Coupure (pv pacson et Hot)

Nombre de messages : 117 Age : 35 Date d'inscription : 13/06/2006

Verona avait été boire à la cuisine. Elle avait eut soif en plein milieu d'une de ses habituelles excursions dans le bois. Elle aimait aller s'y promener, échapper un moment à la surveillance pas toujours correcte des gardes.

Son verre était tombé et en ramassant les morceaux, l'un d'entre eux lui avait entaillé la paume. La jeune fille entra dans l'infirmerie. Personne, pas un bruit, l'infirmier de service devait être sortit. Au fond, tant mieux.

Elle prit de quoi se soigner quand un bruit la fit sursauter. L'italienne se retourna d'un bond, le coeur battant.

"Qui est là?"

Le soleil entrait doucement dans les différentes partie du chateau et Pacson prennait le temps de prendre un coup de soleil à chaque fois. Il adorait la chaleur. Son petit nez crochue dans les air les yeux fermer et un petit sourire narquois était sur son visage à chaque arrêt.

Il appercut en passant devant l'infirmerie une Orpheline seule dans la grande pièce. Il recula de quelques pas et remarqua que celle-ci était bel et bien seule dans la pièce. Parfait, il en profiterait. Une belle journée de folie était maintenant sur son Horaire. Il la reliquait de loin appréciant ses courbes ainsi que ses formes. Elle avait des cheveux merveilleux et un Popotin bien rond^^( hé Hé Hé afro

)

Pacson entra dans la pièce et commenca à refermer la porte tellement doucement que même Verona ne s'en appercue pas. Il était de dos à la porte toujours entrain de regarder sa proie. Il mis sa main sur le cachet( Pour barrer la porte) pris la clé et la lanca dans un évier qui fit un bruit interminable tout en avalant la clé.

Citation :: "Qui est là?"

Pacson mit un doigt sur sa bouche et son attitude malvaiyant repris le dessus. Aucun sourire sur son visage mais les yeux pétillants il décida de s'avancer vers la petite demoiselle. Sachant bien que celle-ci ne serait pas concentante aux petites folleries qu'il voulait lui faire il décida de s'écarter d'elle avec un comptoir qui était juste devant Verona.

- Ta main saigne...

Il regarda sa main désirant boire son sang comme d'autre aime boire du vin.

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L'homme devant elle n'y ressemblait pas vraiment. Il ne lui avait pas répondu, juste mis un doigt sur ses lèvres. Verona n'était pas du genre trouillarde mais celui-ci l'effrayait bien plus qu'elle ne l'aurait jamais avoué.

- Ta main saigne...

Elle ouvrit un peu sa paume tâchée de rouge.

"Je sais, c'est pour ça que je suis là."

Elle maîtrisait comme elle pouvait le début de tremblement qui la secouait et essayait d'assurer sa voix. Le regard malveillant de l'homme la mettait mal à l'aise. Elle expliqua sa blessure pour se donner un moyen de détourner sa crainte.

"Je me suis coupée avec un bout de verre."

Pourquoi fixait-il sa plaie comme ça? Elle n'avait rien d'attirant.

Pacson passa sa langue sur ses lèvres. Il désirait plus que tout posté sa bouche sur cette plaie pour s'abreuvez de sa force. Mais il se retiens et regarda Verona dans les yeux.

- Je suis James. Je suis arrivée il y a maintenant, regardant sa montre...... 28 heures.

Son sourire était maintenant revenu. Ses dents pointue blanches étaient très apparente et ses sourcils était relever donnant à Pacson une allure de fou. Ses cheveux en bataille noir n'arrangeais rien du tout. Son costume était sale et amples ce qui n'améliorait pas l'apparence de Pacson. Il n'avait pas dormie depuis son arrivé et des cernes était apparut en bas de ses yeux.

- Je peut la nettoiyer pour toi si tu veux...

Il se retourna prit une serviette propre, plier, sur un autre comptoir plus loin et la mouilla puis se rapprocha de Verona de nouveau. Il lui prit la main et commenca à laver sa plaie.

- Tu est chanceuse tu sais, tu sera la première.... afro

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Elle l'écouta se présenter. Une drôle de façon de faire, en lui donnant presque l'heure de son arrivée la veille. La jolie rousse ne bougeait pas, bien qu'elle ait très envie de courir s'enfermer quelque part pour échapper à son étrange regard. Par habitude, elle se présenta aussi.

"Je me nomme Verona."

Le sourire de son interlocuteur lui donna de nouveau l'idée de fuir. Il était quoi au juste? Un humain à l'apparence d'un fou ou un vampire en manque? Il avait une tenue négligée, comme celle de quelqu'un qui aurait dormi dans un train.
Il lui proposa de nettoyer sa plaie et elle n'osa pas bouger. Pourtant, elle aurait préféré de loin qu'il parte.

"La première? La première à quoi?"

Pacson fut heureux d'entendre le nom de la demoiselle qu'il avait devant lui. En plus d'être mignonne à souhait elle portait un très beau nom. Tout ce que Pacson aimait. Cependant, elle fit une erreur. Il adorait entendre ces mots-ci:

-La première? La première à quoi?

Il arrêta de laver la plaie à Verona puis leva la tête dans les airs.... les yeux fermé et les bras ouvert tout grand.

- Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh.... ma question préféré.

Son regard changa du tout au tout.... ses yeux devint méchant et il ne souria plus du tout. Il avait baisser ses bras et regarda Verona encore plus menacant.

- Ca te fait mal? lui demanda-t-il toujours sans aucune émotion sauf celui de la colère.

Il contourna le comptoir et se dirigea vers sa proie. Il passa vers l'arrière de celle-ci et sentie son parfum. Son visage changea encore il souriait mais toujours menacant...

Puis il prit la serviette qu'il avait laisser sur le comptoir et l'enroula au coup de sa victime. Il lui souffla de l'arrière de celle-ci...

- Je craint que cette journée ne soit pas bonne pour toi....

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Peut-être avait-elle posé une mauvaise question mais en tout cas, il eut une réaction des plus inattendues. Il parut heureux qu'elle lui ait demandé ça. Le changement de regard la fit reculer d'un pas ou deux.

"Mal? Vous ne me touchez même plus."

Nouvelle erreur, elle aurait dût réfléchir avant de parler. Elle voulut se sauver mais il lui bloqua le passage et elle fut comme paralysée devant lui. L'avoir dans son dos ne la rassurait pas mais quand il passa la serviette autour de son cou, elle leva la tête et glissa une main entre le tissu et sa peau.

- Je craint que cette journée ne soit pas bonne pour toi....

C'était le moins que l'on puisse dire. Blessée, coincée par un homme faisant une bonne tête de plus qu'elle et au moins deux fois plus fort, telle était sa situation.

"Lâ... Lâchez-moi s'il vous plaît."

À la demande de sa victime, il relacha la serviette et recula de quelques pas. Il se retourna vers le comptoir et s'appuiya sur celui-ci comme si il se demandait ce qu'il avait fait. Cependant, ce n'était pas du tout cela. Pacson adorait le mal et adorait jouer avec sa victime. Il leva la tête et dit d'une voix neutre:

- La porte est barrée. J'ai jeté la clé dans le tuyau de lévier si jamais tu crois que je la possède sur moi. Personne ne peut entrer et personne ne peut sortir.

Il se retourna vers Verona qui semblait troubler de l'attaque que Pacson lui avait fait.

Il enleva sa première chemise laissant une chemise de satin rouge apparaitre. Son pantalon noir quand à lui était toujours aussi sale.

- Je m'excuse de ce que j'ai fait. Viens, je vais soigner ta plaie si tu le veux toujours. J'ai quelques connaissances en Médecine.

Il retourna vers le comptoir et apporta une petite trousse. Il avait dedant des pansements ( petit, gros) une seringue, un produit dans une petite bouteille.. un tube de médicament pour les plaies, un rouleau de tissus.

- Viens, je vais soigner ça.

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Verona se retourna dés qu'il la lâcha. Il semblait troublé, profondément perdu. Faisait-il des crises de schizophrénie? C'était bien possible, depuis quelques temps, ils prenaient tout et n'importe qui dans le personnel.

Il lui proposa de soigner sa main. Verona s'approcha un peu, elle espérit qu'il ne lui mente pas. La jeune fille s'assit sur l'un des lits normalement utilisés pour les blessés plus graves.

"Même si je ne voulais pas, je ne peux pas sortir, vous l'avez dit vous-même."

Elle tendit sa main souillée par son sang vers l'homme. Par chance, le liquide rouge n'avait pas trop coulé et ne lui avait pas taché ses vêtements. Verona avait horreur d'être sale. Aujourd'hui, elle portait un tee-shirt au col assez échancré et un mini-short noirs.

Pacson suivie Verona sur le lit puis recommenca à soigner sa blessure.

Il ne dit plus aucun mot perdue dans ses pensées. Après avoir terminer il caressa sa main. La trouvant tellement douce. Puis il la regarda dans les yeux.

- Tu est si fraiche et si belle...

Il lui caressa le visage.

- Tes lèvres...elles semblent si douce....

Pacson enleva sa main dessus sont visage et continua à caresser sa main. Tu sais, je suis vraiment désolé pour tout à l'heure, je ne sais pas ce qu'il ma prit....

Il baissa la tête. Verona ne pouvait plus le voir. Il avait un grand sourire et se retenait pour ne pas lui sauter dessus. Il releva la tête et décida de posé sa main sur sa cuisse. Elle refuserait certainement mais il l'aurrait quand même. Pacson avait presque toujours ce qu'il voulait.

- J'aimerais t'embrasser...souffla-t-il

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Ce retour inattendu au calme apaisait la jeune fille. Il n'était peut-être pas si dangereux qu'il en avait l'air. Elle le laissait caresser sa main pour le moment. Tant que cela ne dégénérait pas, elle pouvait tolérer.

- Tu es si fraîche et si belle...

Allons bon, lui aussi se mettait à lui faire des compliments. Elle ne recula pas le visage mais le contact de ses doigs la fit frissonner. Seulement, la crainte revenait lui nouer le ventre. L'entendre s'excuser lui fit un drôle d'effet parce qu'il cacha son visage. La main sur sa cuisse, elle n'accepta pas.

- J'aimerais t'embrasser...

La jeune Italienne se leva, faisant en sorte qu'il la lâche. Elle alla près de la porte verrouillée.

"C'est ça, dans vos rêves. Et maintenant, je peux sortir?"

"C'est ça, dans vos rêves. Et maintenant, je peux sortir?"

Pacson regardait le lit sans broncher. Il ne se leva pas à la suite de ses paroles. Pacson se retenait pour ne pas crier. Il serra les poings. Il se releva sans la regarder tripotant la boite médicale. Il la déposa sur la table. Puis il regarda dehors. Il appercut deux fille qui se débattais contre deux surveillant. Il en avait rencontrer une hier. Il s'amusa que l'un mangeais une raquelé. Cependant, l'autre lui fesait pitier. Sentant que Verona s'impatientais, il se retourna alors vers elle, s'accotant sur un bureau.

- Tu sais, j'ai le goût de te raconter une histoire. Elle est très amusante tu verra. Il était une fois, un jeune homme qui adorait tué les animaux. Il était complêtement fou de la torture d'Être vivant. Tu sais ce qui est arrivé à ce petit garcon qui a vécu toute son enfance dans une hospital phyciatrique? Et bien, jusqu'à ses 18 ans, le jeune homme attendit patiament sa fête. Et lorsqu'il est sortit. Il a fait un petit cadeau d'adieu à cet hospital. Un jolie cadavre. Tu vois entendre quelques choses de plus drole encore??

Il se mit à rire comme un enfant.

- C'est que c'est moi ce garçon. J'ai fait plein de truc après cette journée la... tu devrais demander à mes amies....

Il regarda Verona avec assistance sans jamais cligner des yeux. Il se releva puis prit quelques peu plus loin une énorme bobine de fil. À quoi servait-t-elle? Il ne le savait pas mais il s'en foutait. Il se retourna vivement et sans dire un mot approcha de Verona d'un pas rapide. Il la saisi par le cou d'une main et la lanca sur le lit.

- Je vais te raconter une histoire qui ne s'est pas encore produite....

Il sauta sur le lit ou Verona était éteindue. Puis assis sur elle lui attacha les mains.... ensuite les pieds. Il recu un coup de pied sur la gueule mais cela ne l'arrêtais pas....

- Je suis pas un gardien comme les autres... je suis beaucoup plus différent.... tellement différent.* Tout en attachant les cordes* C'est ma deuxième journée ici. J'ai rencontrer d'autre Orphelines mais je ne les pas toucher pourquoi?! Ah Ah tout simplement parce que je ne fait jamais mal la première journée. Quoi? Tu veut savoir pourquoi maintenant??? C'est simple, ont est le jour deux et il a une éternité que je n'est pas fait quelques choses avec une amies ^^

Il s'écarta du lit et la regarda.....il se retourna et mit la serviette pleine de sang de Verona autour de sa bouche.

- Tu as l'air captive comme ça attend je reviens.

Il se dirigea vers le lavabo et mis sa main dans le trou pour en sortir la clé.... Il ouvrit la porte et regarda de chaque coté puis tapota dans les murs..... Il marquit sur la porte absent pendant quelque temps sur une pancarte qu'il accrocha dessus. Rentra de nouveau barra la clé et la lanca par la fenêtre....

- Bien isolé, ont pourrait croire que cette endroit à été faite pour ce que je vais te faire....

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Verona s'aperçut qu'elle avait commis une nouvelle erreur en le voyant serrer les poings. Enfermée avec lui, toutes les orphelines dehors par ce beau temps, personne ne viendrait l'aider si il devenait agressif.

Il lui raconta une histoire, qui se révêla être la sienne. La jeune fille réalisa avec horreur qu''il n'était pas schyzo mais pire: un pervers sadique au possible. Meurtrier avec ça. Elle voulut reculer et heurta la porte avec son dos, la poignée lui rentrant dans les reins. Il s'approchait et elle ne pouvait pas fuir. Il la prit à la gorge, l'étranglant presque et la lança sur le lit sur lequel elle tomba.

Un poids lui tomba sur les hanches, alors qu'il l'attachait, les mains dans le dos. Elle se débattit et frappa au hasard, l'atteignant en plein visage.

"Lâchez-moi! Espèce de malade! Cretino!!!"

La suite consista en une bordée d'insultes en italien. Un filet de sang coulait de la lèvre du surveillant mais il lui lia les jambes et la baillona pour terminer. L'italienne le vit s'enfermer avec elle. La jeune fille tremblait d'avance devant lui.

- Bien isolé, on pourrait croire que cet endroit a été fait pour ce que je vais te faire...

Elle regretta d'un coup que son short soit si court. Mais même un pantalon ne l'aurait pas ralenti.

Pacson était déchainer, une telle rage dans son visage fesait apparaitre sa folie. C'est à ce moment qu'il changea d'attitude encore une fois devant Verona. Il s'accoupit devant le lit proche du visage de Verona et la regarda dans les yeux.

- Tu sais petite fleur, je n'aime pas être regetter. Je sais, que je suis l'air et pas très musclé comme les autres gardes que tu aime bien. J'ai vraiment de la peine de te faire mal. Mais, tu ne veux pas, mais moi je veux et ca, c'est plus fort que la peine que j'ai pour toi.

Il s'éloigna d'elle et ont l'entendit pleurer. Quelques gouttes tomba également sur le sol. Sont corps fébrile s'était replier sur lui et tremblait à chaque soupir qu'il fesait.

- Méchant Pacson, se chuchota-t-il. Faire mal à petite fleur...comment ose-tu? Tu n'est qu'un salaud tu le sais ca au moins James.

Soudain tout stoppa et il se releva sans regarder Verona étant toujours de dos. Celle-ci semblait vouloir se détacher. Pacson fouilla dans sa chemise posé sur la table et trouva le couteau qu'il avait trouver dans les caves. Puis d'un petit sourire énervant et les yeux rempli de brillant. Il se retourna vers Verona.

- Bon maintenant, petite fleur, passons aux choses sérieuses. afro

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Verona eut un mouvement de recul en le voyant s'approcher encore. La jeune fille fut surprise qu'il lui parle de cette voix si douce, comme s'il regrettait ce qu'il faisait. Le voir s'éloigner la soulagea à un point qu'elle n'imaginait pas. A croire qu'elle avait peur que sa folie soit contagieuse.

Il pleurait? Non, c'était impossible. Elle devait se libérer et commença à se tortiller pour tenter de désserrer ses noeuds. Mais son baillon l'éttouffait à moitié.

-Bon maintenant, petite fleur, passons aux choses sérieuses.

La jeune fille s'immobilisa brusquement. Ses yeux passèrent de la lame du couteau au visage de Pacson. Elle lui jeta un regard terrorisé et implorant.

"Mmmmmh... Mmmmmh..."

Les larmes commençaient à couler sur ses joues, y laissant de longs sillons humides.

Pacson avait complêtement l'esprit dérangé. Ses nombreuses personnalité voulait le dominer tous en même temps. Du certainement à la demoiselle très sexy qui se trouvait devant lui. Ses mains tremblait de plaisir et ses jambes était molle par le lacheté qu'il avait.

Il mit son couteau juste au dessous de la gorge de Verona et lui tailla une petite ligne sur son petit coup qui laissa du sang s'écouler. Il se pencha vers son sang et commenca à lui sucer comme un vrai vampire. Mais ses lèvres ne fesait pas que lécher le sang mais aussi lécher le cou de Verona qui était si dou et si bon.

Il se dirigea vers sa bouche et l'embrassa sur le bandeau qu'il lui avait mit.

- Tu sens terriblement bonne tu sais? C'est quoi ton parfum.

Il repris son couteau et refit une entaille mais cette fois sur sa joue. Il fit de nouveau la même chose.

- Tu goute très bon.

Puis il dirigea le couteau vers sa propre paume de main et se tailla à lui même une entaille qui fit couler son sang à grosse goute sur le corps de Verona. Il souleva le chandail et mis sa main sur son ventre et commenca à faire des ronds. Le sang s'étendait sur le ventre de verona avec facilité.

Arpès avoir enlever sa main, il mit son visage sur le ventre de Verona. Son visage s'était imprimer du sang qui se trouvait sur celui-ci. Son visage était complêtement fou et débile. Une personnalité très forte avait pris possésion de son être.

Il arracha le chandail de Verona qui se trouvait maintenant en soutien-gorge et lécha ses seins avec sa langue qui finissait en pointue.

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Verona ne savait plus comment faire, elle vit avec terreur le couteau s'approcher, le froid de la lame sur son cou puis une douleur. Le sang coula de sa blessure toute fraîche, lui laissant un sillage rouge vif. Le visage de son bourreau se pencha vers elle, et elle sentit ses lèvres sur la plaie. Il buvait son sang, tout en caressant sa peau.

Un baiser se posa sur ses lèvres. Le bandeau était tellement serré qu'il lui entrait dans la bouche, lui tirant douloureusement les lèvres. Nouvelle entaille, nouvelle douleur, cette fois sur la joue. Il s'en abreuva encore. Verona sentait son souffle sur sa tempe, ce contact la répugnait au plus haut point, elle en arrivait à se demander si son estomac tiendrait le coup.

Elle fit rouler ses yeux, signe que sa terreur ne faisait qu'empirer. Quelque chose tomba sur son vêtement. Du sang, encore et toujours du sang. Il souleva son haut, la renversant sur le dos pour étaler le liquide rouge sur sa peau. Un baiser sur son ventre, quand il releva la tête, les yeux de l'Italienne s'écarquillèrent devant le masque qu'il portait. Elle n'avait plus aucun doute, il avait complètement perdu l'esprit.

Il lui arracha son chandail, pour venir lécher sa poitrine. Verona s'aperçut que son corps réagissait sans son accord: ses tétons durcissaient à vue d'oeil. Elle se tortilla et réussit à basculer à plat ventre pour masquer cette réaction dangereuse car elle ne ferait qu'exciter davantage le gardien fou.

Pacson avait de plus en plus de difficulté à retenir Verona. Mais cela ne le mit pas en colère. Tout simplement parce que la vue du sang lui avait brouiller l'esprit. Il s'enleva de Verona la laissant essaiyer de se libérer librement.

Il replaca ses cheveux noir puis enleva ses chaussures rapidement. Il se retourna vers Verona et enleva complêtement sa chemise laissant un torse moyennement musclé avec plein de cicatrice refermer. Il lanca cette chemise sur une table et enleva ses pantalons laissant Pacson en calecon rouge moulant. Ont voiyait bien que celui-ci était exité.

Il s'avanca vers les rideaux et les ouvra laissant entrer le soleil. Puis il regarda Verona toujours avec le visage remplie de sang.

- Je suis complêtement fou, même l'asile n'a pas pu me soigner. Je ne sais pas pourquoi je suis comme cela. J'imagine que tout mon être est ainsi.

Il s'approcha de nouveau vers Verona tout en lui disant ses paroles. Il s'installa au pied du lit et regarda entre les jambes de Verona. Puis sans crier gare il sauta sur le lit debout et essaiya d'arracher la jupette de sa victime.

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Verona se remit sur le dos quand il la lâcha. Elle avait vu juste, il était complètement excité. Le soleil l'aveugla quand il ouvrit le rideau. Elle ferma les yeux et les rouvrit pour observer son bourreau. Il était curieux comme personnage, avec un physique qui aurait put être avantageux sans ses cicatrices. Accidents? Auto-mutilation? Les deux sans doute.

Il lui explique qu'il ne savait pas pourquoi il était fou. Verona écarquilla les yeux de surprise. Voulait-il s'en sortir? Il paraissait presque normal comme ça. Ses paroles étaient pleines de sens, parfaitement raisonnables. Mais son regard était autrement. Un regard qui se dirigea entre ses jambes. Bon sang! Quelle idée de mettre une mini-jupe avec tous ces dingues qui traînaient!!!

Il sauta sur le lit et attrapa le fin tissu du vêtement d'été. Verona se débattit comme elle le put. Mais attachée, elle ne pouvait pas faire grand-chose. La jupe se déchira sous elle, révêlant ses dessous. Elle portait une culotte blanche toute simple, assortie à son soutien-gorge. Qui d'ailleurs était l'un des deux derniers vêtements qui la couvraient.

Verona était la première victime que Pacson avait décider de torturer. Non pas avec des instruments ou bien avec des coups de poing. Celui de la sexualité était beaucoup plus interessant que tout les autres.

Le sang coulait toujours sur le corps de Verona et cela exitait encore plus Pacson. Il ne savait pas d'ou venait se plaisir mais il voulait le savourer pleinement. Il décida cependant qu'il était temps d'avoir autre chose que le liquide du sang.

Il se pencha à 4 pattes au dessus de Verona tout en passant sa langue sur son corps chaud et humide. Il s'arrêta de nouveau au visage de Verona et l'embrassa de nouveau sur le bandeau.

Il lui fit un clin d'oeil puis redescendit vers le bas du corps de Verona. Il renifla la petite culotte de Verona puis l'embrassa doucement et tendrement. Son souffle chaud se fesait sentir.

Il passa sensiblement la main sur le bijoux de Verona puis ensuite passer un seul doigt en dessous. Puis il regarda Verona. Il ne savait pas du tout si elle appréciait mais lui était totalement amoureux de son bijoux. Il arrêta de la regardez pour mieux apprécier le plaisir voler de Verona. De son autre main, il empoigna un de ses seins qu'il dénuda aussitot. Sans enlever son doigt de la culotte de Verona, il remonta aux seins pour pouvoir les mordillés. Sa langue fesait des va et viens sur le bout dur du seins de Verona. Son doigt continuais toujours de caresser le dessus du bijoux à Verona. Mais quelques instant plus tard, il décida de se cacher dans l'entre de Verona. Tout était humide et chaud et Pacson ne pu apprécier totalement se plaisir que lorsqu'il décida de déposer sa langue vers cette entrée.

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Verona tremblait de tout son corps, une sueur froide lui couvrait peu à peu la peau. Ses plaies, bien que sans gravité, ne voulaient pas se refermer et sentir son sang couler lui faisait peur. Elle le regarda se pencher au-dessus d'elle, sentant sa langue sur son corps. Elle ferma les yeux pour ne pas voir quand il l'embrassa.

Un nouveau baiser se posa mais sur le tissu recouvrant encore son entrejambe. La jeune fille serra les cuisses du plus fort qu'elle put. Mais elle n'arriva pas à l'empêcher de passer sa main dessus. Il se glissa en dessous, la caressant à même les chairs qui réagirent aussitôt en s'humidifiant. Verona avait soudainement horreur de ce corps qui donnait l'impression d'un plaisir.

Pourtant elle était partagée entre la peur et la surprise. Son bourreau l'avait blessée assez pofondément pour pouvoir goûter son sang et maintenant, tous ses gestes étaient doux. Presque tendres. Elle se mit à ronger le bout de tissu entre ses dents qui se touchèrent avec un petit claquement discret. L'Italienne se concentra sur la libération de sa bouche pour tenter d'oublier les caresses sur son intimité et sa poitrine maintenant nues.

Quelque chose de chaud et humide se posa sur son entrejambe au moment ou elle venait de faire lâcher les dernières fibres du tissu. Verona secoua la tête vigoureusement et reprit son souffle.

"Lâche-moi!!!"

Pacson stoppa son éteinte sur le bijoux de Verona. On pouvait appercevoir sur le visage de James que celui-ci était presque abasourdit par la demande de Verona.

-Mais ma puce, je vois bien que tu aime cela, regarde....

Il leva ses doigs humident dans les airs. Il se releva pour être à genoux aux dessus de Verona.

- Je sais, je suis un mauvais homme....

Il baissa la tête comme si ont punissait un enfant. Une larme apparue. Pacson pleurait vraiment et paraissait vraiment mal pour les suplissent qu'il fesait faire à Verona. Mais cela ne prit pas de temps qu'il releva la tête avec son air fou et son sourire complêtement débile.

- Mais, j'aime cela être un mauvais homme! J'adore entendre mes victimes me demande de les laisser en paix alors que leur corps disent le contraire... j'en tire une joie extrême. Ont peut dire que je me nourrie du malheur des autres...

Il sortit sa verge de son caleçon et avec sa main humidifier commenca à se branler frénétiquement. Quelques sons sortait de sa bouche lorsqu'il essaiya rapidement d'avoir le plaisir intense mais stoppais lorsque celui-ci venait.

Il se leva enleva son caleçon laissant ainsi voir parfaitement sa verge ainsi que son popotin. Il fouilla les tirroirs comme un voleur le ferait.

- AHHHHHHHHHHHHHh, tiens regarde!!!

Il lui montra deux grosses corde jaune qu'il venait de trouver. C'était des cordes qui fesait mal à la peau si elle frottait trop longtemps sur le corps. Il se précipita vers Verona et attacha le reste de ses jambes autour du lit alors que celle-ci criait désespérement ''Lâchez-moi''.

Sans jamais monter sur le lit il s'approcha vers son visage et déposa une nouvelle fois, un baiser sur sa joue.

- Merci, petite fleur.....lui chochuta-t-il.

Puis il lui remit le bandeau sur la bouche et se dirigea de nouveau vers le bijoux de Verona. Il enfouit totalement son visage entre les jambes de Verona et commenca à faire des petites lichettes sur le petit bourgeon de Verona tout en entrant 2 doigt dans l'antre de celle-ci.... Il écarta les petites lèvres de son bijoux pour mieux savourer son corps si délicieux. Sa verge était dur comme un cailloux et Pacson désirait plus que tout mettre Verona, tout en la prennant de toute les positions possibles et de toute ses forces. Mais il prendrait le temps que celle-ci soit totalement folle de ses caresses malgré ses rétisenses.

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Verona se demanda lequel d'entre eux fut le plus surpris. Lui qu'elle lui demande de la lâcher ou elle de son brusque changement de caractère. Il lui disait qu'elle se trompait, qu'elle aimait ça. La jeune fille failli baisser les yeux, son coeur refusait mais son corps semblait en demander davantage. Cependant, Pacson changea brusquement, se mettant presque à pleurer. Mais cela ne dura qu'une seconde, déjà, il changeait complètement.

Verona ferma les yeux, refusant de voir l'homme se faire un plaisir solitaire. Elle rouvrit les yeux en l'entendant lui parler, elle manqua de les refermer en s'apercevant qu'il était nu. Son regard se posa sur les les cordes, épaisses et rapeuses. Il se jeta sur elle pour lui lier les jambes mais de façon à ce qu'elle ne puisse pas l'empêcher de la toucher.

"Lâchez-moi!!! Arrête!!! Tu me fais mal!!!"

Elle ne savait plus si elle devait le tutoyer ou le vouvoyer. Comme s'il lui transmettait sa folie. Il la remercia, en l'embrassant de nouveau sur la joue. Verona frissonna alors qu'il se remettait à la caresser, elle recracha le bandeau mais ne cria pas, elle ne bougeait plus. Inutile de hurler, il ne l'écoutait pas et personne ne viendrait l'aider.

Son corps trahissait un plaisir qu'elle ne voulait pas. L'Italienne semblait avoir abandonné. Les larmes coulaient sur ses joues, des larmes de rage et de désespoir. En un dernier recours, elle tenta quelque chose.

"Tu ne veux pas me faire de mal, n'est-ce pas? Et moi, j'ai envie de t'aider. Tu as des amis ici?"

Pacson stoppa brutalement sont étreinte. Un Ami? Pacson avait-t-il jamais eu un ami? Non, il ne connaissait pas du tout se mot. Mais cela le fit quand même réfléchir.

Son visage était tout reluisant du sucre glacée de Verona ainsi que de sons sang. Son cerveau se stoppa. Il ne savait plus comment agir ou penser. Comment un simple mot pouvait-t-il lui procurer un tel mécontentement. Sans crier gare, il se leva du lit, encore une fois, puis repris le couteau qu'il avait utiliser avec sa demoiselle quelques minutes plus tot. Il s'avanca rapidement vers celle-ci couteau pointer vers elle.

- Non mais tu me prend pour qui sale petite peste? Je ne fait pas partie du groupe d'incompétant qui ose rester ici. Il ne sont que des pions comparer à moi. Et j'ai bien l'intention de te faire vivre à toi et aux autres les pires moments de ton existence. J'adore être violent et sans scrupules, j'adore voir le sang couler des plaies de ma victime. Et si jamais celle-ci est trop bruillante ou bouillante d'énergie, il pourrait par hasard arriver que mon couteau lui tranche la gorge, je suis assez claire ou tu aimerais avoir une petite démonstration, sa****?

Ses yeux était fou de rage et tout son corps en tremblait. Son membre était encore plus ferme et plus dur que jamais.

Pacson adorait faire le mal, il était née comme cela et le resterait certainement toute sa vie. Son sentiment d'avoir toujours quelques choses de plus que les autres le rendrait presque invulnérable. Il enleva son le couteau de dessous le cou de Verona et s'introduit avec force dans celle-ci. Son coup de hanche avait certainement du faire du mal à Verona car elle avait fait mal à Pacson.

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Verona crut un instant avoir gagné la partie. Elle l'avait déboussolé, il ne savait plus trop où se mettre ni quoi faire. L'Italienne profita de ce moment pour souffler un peu, apaiser les battements de son coeur. Mais il revint à la charge, le couteau pointé sous sa gorge. La jeune femme qui avait recommencé à se tortiller pour défaire ses liens s'immobilisa, écoutant le fou furieux qui crachait son venin.

Elle s'attendait presque à ce que la Mort frappe et la délivre ainsi de son bourreau. La lame recula et tinta sur la table un peu plus loin. Verona détourna le regard, inutile d'essayer autre chose, il ne l'écouterait pas plus. Elle ne put retenir un cri de douleur lorsqu'il la força. En même temps, une vague de plaisir monta en elle, la faisant rougir de honte.

L'Italienne détourna le regard, le laissant profiter d'elle sans bouger. Peut-être se lasserait-il d'une femme-chiffon.