Rage contre un imbécile [Gin]

Sullivan MacReady. Oui, il ne passait plus beaucoup de temps avec les autres hommes. Oui, il ne faisait plus que voir la vie en noir. Oui, il désespérait. Virginia et Inki avaient disparues, laissant le pauvre homme complètement seul et dans l’inquiétude qui le rongeait de plus en plus, à un tel point qu’il se saoulait même de temps en temps… chose qu’il n’avait jamais fait de sa vie. Aujourd’hui, Sullivan n’avait pas bu. Il était parfaitement normal, même s’il semblait de mauvaise humeur… Il en avait marre d’être ici, à présent. Qu’est-ce que cela lui donnait de rester s’il n’avait plus personne et qu’il se retrouvait tout aussi seul qu’avant?! Franchement, il ne le savait pas trop. Il avait beau avoir un salaire quand même assez bien, mais il n’était aucunement un tortionnaire, ni un violeur. Il ne faisait que… surveiller et aider parfois une orpheline. Rien de plus.

Sully se promenait un peu partout dans l’orphelinat, aujourd’hui. Il en avait marre de surveiller les orphelines. De toute façon, il n’avait pratiquement rien à faire, puisqu’il ne punissait jamais les orphelines! Sullivan se trouvait dans les caves. Il n’était pratiquement jamais venu ici, mais tout ce qu’il y avait à dire sur ces pièces, c’était ‘beurk’. Il y avait des rats, des cadavres, des vêtements, des ustensiles de cuisines… On trouvait vraiment n’importe quoi, ici! Le pire, c’était la poussière… Le surveillant n’était ici que depuis une dizaine de minutes et il avait déjà ses vêtements complètement recouverts de cela! C’était pire que le grenier.

« Cet imbécile de sous-directeur n’avait jamais demandé au concierge de passer ici ou quoi? On devrait l’envoyer vivre dans ce trou… il ne pourra jamais en sortir plus fou que qu’est-ce qu’il semble être! »

Rageant, l’homme donna un coup de pied à la première chose qui lui tomba sous la main… un crâne… Il blêmit et vira tout aussi rapidement rouge de colère.

« Et c’est à cause de ce fou et de son directeur qu’elles ne sont plus là! »

Il ignorait qu’Ellioth était mort… Mais on voyait clairement qu’il n’avait qu’une envie… le tuer, ce sous-directeur.

[C'est pas génial comme post, par contre :-/ ]

Gin trainait dans son bureau depuis pas mal de temps, il aavit horreur de la saleté d'ici, il avait tout lavé et nétoyé lui meme, puis il avait contemplé le résultat de son travail avec un grand sourire, quoiqu'il en arborait toujours un en fait...
Puis il décida d'aller inspecter l'état des caves, il n'y était plus repassé depuis son arrivée, il mit son manteau, , prit les clefs du bureau et referma tranquillement derrière lui, faisait tourner son porte clef représentant une arme à feu, puis il descendit tranquilleemnt les escaliers, prenant absolument tout son temps, respirant bien l'air d'ici, car l'air de ces fichues caves était tout sauf sain...
Puis il s'arréta net, il commençait à avoir mal au crane, il ne voaulit pas bouger pour déclencher une crise qui pourrait engendrer de véritables catastrophes, puis, une fois que sa crise fut passée il reprit sa descente...

Gin *Il faut que je reste vigilant, ces crises ne viennent jamais sueles...*

Il accéléra alors le pas et fini par se retrouver au sous sol, un tenta de grimper sur sa chaussure droite mais l'homme repoussa gentillement l'animal du pied gauche, la bète tnta alors d emonter, il l'attrapa et la reposa au loin, puis regarda ses maisn avec un peu de dégout, mais un sourire toujours présent, enfin, il arriva devant la pote de la première cave, rien de particulier, à part quelques toiles d'araignées, il nota rapidement cela et rangea son calepin, puis s'approcha d'une porte entreouvert et entendit quelqu'un pester contre un "imbécile de..."
Tiens, ce type qu'il ne connaissait meme pas le haissait tant que ça? Incompréhensible, mais... Il écarquilla els yeux, il semblait en avoir après lui dis donc, il commençait à devenir blessant!!! Maisle nom de Ellioth apparu dans les insultes [je rajoute qu'il a parlé d'ellioth et l'a insulté violement si ça te dérange pas^^] bon, apparement il insultait Ellioth, le vrai Gin s'en serait moquer, mais une crise se déclencha tandit qu'il poussait violement la porte, déclenchant une crise, il plaqua sa amin drotie sur sa tempe droite et regarda Sullyvan avec un sourire de détraqué...

Gin "TU PEUX REPETER PETIT TAS DE MERDE!?"

Il se jeta vers l'homme et le plaqua violement contre le mur et lui dit qu'il aurait dû etre legeremet plus respectueu, puis, mettant toute sa force, il le frappa, pus il observa les alentours, pleins de lame rouillé, il n'avait malheureusement pas sa trousse avec lui mais avait un peu d'alcool, e une table d'opération qui rouillait à coté!
Il attacha l'homme, lui arracha le haut et le réveilla, pusi il lui dit en souriant...

Gin "Que le jeu commence!"

[Pas du tout ^^ ]

Sullivan s’était mit à insulter Ellioth assez violemment, autant en anglais, qu’en français. Il ne manquait pas non plus de dire de temps en temps le nom d’Ellioth, ce qui lui coûterait probablement très cher… bien qu’il l’ignorait encore. Sullivan ignorait qu’Ellioth était mort et pire encore, que Gin ne se trouvait pas bien loin. Bien entendu, personne n’aurait pu se douter d’une telle chose. Et encore moins qu’un homme qui puisse paraît quand même gentil, pouvait devenir le pire homme du monde au moment d’une crise.
Sullivan était toujours occupé à insulté le pauvre mort qu’était Ellioth quand la porte de la cave s’ouvrit violemment. Se tournant vers la personne, il la détailla un instant. Un… détraqué ou quoi? Cet homme semblait fou, mais ce n’était point cet imbécile d’Ellioth que Sully haïssait plus que tout… il mettait les disparitions de Virginia et d’Inki sur la faute de cet homme, après tout. Autrement, il n’aurait pas de quoi le détester ; il ne le connaissait même pas!

Qu’est-ce qu’il avait ce fou à lui crier dessus?! Il n’avait qu’insulté un homme parmi tant d’autre… Mais avant même qu’il ne puisse répondre, Sully se retrouva plaqué au mur… Comment ça, être plus respectueux?! Ce fut la dernière pensée qu’il eut avant de perdre la carte. Le coup qu’on lui avait porté l’avait… quelque peu… assommé. Gin avait frappé fort… trop fort… Sullivan s’En était même cogné violemment la tête sur le du mur de brique…
Ce fut que lorsqu’il se réveilla que Sullivan réalisa qu’il n’aurait jamais dû insulter Ellioth… Il avait un mal de tête horrible… et le pire dans tout cela, c’était qu’il était attaché à une table! Le jeu? Quel jeu?! La panique s’installa en Sully.

« Non mais ça ne va pas la tête! Allez vous défouler sur une orpheline, elles sont là pour ça! » dit-il, complètement paniqué, essayant de se détacher.

Le surveillant était torse nu, attaché sur une table rouillée dans un endroit où on l’on trouvait vraiment n’importe quoi, en compagnie d’un véritable fou… Il allait y passer, c’était certain…
Avait-on le droit de faire une telle chose à un surveillant?

« Who are you?! Vous n’avez pas le droit de faire cela! Je travaille ici! »

Gin alla chercher un couteau rouillé, puis il frappa dessus avec un morceau de peirre trouvé ici, il frappa jusqu'uà ce que la partie rouillée se acsse, laissant une lame ingale et ondulée, qui causait des blessures infectieuses mortelles, il s'approcha de Sullyvan en souriant et lui rentra l'arme sous le nombril, appuyant fort et remuant le couteau à l'intérieur de la plaie fraiche et sanglante, puis il sorti sa petite bouteille d'ericstoff et en deversa un peu dans le plaie du jeune homme, pusi il lui demanda avec un air amusé, comme si ce qu'il faisait était drole...

Gin "Oh zut je crois que je t'ais fait mal, j'aurais dû en mettre moins!"

Il alla ensuite chercher une sorte de roulette à pointes, qu'il avait arraché à la botte d'un costume de cowboy, puis il la fit rouler sur le torse de l'home, lui trouant la peau par eptits segemnts, puis il luipromit que ce n'était rien comparé à ce qui allait suivre, l'avantage à torturer des hommes se trouvait dans le fait que l'on pouvait les torturer plus longtemps que les femmes au niveau du torse, les seins chez la femme n'étant pas un vecteur de douleur courament exploité chez cette dernière, et tout le monde connait le point faible des hommes...

Gin "T"aimes bien ça? Bien trouvé comme instrument, hein!?"

Il le frappa violement au niveau du plexus solaire, lui bloquant quelque peu la respiration, c'éait un despremiers coup qu'on apprenait à l'armée, un des rares points communs de l'homme et de la femme dans la catégorie des faiblesses sont le plexus solaire, si le coup est porté à plusieurs reprises et assez violement, la mort peut meme survenir par suffocation, idéale pour les missions silencieuses, enfin, Gin continua le trvail avec sa petite roulotte, puis il renta un doigt dans le plus gros trou créé par "l'instrument"...

Gin "Crie, n'essaye pas de jouer le fort, ou je te ferais meme pleurer!"

Il lui releva la tete jusqu'à lui faire mal et lui décrocha un violent coup de poing dans la machoir, après quoi il mit un deuxième doigt dans la plaie en forçant, élargissant la taille de la blessure, et arrachant un cri de douleur à l'homme...
Gin, non satisfait, reprit le couteau bizarre et et commença à percer les nerfs de Sullyvan un à un dans sa première plaie qui sentait maintenant la vodka...

Il allait y passer… l’homme ne l’avait pas détaché… on n’avait même pas répondu à ses questions, non plus. Pendant un instant, il se maudit d’avoir insulté cet Ellioth. Et s’il s’excusait? Non, ça ne changerait rien… Peut-être que ce fou qui se trouvait avec lui dans la pièce se trouvait être un ami du sous-directeur? Voir peut-être même quelqu’un qui devait le protéger? Sully était fichu dans les deux cas. Alors que Sullivan essayait de défaire ses liens, Gin était revenu… Le surveillant n’avait jamais apprécié la douleur et voilà que maintenant, il la détestait plus que tout. Ne voulant pas offrir un hurlement de douleur à ce fou qui lui enfonçait un couteau dans le bas du ventre, Sully fit de son mieux pour ne laisser aucun son sortir… Il sentait l’arme bouger dans la plaie… La douleur était trop horrible… Sullivan ne put s’empêcher de crier et se tordre de douleur, tentant d’arracher les liens qui le retenaient malheureusement à la table.

Mais alors que Sully croyait que Gin en avait finit avec cette plaie, il eut un regard paniqué à la vu de la bouteille… Le désinfectant donnait une sensation de brûlure, mais ÇA?! Il avait le bas du ventre en sang, mais la sensation de brûlure était encore pire… Sully avait beau se tordre, peu importait la position, la douleur était telle qu’il en avait des larmes aux yeux.
La roulette lui sembla moins douloureuse, même s’il saignait de chaque petit trou fait… Il lui arrivait de gémir de douleur de temps en temps, mais il préférait nettement cela au couteau et à l’alcool! Il avait mal… Sullivan avait l’impression de se faire entrer des aiguilles géantes dans le torse…

« Tu parles d’un instrument, je vais te… »

La respiration coupée par le coup, le malheureux ne termina même pas sa phrase. C’était comme si on recevait un ballon dans le ventre, durant un jeu… Pendant un instant, on avait l’impression de suffoqué… l’air semblait refuser d’entrer dans nos poumons… on avait mal et on pensait à toute vitesse qu’on devait respirer… l’air semblait manquer… Puis, la respiration vous revenait peu à peu… vous haletez pendant un moment… Comme Sullivan au même moment. Sauf que lui, il souffrait horriblement. Sully sentit le doigt entrer dans le plus gros trou fait par la roulette. Se retenant d’hurler en sentant la pression sur les chairs à vif, l’homme tira fortement sur ses liens. Si seulement il pouvait se détacher et frapper ce fou!
Un coup de poing… la douleur… son cri… Personne ne l’entendrait donc pas crier?! Pourquoi ce fou-furieux s’en prenait à lui et non à une orpheline?! Leur corps n’était plus assez amusant pour lui?!
Il poussa plusieurs cris, hurlant pratiquement lorsque Gin s’amusa à percer les nerfs de sa première plaie…

« STOP! ARRÊTE! ESPÈCE DE FOU, C’EST AUX ORPHELINES QUE TU DEVRAIS T’EN PRENDRE! » hurla-t-il à Gin entre deux cris.

Sully, même s’il n’aimait pas souffrir, ne supplierait jamais Gin d’arrêter. Il pouvait le lui dire, le lui, le lui hurler, mais jamais il ne le supplierait. Seulement, il ne comprenait pas pourquoi on le torturait ainsi… Aucun homme ne s’en était prit à un autre homme… Que cherchait Gin, au juste? Crachant au visage du fou, Sully reprit, entre deux cris :

« Je vais te faire regretter tes gestes! »

Gin reçu le cracha de Sullivan près de l'oeil droit, il continua à sourire, s'essuya avec ses doigts qu'il fit entrer de nouveau dans la plaie de l'homme qui criait de oduleur, puis de l'autre coté il continuait à lui percer les nerfs, avec un sourire aux lèvres, il jeta la roulotte et alla cherche un marteau au manhce cassé, puis il prit la partie qcassé qui se divisait en pliusieurs pointes de bois piquants et appuya sur les petites plaies du surveillant avce, riant tel un fou...

Gin "POURQUOI LES ORPHEINES? TU TROUVE QU'ELLES LE MERITENT PLUS QUE TOI!?"

Il retourna alors le marteau et frappa très violement le jeune homme juste en dessous du nombril, puis il commença à l'étrangler, il attendi jusqu'à ce que le visage de l'homme change de couleur, puis il arreta et souffla, avant de ne tordre le bras de l'homme en appuyant son bras contre les bords tranchants de la table rouillée...

Gin "ET MOI JE VAIS TE FAIRE REGRETTER D'ETRE NE!!!!!"

Il lui dit rageusement que se moquer si ouvertement d'un mort était un outrage, mais quand ce mortétait l'ami de Gin, ça ne apssait pas, il appuya tellement violement que du sang coula du bras droit du garde, puis l'ancien millitaire relacha sa prise, il avait dû détacher un rbas de l'homme mais celui ci était dans un tel état qu'il n'aurait mem pas la force d'ne faire usage, il lui cracha alors toute sa salive à la figure à son tour et lui fit un magnifique doigt...

Gin "ALORS FERME TA SALE GUEULE ET SUBIS!!!"

Il souriait toujours diaboliquement, puis, rapidement, il mit son doigt sur la pomme d'adam de Sullivan et descendit jusqu'à rencontrer un obstacle osseux, il appuya, tirant violement sur la peau et appuyant sur la veine jugulaire, laissant sa voictime suffoquante, puis il retira son doigt et demanda à l'homme comment il trouavit celà...

Gin "Génial, non!?"

Non, les orphelines ne le méritaient pas plus que lui, mais les hommes n’avaient pas subir cela… pas ici en tout cas… Sullivan se rendit enfin compte du nombre de fois que ces pauvres femmes avaient pu souffrir… C’était horrible… il comprenait enfin pourquoi il ne leur avait jamais fait de mal. Elles avaient déjà trop de monstres pour les faire souffrir… Sully avait beau crier, personne ne viendrait le sauver. Finirait-il en un seul morceau ou ce fou s’amuserait à l’amputer, juste pour le plaisir de l’entendre hurler?! En tout cas, Sully poussa un horrible cri en recevant un coup directement sur sa blessure sous le nombril. Il saignait beaucoup, mais le pire dans tout cela, c’était qu’il avait tellement mal que toute cette zone lui semblait engourdi, mais le faisait souffrir…

On l’étranglait… Sullivan s’épuisait à essayer de se détacher alors que peu à peu, il ne pouvait même plus respirer… Virginia… il la reverrait si elle était morte… Il était pratiquement certain de mourir par manque d’air lorsque la pression sur sa gorge disparut, le laissant enfin respirer. Haletant, il ferma les yeux. Il avait manqué d’air… Sullivan n’eut pas le loisir de se reposer longtemps par contre, car déjà une vive douleur se faisait sentir au niveau de son bras. On lui tordait le bras de façon à le couper sur cette… table rouillée! Mort? Ellioth?! Depuis quand? Il allait poser la question à ce fou quand il sentit la table le couper profondément tout le long de son bras… il sentait le métal rouiller dans sa chair… Poussant un hurlement, Sully ne bougea même pas son bras lorsqu’on relâcha la prise sur celui-ci. Son bras était en trop mauvais état pour qu’il ose le bouger…

« Mo… mort?! Je… l’ignorais… » finit-il par dire, d’une voix quelque peu rauque à force de crier.

Il avait insulté un mort… Sullivan n’aurait jamais fait une telle chose, s’il l’avait sût… Ses yeux se fermèrent lorsqu’il reçut le cracha de Gin au visage. Subir… peut-être le méritait-il en fin de compte… en tout cas, il sortirait salement amoché d’ici! Enfin… s’il réussit à sortir.
Le torturé jeta un coup d’œil apeuré à son tortionnaire lorsque celui-ci posa l’un de ses doigt au niveau de sa pomme d’adam… Qu’est-ce qu’il comptait faire?! Sullivan ne mit pas longtemps à comprendre… enfin, plutôt à suffoquer… Aussitôt, il se mit à essayer de détacher son bras gauche car l’autre était pratiquement inutilisable dans cette position. Qu’il arrête… il voulait arrêter de souffrir… il voulait partir… il voulait respirer!
Ce fut un soulagement immense lorsqu’il put enfin respirer. Haletant de plus en plus, Sully était aussi de plus en plus certain de crever ici…

« No… » réussit-il à dire, se demandant si son calvaire finirait un jour. « Depu… depuis quand… he’s… mort? » demanda-t-il, mêlant anglais et français…

Gin s'enerva encore plus et reprit le couteau, souriant encor eplsu sadiquement, puis il prit son élan pour bien planter le couteau et le bras déjà endommagé de Sullivan , se déléctant de ses infames cris de douleur, puis il attrapa un rat qui trainait par terre et le tua, puis il extirpa ses boyaux et tripes, et les mit dans la bouche de l'homme lui disant qu'il aurait de quoi croquer dans quelque chose, et que si il le recrachait, il goutterait à la pire des torture que l'on puisse décement infliger à quelqu'un, une torture ridicule mais pourtant si douloureuse : l'accuponcture nerveuse, qui consistait à placer une aiguille sur chaque nerfs important du corps, il éclata d'un rire inhumain et lui enfonça un doigt dans l'oeil guahce jusqu'à lui faire mal, puis il prit une vieille boite de couture et montra les énormes aiguilles à sa victime pour montrer qu'il ne plaisantait pas.

Gin "laisse moi te montrer une technique que j'ais moi meme développée, hé hé..."

Il s'empara d'une vieille caisse poussièreuse d'outils et en sortit une pince saisissante, une pince coupante et une paire de ciseaux, puis il prit son vieux couteau et fit une ouverture suffisante dans la peau pourintroduire la pince saisissante et attraper la veine, puis il appuya sans pour autant faire éclater, les veines étants des zones très sensibles de ce maudit corps humain, puis il s'arreta et, en souriant tel un monstre, il murmura à Sully que maintenant, si il venait à parler de ça à qui que ce soit pour engendrer une forme de sédition quelconque, il le ferait bruler vif...

Gin "Maintenant prie pour rester en vie!!!!!"

Il lui appuya sur la veine avec son doigt et relacha rapidment pour vite faire recirculer le sang et donner une certaine douleur à Sullivan au niveau du poignet et du bout des doigts, puis le sous directeur lui mit la main dans la bouche et enfonça un peu plus les organes de rat puis il se demanda en plaisantant sur un ton machiavélique si cela pouvait provoquer des maladies de mordre? Quelle question stupide...

Sullivan poussa un cri de douleur. Lentement, les larmes qui lui brouillaient la vue depuis un moment commencèrent à couler. Il avait du mal à crier tellement il lui semblait avoir souffert précédemment. Son bras droit saignait abondamment, mais Sully n’avait même eu la force et le courage de le déplacer, même avec cet horrible couteau planté dans celui-ci. Il avait l’impression que son bras était complètement inutilisable tellement la douleur était horrible. Gin aurait pu le lui arracher et la douleur n’aurait pas été bien pire que celle qu’il devait endurer. Sully tremblait. Il avait peur… il avait mal… il ne voulait pas mourir ainsi… Chose certaine, plus jamais il n’insulterait Ellioth et jamais il ne torturerait l’une de ces orphelines.
Sullivan sortit de ses sombres pensées par le cri d’un rat… Ce fou venait d’éventrer un rat! Mais pourquoi? Il comprit rapidement… le goût infecte et l’odeur qui se dégageait des entrailles levait le cœur du pauvre homme torturé. Il aurait tout recraché si ce n’avait pas été de la menace… Il avait trop peur de souffrir encore plus. C’était dégoûtant… le sang chaud du rat remplissait lentement sa bouche. Il pouvait sentir tous les petits boyaux de chairs dont était composé ce pauvre rat qui venait de mourir…

Il ne voulait pas voir cette technique… ni la sentir, d’ailleurs! Il avait peut-être crié et cracher un peu le sang qu’il avait dans la bouche lorsque Gin lui avait enfoncé son doigt dans l’œil, mais il ne voulait pas savoir ce qu’il avait pu inventé… Son œil lui chauffait et le piquait atrocement… Sullivan ne voulait plus qu’on le torture, il voulait que tout s’arrête… qu’il meurt ou encore que Gin le relâche, même s’il n’irait pas bien loin avec toute ses blessures. C’était un miracle que ce malade mental n’ait pas brisé ses jambes et ne lui ait rien fait au niveau de l’entrejambe! Il poussa un faible cri lorsque le tortionnaire reprit son couteau plein de sang. Il sentit à peine la sensation de brûlure qu’aurait causé la coupure tellement tous ses nerfs semblaient le faire souffrir et pourtant, il ne put s’empêcher d’hurler –enfin, du moins, de son mieux, car il ne voulait pas recracher les boyaux- en sentant la pince pincer la veine. Il mordait les pauvres entrailles du rat mort, lui donnait de plus en plus la nausée… En tout cas, Gin pouvait être certain : Sullivan ne parlerait jamais de cela à quiconque. Sully avait trop peur de lui, à présent, pour ne pas lui obéir….

Prier pour rester en vie? Il le faisait déjà depuis longtemps! Le pauvre Sullivan se laissait complètement faire, à présent, sachant qu’il s’épuiserait pour rien à tenter de faire ses liens… surtout que seul son bras gauche restait en état de ‘fonctionner’. Et le pauvre Sully qui était droitier… Il poussait des cris pour un rien… tout son corps le faisait souffrir, de toute façon. Il manqua même de s’étouffer avec les boyaux du rat lorsque Gin les lui enfonça un peu plus loin dans la bouche. Il espérait que le rat n’avait mangé aucun poison… Sully avait avalé un ou deux courts morceau de boyaux et la plupart du sang qu’il n’avait pas recraché en criant… L’homme torturé jeta un coup d’œil implorant à son bourreau. Il voulait rester en vie… que tout s’arrête. Il ne comprenait pas pourquoi il se faisait ainsi torturer… après tout, insulter quelqu’un, même de mort, ça ne changeait pas grand chose… Ce fou viendrait-il lui broyer les jambes aussi, simplement pour s’assurer de son silence? Peu de gens venaient ici, Sully pourrait difficilement être sauvé avant de se vider de son sang. Gin n’aurait pas à s’inquiété à propos de son silence, de toute façon. D’une manière ou d’une autre, le pauvre torturé ne se plaindrait pas et obéirait à cet homme tellement il en avait peur.

Gin commena alors à avoir une respirationhaletante, cette crise avait été de très courte durée, il n'avait meme pas eut le temps de planter une aiguille, puis il se ressaisit, il devait torturer ce type! Puis il alla chercher une vieille latte de bois cassée en deux, mais il n'eut pas le temps de s'en saisir que son pied fléchit, il souriait toujours malgré tout, il rapeplla à Sullivan de n'en parler à personne, puis il le détacha et commença à tituber vers la porte, tandis que l'autre se levait, sa vision à lui se rbouilalit, sa repsiration se saccadait mais il souriait toujours, il monta les amrches pour retourner en haut, mais son esprit de fou le reprit bien vite, sauf qu'une proie abandonnée est une proie abandonnée, c'est tout...

Gin *Petit merdeux de chanceux, je repasserais...*

Il s'écroula sur le coté dans les escaliers, manquant de peu de tomber, les crises, lorqu'elles arrivaient, étaient violentes, mais le retour à la réalité l'était toujours plus, il ne fallait pas que la vraie personnalité du sosu directeur se rende compte qu'elle était en proie à des absences de ce genre et finisse partout comprendre, tant qu'à s'écrouler, autant le faire devant la porte menant aux sous sols, l'homme y arriva heureusement, il ricana et se frappa violement la tempe droite avec le plat de la main, heureusement que le sang de Sully ne l'avait pas éclaboussé...

Gin *Hum? j'ais fini d'inspecter les caves, drole d'impression...*

Il s'éloigna alors, totalement inconscient du fait qu'il venait de torturer un homme et que c'était un grand coup de chance si ce dernier n'était pas mort, il rajsuta son manteau et parti en marchant tranquillement et sifflotant un air de son enfance qui lui trottait encore dans le crane, puis il s'éloigna, remontant vers sa chambre, le regard quelque peu brouillé par une sacrée migraine qu'il ne souhaiterais meme pas à la pire des ordures d'ici, lui, sans le savoir...

[Ce n'est que partie remise ^^...]

Sullivan faisait pitié à voir. Il s’était laissé détacher sans même bouger un seul doigt. Il avait même attendu que Gin soit complètement sortit de la salle pour oser cracher les boyaux de la pauvre bête. Haletant et faible, le pauvre homme ne trouva même pas la force de bouger. La blessure faite juste sous son nombril le faisait souffrir au point qu’il n’osait pas bouger et se lever de peur de l’aggraver. Pourtant… s’il ne bougeait pas, il avait peu de chance de sortir d’ici vivant… Sully crèverait sur une table rouillée où le sang dégoûtait peu à peu… Sully en avait plein sur lui, de toute façon. Chaque infime petite blessure saignait, le faisait souffrir, l’affaiblissait peu à peu. Pourquoi bouger si cela ne pouvait que lui faire plus de mal encore? Le surveillant n’arrivait même pas à respirer lentement tellement tout son torse lui faisait mal. Il avait des blessures partout, d’accord, mais quand même! Son bras droit était dans un sale état et il saignait probablement tout autant que le bas de son ventre…

Sullivan n’osait même pas sangloter. Il savait que son ventre se soulèverait rapidement et cela ne lui ferait qu’encore plus mal. Pas question qu’il pleure, même si ce n’était pas l’envie qui lui manquait! Finalement, Sully se décida. Soulevant lentement son pauvre bras droit, il lui fallu un bon cinq minutes avant d’arriver à la ramener près de lui, sur la table. Les seuls cris de douleur qu’il avait réussit à faire étaient rauques et assez faibles. L’homme n’aurait pas pu jouer la comédie pour attirer quelques orphelines ici. Sa faiblesse et sa peur étaient trop réelles dans sa voix…

« Please… help me... »

Ce fut tout ce qu’il réussit à dire de la même voix, espérant qu’on viendrait le secourir. Il était trop mal en point pour se lever. Il avait peut-être toujours ses deux jambes, mais ce se serait trop bête qu’il n’arrive même pas à monter les escaliers à cause de ses blessures!

« Aidez-moi… »

Il se tut, fermant les yeux. La tête lui tournait. Il avait de la chance d’être encore en vie, mais pour combien de temps? Qui viendrait sauver un homme, aussi mal en point puisse-t-il être?! Sullivan, même s’il n’était aucunement croyant, se mit pratiquement à prier pour qu’on vienne le sauver. Il avait peut-être perdu Virginia et Inki, mais il ne souhaitait pas mourir dès maintenant.

[ Super! lol ]

Maelle, toute curieuse comme elle était, avait fait fit des avertissement sdes autres orphelines et se promenait dans les couloirs. Elle portait comme toujours un petit pull et un jean déchiré de part endroit, a la mode grunge. C'était peu etre un peu rétro mais elle adorait cela. Ses cheveux étiaent dans sont dos tandis que ses yeux gris filtraient les lieux.
Hors donc, elle déambulait tranquillement dans les sombres couloir de la cave sans trop se soucier sur quelqu'un. Les lieux étaient a faire palire un linge mais la jeune Maelle trouvait sa exitant plus qu'autre chose, voir interessant.
Soudain son oreille fut attiré par des gémissement ou plutot à une respiration pénible et forcée. D'autres auraient peu etre rebrousser chemin mais pas la curiesue petite Maelle.Bien au contraire elle se dirigea au son et appela soudain.

-Il y a quelqu'un? Repondez moi?

Elle continua a avancer en essayant de distingué quelque chose. Bientôt ses yeux rencontraire une forme sombre qui semblait bein mal en point. Maelle s'approcha encore et put enfin découvrire un homme, surment un garde dans d'un triste était. Il était couvert de sang et de plaie diverse. Alors elle se pencha sur lui et essaya de le soutenir, afin de l'aider a marcher.Ce n'était pas en restant ici qu'il allait se soigner

- hey qu'est ce qu'il vous êtes arrivé?

Il entendit la voix de quelqu’un. Une femme, assurément. Pour toute réponse afin qu’elle le trouve, Sullivan n’avait trouvé qu’à gémir de douleur. Sa voix lui faisait défaut et il se sentait de plus en plus faible… autant éviter de trop s’épuiser et en mourir! Ouvrant les yeux, il distingua enfin la silhouette de la jeune femme qui s’approchait. Il avait peur qu’elle parte dès qu’elle le verrait. N’était-il pas un homme, après tout? Sully avait beau être carrément sans défense, mais pour les femmes, il ne restait pas moins un employé. Le surveillant torturé s’aida à se lever, tenant la blessure à son bas ventre de sa main droite alors que de l’autre, il s’appuyait sur l’orpheline. La douleur lui semblait plus vive, mais Sullivan était heureux d’être en quelque sorte sauvé. L’orpheline était beaucoup plus petite que lui, mais elle semblait capable de supporter son poids. Sully n’avait jamais été bien lourd.

« On… on m’a torturé… » dit-il, d’une voix trop rauque pour être normale.

Il lui était impossible de mentir à ce sujet. Sa voix rauque et faible montrait qu’il avait crié longtemps et ses blessures ne ressemblaient pas à des blessures accidentelles. Cependant, il lui serait toujours possible de ne dire qu’une demi-vérité à cette femme si elle le questionnait.

« Ne… me laissez pas ici… please… » demanda-t-il d’un ton suppliant.

Sullivan avait du mal à tenir sur ses jambes qui tremblaient violemment. Le soignerait-elle ou ne ferait-elle que le faire sortir d’ici? Sully ne se rendrait pas bien loin de lui-même, de toute façon. Même l’infirmerie lui semblait être à des kilomètres! De toute façon, qu’avait à perdre Maelle? Rien. Si elle le soignait, elle ne risquerait pas que Sullivan lui fasse du mal. Qui ferait du mal à une femme qui nous sauvait de la mort?! Ses pantalons étaient couverts de sang… son torse aussi, ainsi qu’une partie de son menton et tout son bras droit qu’il avait peine à bouger.

« Aidez-moi… je vous en supplie… »

Maelle commençait a ce dire qu'elle n'arriverait jamais a le transporter a demi niconscient jusqu'a l'infirmerie...et peu etre qu'il mourrait une fois labas. Cela faisait une belle trotte. Alors elle se mis à réfléchire deux minutes tout en s'empechant de paniquer. Ce n'était guère le moment.
Lentement elle reposa contre le mur Sullivan et quitta son pull. En dessous elle avait une chemise qu'elle quitta sans gène, pour se retrouver en soutient gorge, et déchira les manches, et avec le reste fit quelques bandages de fortunes.
Puis avec rapidité elle banda le ventre ensanglanter du jeune homme et serra asser fort pour bloquer le saignement mais pas la respiration.
Puis enfin elle s'occupa de son bras. Son regard se porta dans celui de Sullivan qui semblait presque délirant.

- Decidement vous êtes pir que mon père.. Je vais aller chercher de quoi vous soigé et vous recoudre mais avant dites moi ou se trouve l'infirmerie. Dans votre état vous n'irez pas loin mais avec ce que je vous ai fait , vous pourrez tenir pendant mon absence.
Dites moi ou se trouve l'infirmerie.

Sullivan s’était laissé reposer contre le mur. Maelle ne l’abandonnerait pas, il s’en doutait, mais il commençait sérieusement à se demander s’il ne délirait pas complètement. Il observait l’orpheline qui quittait son pull et sa chemise. Sully aurait put sourire et l’observer à la dérobée, mais il ne pensait à rien du tout, si ce n’était que survivre. Il la laissa bander ses plaies, toujours en ce demandant s’il ne délirait pas complètement et qu’en fait, il était toujours allongé sur cette table, aux prises avec Gin. Non, c’était impossible. Il sentait bel et bien le mur à son dos et non la table rouillée.
‘Recoudre’? C’était quoi ce mot? Le sens lui en avait complètement échappé. L’infirmerie… elle se trouvait au premier étage. Ça au moins, il s’en souvenait.

« First floor… premier étage… »

Il avait pratiquement murmuré ce qu’il avait dit. Sullivan espérait que Maelle ferait rapidement. Il n’avait pas envie de mourir ici! Il lui faisait confiance, sachant qu’il n’avait pas vraiment le choix. Sully était heureux qu’elle n’ait pas voulu l’achever, simplement parce qu’il était un homme. N’importe qui aurait pu le tuer… même Gin…
Se souvenant des paroles de la jeune femme, Sullivan, ferma un instant les yeux. Pourquoi lui avait-elle dit qu’il était pire que son père?!

« L’infirmerie… elle n’est pas bien loin de… la salle de music… »

Sullivan tenait toujours sur ses jambes, mais tiendrait-il encore longtemps? C’était quoi, ‘recoudre’?

« Faite… attention au… médecin… »

Il ne se pardonnerait jamais que sa sauveuse se fasse torturer par sa faute.

Maelle aquissa du chef comme pour lui dire qu'elle avait compris. Elle se mis donc a courire aussi vite qu'elle le pouvait dans le dédalle des couloir, elle gravit les escaliers sans reprendre son souflle et arriva enfin au rez de chaussé, puis au premier étage. Là elle se précipita dans l'infirmerie. Mais elle se souvint de ce que lui avait dit le garde. *faite attention au medecin*..Decidement. Même si le médecin si m'était s'en était fini.
Maelle ouvrit donc furtivement la porte et constata avec apaisement qu'il n'y avait pas un chat. Elle parcourut rapidement les tiroires et les meubles pour dégauter des compress, des bandages, du file et une aiguille stérile, plus du sparadrat. Elle emballa tout cela dans un sachet qui trainait là et reparti en refermant doucement derrière elle pour ne pas attiré l'attention. Puis Maelle s'élança a nouveau dans les couloirs afain de rejoindre le garde qui semblait vraiment mal au point. Elle ne se demandait même pas pourquoi elle l'aidait. Normalment ses type là ne se gènaient pas pour les torturer..Mais s'aurait été manquer d'humanité
Une fois pres de Sullivan elle s'accroupie et lui pris le visage pour voir s'il était encore conscient.

-éééhh vous m'entendez? Je suis denouveau là avec tout ce qu'il faut. Vous m'entendez?

Sully l’avait regardé partir, sans dire un mot de plus. Il avait peur qu’elle ne revienne pas et pourtant, elle ne semblait pas avoir peur de lui. De toute façon, il était peut-être très grand, mais il semblait complètement sur le bord du délire et de l’évanouissement tellement il était mal en point. La roulette de la botte de cow-boy l’avait mit horriblement mal en point ; il avait des trous sur tout le torse. Heureusement que beaucoup n’étaient pas aussi grave que la large coupure à son bas ventre et à son bras droit! Peu à peu, Sullivan commençait à s’endormit. Il était faible et fatigue, mais les pansements de fortune lui éviterait de se vider de son sang même s’il dormait un peu.

Dans ses rêves qui semblaient se déroulé dans une phase de semi-inconscience, il revoyait Maelle. Il voyait ses lèvres bougées, mais ne comprenait aucun son, aucun mot. Sullivan revoyait aussi l’horrible visage de son bourreau. Son sommeil ne dura pas vraiment longtemps, mais flotter entre la réalité et le rêve lui fit le plus grand bien. Il cessait d’avoir mal et se reposait un peu. Du moins, jusqu’à ce qu’il sente qu’on lui prenait le visage. Il sembla se réveiller complètement en sursaut, ne poussant qu’un faible cri de rien du tout. Pendant un instant, il avait crut que c’était Gin. Observant de ses yeux vitreux le visage de la jeune femme, il sembla se calmer en la reconnaissant.

« Vous… m’avez… fait peur. » dit-il d’une voix rauque, mais il semblait heureux de la revoir.

Sullivan l’observa un moment. Il semblait moins délirant que précédemment. Préfèrerait-elle aller dans un autre endroit que ces horribles caves pour le soigner? Ou devrait-il rester ici et attendre qu’elle ait bandé correctement ses plaies? Néanmoins, peu lui importait. Il trouvait seulement qu’il avait beaucoup de chance d’être sauvé. Autrement, il n’aurait pas eu la force de ce lever de cette table.

« Reste-on ici? Ou vous… préférez aller… ailleurs? J’arriverai… à marcher encore… un peu… » dit-il, espérant qu’il disait vrai, car il n’en savait rien, en fait.

Maelle lui fit un sourire simple et lui posa une main sur le torse pour l'empecher de bouger.

-Ne dite pas de sottise, vous arrivez a peine a me parler, alors ne dites pas qu'on doit aller ailleurs. A se rithme vous n'aurez plus un litre de sang dans le corps.
Maintenant garder un peu le silence afin de concerver vos force vous voulez. On bougera apres les soins.

Sans attendre sa reponse elle défit tout d'abord le bandage de fortune autour du ventre. Très vite elle choppa une compresse et l'imbiba de desinfectant.

-Attention sa risque de faire mal , mais c'est pour votre bien.

Maelle accompagna le gestes à la parole et appliqua la compresse sur la blessures vraiment pas jolie.. Elle savait que c'était douloureux mais bon...elle ne pouvait pas faire plus doux.. Apres que la plaie soit nettoyer elle changea la compresse puis installa un premier bandage. Par la suite elle s'attaqua au bras du jeune homme. Elle refit les même geste de départ mais au lieu de bander. Elle choppa son file et son aiguille . Puis apres avoir pris uen bonne inspiration Maelel se mit a recoudre soigneusement. Normalement l'homme devait se sentir un peu mieux.

- Pour votre ventre il faudra que je le recouse mais ici c'est impossible. Alors il faudra bouger. Dans un lieu ou vous pourrez vous allonger confortablement. Sinon je n'arriverais a rien et la plaie ne se refermera pas bien.
Voilllaaa.. c'ets bon pour votre bras.
Celui qui vous a fait cela ne vous a vraiment pas rater.


Elle repris une compresse puis un bandage pour terminer de soigner cette blessure.

Il eut un mince sourire aux paroles de l’orpheline. Elle avait raison, il avait complètement tord. Et dire qu’une femme s’occupait de lui… décidément, il était tombé terriblement bas pour en arriver à ce point. Chose certaine, Sully lui était extrêmement reconnaissant de son aide. Une sorte de lueur admirative flottait dans ses yeux quelque peu vitreux. Cette fille ne semblait pas être ici depuis bien longtemps, mais en même temps, elle semblait au courant de ce que faisaient les hommes aux femmes, mais elle l’aidait… Le surveillant torturé observait l’orpheline agir. Elle semblait tellement sûre d’elle-même dans ses gestes! Il savait que le désinfectant lui ferait l’effet d’une brûlure pendant quelques minutes, mais se serait moins douloureux que cet horrible alcool qu’avait mit son tortionnaire directement dans la plait qui puait à plein nez l’odeur de celui-ci. Sullivan savait que c’était pour son bien, mais il ne put s’empêcher de gémir faiblement dès que le produit commença à faire effet. Personne ne viendrait voir ce qui se passait ici. Sully ne ‘criait’ pas assez fort pour alerter qui que se soit!

Sullivan ne faisait rien pour l’empêcher de le soigner, mais il ne put s’empêcher de tressaillir et blêmir à la vu du fil et de l’aguille. Il venait de comprendre le sens du mot ‘recoudre’. Il détourna la tête avant que de voir l’aguille percer la peau des blessures à vif. Serrant les dents, mais ne retenant pas ses larmes, il tentait de se concentrer sur autre chose que l’aguille. Il se concentrait sur la voix et les paroles de la jeune femme. Elle lui recouserait le ventre aussi… Mais sentirait-il à nouveau quoi que se soit à cette partie du corps? Gin lui avait percé les nerfs à l’intérieur de la blessure… Bon, d’accord, ils n’étaient pas coupés, mais cela l’inquiétait grandement. Mais bon, pour l’instant, mieux valait qu’il ne songe pas à cela. L’importait, c’était de ne pas se vide de son sang.

« Peu m’importe… le… le lieu, tant que ce n’est pas trop loin… » dit-il faiblement, même s’il se sentait un peu mieux.

Elle en avait finit avec son bras. L’homme osa tourner la tête pour regarder. Ce n’était pas beau à voir… son bras était plein de sang, mais au moins, les plaies semblaient bien cousues. Cette femme était étonnante! Elle n’avait pas peur du sang, mais elle gardait son sang froid en faisait une telle opération qui en aurait fait vomir plusieurs.

« Je ne pouvais… pas bouger, de toute façon… ce… ce n’était pas bien… difficile de ne pas me… rater. »

Sullivan soupira faiblement. Il avait du mal à bouger son bras droit… il espérait pouvoir s’en servir de nouveau rapidement… Il n’était aucunement gaucher!

« Avez-vous… une idée de… de lieu? » demanda-t-il, parlant pour son ventre. « Merci de me soigner… J’avais peur que vous me laisseriez mourir là simplement parce que je travail ici… »

Maelle essuya ses mains pleins de sang dans ce qu'il restait de sa chemise...elle aura bien mal vécue celle ci.

-Vos appartements? Sont ils loin d'ici? Pour moi c'est le meilleur endroit ou personne ne viendra vous voir ou vous embeter. Qui plus est c'est là que vous vous sentirez le mieux. Je n'ai guère d'autre endroit.. Ma chambre ne vous conviendra absolument pas, question de propreté. Blessures et poussière ne font pas bon ménage.
Ou alors si vous avez une autre option je suis toute ouïe.

Elle nettoya un peu le sang qui se trouvait sur le corps de Sullivan avec un tissu propre. Au moins il était un peu plus présentale et il pourra être sur pied d'cic quelque semaines ou jours.

- Vos blessures ne sont ps très jolies mais elles se sooigneront. Rien d'interne n'a été sectionné. Ne me demander pas comment je sais cela. Je le sais c'est tout.

Elle passa un bras sous le torse de Sullivan et l'aida a ce relever.

-Alors ou va-t-on?

Sully eut un très mince sourire à la mention de la poussière qui se trouvait dans la chambre de celle-ci. La sienne serait probablement mieux, mais non pas pour la poussière, mais pour l’endroit.
Aucune orpheline n’accepterait que Maelle le fasse venir au dortoir des femmes! On le balancerait dehors dès que sa sauveuse aurait le dos tourné… De toute façon, il ne tenait pas à guérir là-bas. Certaines jeunes femmes ne se priveraient pas de vouloir mettre un terme à ses souffrances, c’était certain! Qu’y avait-il de plus facile que de tuer un pauvre garde complètement sans défense, qui avait un bras complètement en compote? Alors qu’il réfléchissait, il sentit qu’on essuyait son pauvre corps plein de sang. Il serait un peu plus… présentable, au moins.

« Vous devriez aller en médecine, en tout cas… » dit-il, retrouvait son souffle peu à peu. La douleur lui semblait moins horrible à supporter. « Il ne m’a rien sectionné, je dois l’avouer, mais il m’a quand même percé les nerfs du bas-ventre… Vous pensez que ça se réparera? »

S’aidant à se relever pour éviter à sa sauveuse de devoir supporter tout son poids, il ne put s’empêcher de pousser un faible gémissement de douleur. Sullivan avait les jambes toujours aussi tremblantes et il était toujours aussi faible, mais il se sentait un peu mieux. Il arriverait peut-être à se rendre jusqu’à sa chambre sans s’évanouir…

« Ma chambre sera mieux… De toute façon, je sortirais encore plus en mauvais état si vous m’emmeniez au dortoir des femmes. Les chambres des hommes sont au premier étage… c’est moins loin… »

Et personne n’irait embêter la jeune femme tant qu’elle resterait dans la chambre de Sullivan. Elle n’y aurait rien à craindre, de toute façon. Sully n’était pas en état de lui faire du mal et même s’il l’avait pu, il n’aurait pas fait cela. Cette femme l’avait sauvé, jamais il ne porterait la main sur elle.

[Tu peux poster tout de suite à la chambre de SUlly qui est déjà créée dans le topic du 'Couloir', quelque part, à moins que tu ne préfères répondre ici...]