans ce monde. Mais l'entendre s'excuser collait tellement peu avec le personnage qu'elle avait eut avec elle tout ce temps qu'elle avait du mal à y croire.

Elle reçut un premier baiser rapide et doux auquel elle ne s'attendait pas. Puis un second, plus long, encore plus doux, tendre. Par réflexe et aussi parce qu'il embrassait bien, elle répondit au baiser. Ses yeux se fermèrent alors qu'une main se posait sur sa joue. L'Italienne passa un bras autour du cou de l'homme.

En une seconde, elle avait oublié son viol pour profiter de ce baiser et pourquoi pas, aller plus loin, mais de façon consentante cette fois. Elle ne pouvait pas le nier, Pacson l'attirait de plus en plus à cause de ses changements de caractère. Elle se rapprocha de lui et bascula en arrière, l'entraînant avec elle.

Pacson se laissa tomber sur le dos avec Verona dans ses bras. Il se sentait comme un petit garçon qui connaissait l'amour pour la première fois. Couchée sur elle, Verona semblait encore plus belle qu'au début. Son esprit oublia enfin qu'ils étaient enfermer pour laisser libre court a leurs pulsions.

Il caressa ses cheveux aussi doux que de la soie puis les repira en enfoncant sa tête dans ses cheveux. Un doux parfum venue chatouiller les sens de Pacson réveilla son membre. Ses mains caressait son corps de nouveau nue mais cette fois avec une douceur que Pacson possédait rarement. Il n'était pas amoureux de Verona mais son corps tout entier lui disait qu'il ne devait pas laisser passer se moment. Aiyant enfin le vrai James dans l'infirmerie, celui-ci se mit a lécher l'entre-jambe de verona qu'il venait de pousser pour se libérer et écarter ses jambes. Tout en lui administrant cette douceur, il continua a caresser ses jambes de son autre main.

Il arrivait quelque fois que Pacson redevienne le vrai James. C'était rare mais cela arrivait parfois. Les gardiens de l'asile adorait le James car celui-ci acceptait tout se qu'on pouvait lui dire et les gardiens et membres du personnel pouvait même dire qu'il semblait avoir une ame dans ce corps. Ses changements d'attitude était très dur pour son corps car les différents Pacson se battait pour prendre la place principale. Et il en ressentait les faits car Pacson ne prennait pas plus soins de son apparence. Essouffler par les nombreux combat. Essouffler par Pacson qui était le mal et souffrance.

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Verona sentit le matelas dans son dos et laissa Pacson passer au-dessus d'elle. Elle n'avait même pas remarqué la carrure qu'avait son amant. Les épaules larges et puissantes du jeune homme l'encadraient complètement et pour la première fois depuis des mois, elle se sentit en sécurité.

Il enfouit son visage dans ses cheveux et elle lui caressa le dos, passant délicatement ses doigts sur ses cicatrices. Il la déshabilla de nouveau et elle se cambra sensuellement. Son corps bronzé ondula lentement. Elle se laissa écarter les cuisses et gémit lorsqu'il se mit à lui lécher l'intimité. La jeune fille ferma les yeux et se laissa aller sous ses caresses. Elle sentait qu'il ne lui ferait aucun mal cette fois et se surprit à le vouloir en elle.

"Tu es un homme fascinant."

Doucement, elle lui releva la tête et l'embrassa de nouveau. L'attirant contre elle, une de ses mains glissa jusqu'à caresser le membre tendu de James. Cambrée, elle s'appuya contre lui et s'allongea de nouveau.

"Viens. Viens en moi."

A peine un murmure et elle l'embrassa encore. Curieux, elle n'arrivait pas à se lasser du goût de ses lèvres. Elle voulait encore se sentir protégée contre lui.