Se promène (hot si un garçon vient)

Nombre de messages : 117 Age : 36 Date d'inscription : 13/06/2006

Verona se promenait dans les jardins, s'arrêtant ici et là pour humer le parfum délicat d'une fleur ou d'une autre. L'Italienne rousse portait un débardeur noir qui moulait sa poitrine et une jupette plissée rouge.

Elle s'arrêta près d'un massif de rose et en cueillit une, prenant garde à ne pas se piquer avec les épines. La jolie rousse piqua la fleur dans sa chevelure de feu et continua sa promenade. Elle fit une nouvelle pause au bord de la fontaine.

Verona s'assit sur le rebord et regarda les carpes koï qui y nageaient. Les gros poissons colorés vinrent lui demander des miettes de pain. Elle commença à leur en donner car elle gardait toujours celles de ses repas.

Takeo souffrait sous cette chaleur pénible tout en renouvellant la terre pour que les fleurs puisse prendre un peu d'air et de vitamine. Il adorait s'occuper des fleurs, c'était comme une passion. Il aimait tout ce qui touchait à la beautée et au parfum ennivrant. Et puis ça en était devenu son métier.
Il était habillé d'une simple salopette, mais il n'avait pas attaché le haut tellement il faisait chaud. Lorsqu'il ramonna la terre, il vit une charmante jeune fille cueillir une rose et se diriger vers la fontaine. Il se redressa et enleva la sueur sur son front d'un coup de bras. Il regarda alors la fille s'asseoir et vit qu'elle était habillé d'une façon assez sexy, même provoc! Il laissa tomber son rateau et se dirigea vers la demoiselle. Il s'acroupissa près d'elle et lui tendit une myosotis, voulant toujours faire parraître pour l'homme gentil, alors qu'il était comme les autres de mauvais inttentions

"Voici une fleur simplette pour une jolie fleur comme vous mademoiselle ^^"

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Verona continuait tranquillement de nourrir les carpes. Elle n'avait pas remarqué la présence du jardinier. Les poissons accaparaient toute sa concentration. La jolie rousse préférait les animaux aux humains depuis qu'elle était ici.

Une voix masculine la tira de ses pensées aquatiques. Elle regarda celui qui lui parlait et prit délicatement la fleur entre ses doigts. Comme presque toutes les filles ici, elle portaient ses ongles longs, arme possible contre les hommes de l'orphelinat.

"Je vous remercie. Gracie."

Elle regarda les délicates couleurs des pétales. Doucement, elle plaça la tige au creux de sa poitrine, la fleur ressortant de son décolleté.

La jeune fille prit aors la fleur entre ses doigts, remarquant de longs ongles. Il savait qu'il devait se méfier de ça à présent, elle le remercia tout de même avec un accent assez chaud: la langue italienne. Il trouvait que les filles des pays chaud étaient bien plus belle et plus... "chaudes" que celle du japon. C'est pensées vinrent à le faire revenir à elle, voyant qu'elle posa la fleur dans son décolté, il pu en profiter à cet instant pour avoir une jolie vu sur la partie de la jolie jeune fille. Il sentit alors à cette vue qu'il allait vite être excité. Il plongea alors ses yeux dans ceux de la jeune femme et ayant mit deux doigts sous son menton, dirigeant son regard vers lui.

"Vous a-t-on déjà dit que vous étiez très jolie señorita?"

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Verona savait qu'elle faisait de l'effet à ce jeune homme. Ici, c'était comme ça. Elle pensait d'ailleurs depuis un moment que les orphelines acceptées ici n'étaient pas choisies au hasard. Ils devaient sélectionner les plus jolies et les moins susceptibles de leur causer des ennuis.

Il prit son menton et lui tourna la tête. Elle soutint son regard, sans ciller. Elle ne se dégagea pas, ne voulant pas brusquer les choses.

"Si, on me l'a souvent fait remarqué."

Elle répondit alors qu'on lui avait déjà dit. Il fit un bruit avec sa bouche comme si il était vexé

"C'est bête! j'aurais voulu être le premier à vous le dire!"

Il soutena toujours son regard dans le sien. La chaleur ne faisait qu'empirer les choses, il désirait le corps de la jeune fille plus que tout. Il lui proposa alors en se levant et en l'aidant

"Voulez-vous que l'on se promène un peu àl'ombre, il fait vraiment chaud ici!"

Le mot "ombre" était tout d'abord par rapport au soleil, mais aussi là ò{u il ne pourrait pas être vue. Bizarrement, il se disait que si la jeune fille ne lui montrerait aucun signe, il ne le ferrait pas!

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Verona sourit doucement. Bien d'autres auraient voulus être le premier à lui dire cela. Elle inclina la tête lentement, détaillant son interlocuteur. Comparé aux autres, il était beau. Il correspondait aux garçons qu'elle avait connus en Italie, grand, bronzé et musclé par son travail.

Elle accepta son aide pour se lever. Finalement, il lui plaisait presque. Verona ignorait son nom mais s'en moquait, il l'intéressait. Elle commença à réfléchir à un moyen de le faire tomber sous son charme, ce qui ne devrait pas être trop difficile.

"Oui, pourquoi pas. Quoique j'ai l'habitude de la chaleur."

En marchant, elle continuait à réfléchir quand une idée lui vint. Satisfaite, elle masqua habilement son regain d'énergie.

"L'habitude de la chaleur"... bizarrement ça le faisait sourire. Elle l'accompagna alors volontier. Ils marchèrent quelques insants sur le petit sentier tout en discutant de tout et de rien. Ils passèrent ensuite un petit pont où il posa ses coudes sur les rebords, observant de haut en bas la jeune fille en aillant un sourire taquin

"Excuse-moi, tu vas sans doute penser que je suis un peu pervers, ce qui est un peu le cas, mais... tu es vraiment très attirante!"

Il rigola un peu face à sa réponse et posa quelques doigts sur son front en baissant la tête

"Rien qu'en te regardant j'ai des projets fabuleux en tête... mais bon!"

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Verona discutait avec le jardinier tout en marchant. Finalement, il semblait bien moins dingue que certains autres. Pourtant, une de ses soeurs en avait fait un portrait noir, le décrivant comme un violeur extrèmement brutal. Mais elle ne voyait qu'un jeune homme parfaitement calme.

Ils s'arrétèrent sur un petit pont, surplombant un petit ruisseau artificiel. Elle regarda l'eau couler. Il lui annonça alors qu'elle était attirante.

"Ah? D'après ce que j'en sais, vous n'êtes pas du genre à le dire. Vous en profitez tout de suite."

Son caractère italien refaisait surface. Elle lançait des piques pas forcément agréables. Elle s'approcha de son compagnon et plaça son visage à quelques centimètres du sien.

"Je connais un endroit où l'on pourrait être tranquille. Si vous le désirez vraiment."

Elle se tut et recula, laissant agir son charme.

"Ah? D'après ce que j'en sais, vous n'êtes pas du genre à le dire. Vous en profitez tout de suite."

Cette remarque! il savait à présent que l'une des orphelines avait parler à celle-ci, il fit une sorte de grimace puis se mit à rigoler un peu diaboliquement, puis il la regarda en souriant

"C'est que l'on me connaît beaucoup à présent, je vois que les nouvelle se répandent de plus en vite!"

Par la suite, elle s'aprocha de lui, laissant quelques centimètre d'acart à leurs lèvres, il ne bougea pas d'un pouce lui souriant toujours autant et écoutant ce qu'elle avait à lui dire. Apparement, elle connaissait un endroit où ils pourraient être tranquil. Il souria malicieusement.

"C'est intéressant dites-moi! me feriez-vous l'honneur de m'y enmenner?"

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Verona le regarda réagir à sa phrase. Visiblement, il n'était pas ravi qu'elle sache la vérité à son égard. La jeune fille ne dit rien, elle se contenta de sourire. Elle n'allait pas trahir sa soeur.

Il était intéressé par sa proposition. Elle s'approcha de nouveau et posa sa main sur la joue du jardinier. Son regard se fit plus sérieux, plus accrocheur, le regard d'une femme fatale.

"Si tu connais le pavillon abandonné, tu dois savoir qu'il y reste un vieux lit double. C'est là que je t'appartiendrais, si tu le veux."

Elle fit un bond en arrière et se sauva en courant. Sa longue chevelure rousse dansait derrière elle. L'Italienne prit la direction de l'endroit qu'elle avait cité. Mais il existait des raccourcis, il devait les connaître.

"le pavillon abandonné"... en effet il en avait déjà entendu parlé, et c'était un endroit que peu de monde connaissait, il la vit se sauvée, les cheveux au vent. Comment était-ce possible qu'une jeune fille se laisse aller comme ça? et de plus, elle n'en avait pas peur. Celà chiffona un peu le eune home, il marcha alors lentement, en direction du pavillon abandonné, prenant quelque raccourcies dont il se souvenait

[TERMINER]

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