Formulaire:
Nom : L’Écoutante (C’est le nom qu’on lui a donné). Son véritable nom est Muller
Prénom : Amaryllis
Age : 20 ans
Famille : La mère d’Amaryllis, Laurenne LaFontaine : À la naissance d’Ama, Laurenne avait 25 ans. Laurenne, aussi se maria à l’âge de 22 ans avec le père d’Amaryllis. Malheureusement, jamais Amaryllis n’aura de souvenirs de sa mère. Amaryllis est le portrait parfait de sa mère.
Le père d’Amaryllis, David Muller : Il avait 27 ans à la naissance de sa fille. On sait que c’est lui qui a été porté Amaryllis à l’orphelinat, alors que celle-ci savait à peine marcher et parler. Sa fille gardera un tantinet plus de souvenir de lui, mais sans plus.
Histoire : Amaryllis ne connaît pratiquement rien de ses parents, pourtant, il faut bien que l’histoire de sa vie commence quelque part… Je vous mets toute son histoire, mais elle ne se rappelle de pratiquement rien, ne l’oubliez pas.
Laurenne LaFontaine était enceinte depuis 9 mois déjà. Son premier enfant. Son premier petit trésor. Elle avait hâte que son enfant naisse, mais elle avait encore deux longues semaines à attendre. Les médecins lui avaient dit qu’une grossesse et l’accouchement pourrait la tuer vu sa santé assez fragile, mais Laurenne avait survécut à la grossesse. Mais l’accouchement? Son mari, Davird Muller, semblait le redouter plus qu’autre chose. Il avait toujours sût que sa femme avait une santé assez fragile, mais au point qu’on lui dise que l’accouchement pourrait être mortel en cas de problème? Des deux, c’était lui qui avait le plus peur. Il n’espérait ni un garçon, ni une fille, mais enfant en bonne santé. Mais ce qui devait arriver, arriva deux semaines plus tard.
Les contractions, les médecins qui se pressaient autour de la femme enceinte qui allait accoucher d’une minute à l’autre… et David qui avait l’impression qu’il allait s’évanouir sous la peur et la pression.
Bientôt, l’enfant naquit. Une petite fille. On entendait les pleurs du bébé, sa respiration, ses cris… mais plus jamais on n’entendrait la voix ou la respiration de Laurenne. La mère d’Amayllis avait succombé en donnant naissance à son enfant. Le père nomma l’enfant Amaryllis. Un prénom assez étrange, mais sa femme avait toujours tenu appeler son enfant ainsi, s’il avait s’agit d’une fille. Le veuf avait tenu à respecter ce choix.
David Muller ne fit jamais totalement ce deuil. Il vécut deux ans, avec sa fille, l’élevant seul, refusant toute aide qu’on se proposait à lui donner. Il voyait tout en noir, avait cessé de dormir, de manger, de se laver… Il tenta plusieurs fois de se tuer, mais chaque fois, sa fille le retenait de faire l’irréparable. David avait perdu son emploi. Il n’avait plus beaucoup d’argent. Il avait entendu parler d’un orphelinat pour filles, où une vieille dame traitait ces pauvres orphelines comme ses enfants. Au bout de deux semaines, il se résigna à aller offrir un meilleur avenir à sa fille. Écrivant une lettre, une nuit, il emmena sa petite Amaryllis se promener. Elle pouvait marcher et elle parlait assez bien pour une enfant si jeune… et même si la perspective de se séparer d’elle lui mettait le cœur en miette, il se disait qu’il lui offrait, ainsi, une meilleure vie, un meilleur avenir. Arrivée devant les grilles, il donna la lettre à sa fille :
« Tu vas aller la porter à la dame qui va t’ouvrir la porte. Tu vas rester chez un moment, le temps que je revienne te chercher, d’accord? »
La petite, sans se douter de la réellement intention de son père, acquiesça prit la lettre et passa la grille. Une vieille dame lui ouvrit la porte lorsqu’Amaryllis cogna. Elle donna la lettre à l’Ange, qui la fit entrer après l’avoir lue. Déjà, David Muller avait disparut.
Amaryllis grandit dans l’orphelinat, attendant sans cesse le retour de son père. Sa vie fut tranquille, jusqu’au jour où l’Ange mourut. Attristée par la mort de sa protectrice, elle passa des semaines enfermées dans le dortoir des femmes, sans en sortir, sans parler à quiconque. Lorsqu’elle consentit enfin à sortir, vraiment tout avait déjà changé…
Caractère : Amaryllis est… spéciale. En fait, son caractère est assez difficile à cerner. Elle-même ne sait pas vraiment comment elle peut se sentir, parfois. Elle ignore trop souvent les raisons de ses agissements, ses paroles, ses intuitions. Pour commencer, je vais essayer de vous décrire, le mieux possible, le caractère d’Ama. Ensuite, eh bien, vous verrez mieux en Rp ce que j’ai voulu dire ici.
Ama passe toujours d’un extrême à l’autre. Elle sembla pratiquement en pleine crise d’adolescente, mais elle a toujours été ainsi, même quand elle n’était qu’une enfant. Une journée, elle sera souriante, heureuse, pleine d’énergie, tandis que le lendemain, elle s’enfermera dans sa chambre, pleurant à chaudes larmes toute la journée et ne voulant voir personne, en plus d’avoir des idées suicidaires. On pourrait facilement la croire forte moralement, mais ce n’est qu’une pauvre image qu’elle se donne. En fait, elle est probablement la jeune femme la plus fragile, psychologiquement, de tout l’orphelinat.
Elle déteste qu’on lui dicte une conduite à adopter, mais depuis un moment déjà, elle n’ose plus vraiment désobéir aux surveillants et aux autres employés. Il lui arrive souvent de vouloir se tuer elle-même, d’en finir avec sa vie, mais chaque fois, soit elle n’a pas le « courage » de le faire, soit il y a toujours quelqu’un pour l’en empêcher ou encore la sauver.
Amaryllis a souvent peur d’un tas de choses, bien qu’elle n’aime pas nécessairement montrer sa peur. Il en va de même pour sa peine. Jamais elle n’acceptera de pleurer en présence de quelqu’un, jugeant toujours que les autres ont suffisamment de leurs problèmes, alors ils n’ont pas besoin d’entendre les siens… même si parfois ses nerfs lâchent complètement la pauvre jeune femme. Elle haït tous les hommes, sans aucune exception, mais sait-on jamais!
Amaryllis est une jeune femme qui sait écouter les autres, mais qui ne se confie pas nécessairement. Elle préfère écouter que parler, même si parfois, elle peut être plus que bavarde. Amaryllis est aussi très curieuse.
Apparence Physique : Amaryllis, comment la décrire? Tout d’abord, elle n’est pas bien grande. Elle mesure environ 1m65, pas plus. Peut-être un peu moins, par contre. Cela fait un moment qu’Amaryllis ne s’est pas mesuré.
Sa tête
Ses cheveux : Ses cheveux noirs lui arrivent au niveau des omoplates bien qu’à un certain moment, ils lui arrivaient pratiquement au fesse. Elle se les ait fait coupés dernièrement, par une autre orpheline. Quelques mèches de ses cheveux, au niveau du visage, son un peu plus courtes. Ses cheveux sont doux, toujours propres et rarement dépeignés.
Ses yeux : Les yeux d’Amaryllis sont bleus. Foncés et pâles à la fois, on semble pratiquement s’y noyer comme dans l’océan quand on les regarde. Et bien que ses yeux soient magnifiques, ils paraissent plus que jamais triste et dépourvu tout espoir, bien qu’une faible lueur de curiosité y vit toujours.
Son visage : Les traits de son visage sont fins, mais tristes depuis longtemps. Marqué par la peur et l’horreur, il n’en reste pas moins beau, fort heureusement. Amaryllis n’a aucune cicatrice au niveau du visage. Son petit nez légèrement retroussé, ses pommettes hautes et ses fines lèvres témoignent encore de son adolescence finit depuis quelques années. Ses traits semblent partagé entre les traits d’une adulte et d’une adolescente.
Son corps
Sa peau : Pâle, mais toujours légèrement bronzée, la peau d’Amaryllis est douce, propre et elle sent bon.
Son ventre : Il est plat, bien que parsemé par-ci par-là de plusieurs cicatrices dues à diverses tortures.
Son dos : Il a un immense '44' qui lui fait toute la surface du dos, gravé dans sa chair, à l'aide d'un couteau dentelé.
Sa poitrine : Elle est loin d’être généreuse, mais ne semble guère déplaire aux yeux qui peuvent se poser sur celle-ci. Elle est ferme, ni trop grosse, ni trop petite. Le seul hic, c’est l’horrible cicatrice qu’Amaryllis porte juste au-dessus de son sein gauche : ELLIOTH.
Un tatouage écrit à même sa chair, à l’aide d’un couteau dentelé. La gravure monte jusqu’à l’épaule gauche de la jeune femme.
Ses hanches et ses fesses : Ses hanches sont invitantes, bien que proportionnée au reste de son corps. Elles ne sont pas larges à faire peur, mais elles ont de belles courbes. Ses fesses, quant à elles, sont fermes tout autant que ses seins.
Ses jambes : Les jambes de la jeune femme sont comme le reste de son corps : belles, mais avec quelques cicatrices par-ci, par-là.
Ama prend toujours soin de cacher le plus possible son corps.