Reflexion..

Maxime s'ennuyer et n'avait rien a faire puisqu'il avait deja tout planifier pour les travaux sur l'orphelinat. Il avait reussit a sortir de l'orphelinat sans etre remarquer et était sortit prendre l'air dans le parc. Il s'affala sur un des bancs peint par les orphelines sans y prendre attention et soupira en passant sa main dans ses cheveux.

* Les bergers allemands ne vont arriver que demain , les maitres chiens aussi .... C'est pas assez...faudras que je fasse çà .. *

Maxime pensa a toutes son organisation , mais il fut extirpé de ses pensées par un bruit de pas qui venait dans sa direction....

Invité

Kyouaku apparut devant son ancien ami, le fixant d'un regard malsain, les yeux observaient durement le directeur, la main qui trainait dans lapoche de l'inspecteur en ressorti, accompagnée d'un magnum cobra, le canon de l'arme pointait entre les deux yeux du visage serein de Maxime, ce dernier savait sans doute que l'ancien millitaire n'oserais pas tirer sur lui, le sous-directeur soupira alors et rangea son arme, scrutant les environs, afin de s'assurer que l'on ne lui tendait pas un piège, le flic cracha alors sur le coté, le molard alla s'écraser contre la racine d'un grand arbre, à un mètre de là.

Kyouaku "Je crois que tu sais que je n'hésiterais pas à me servir de ce magnum si tu venais à faire une connerie..."

Le policier, l'arme toujours pointée sur l'homme assit tranquillement sur le banc, regardait ce dernier avec un air supérieur, sachant qu'il lui suffisait d'appuyer sur la détente pour mettre un terme à l'insignifiante existence de celui qui fut autrefois son ami

Kyouaku "Bon,je range ça, tu voudrais pas organiser une sortie pour ces filles? Et puis ce n'est pa une question, mais un ordre"

Maxime avait bel et bien entendu un bruit de pas arriver vers lui , dans sa direction , et il ne s'était pas trompé car il vit apparaitre son vieil ami Kakon . Il souria alors , un sourire sans aucune émotion , ni bonheur , ni haine , un sourire vide... Il ne fit rien quand son ami pointa son arme vers lui. Il rigola alors légérement.

Tu ne peu rien me faire, tu n'as rien contre moi pour avoir le droit de me tirer une balle , même si tu en meurt d'envie.

Maxime ne put s'empecher de rire a l'ordre de Kakon . Il rigola pendant un long moment puis s'arreta.

Tu n'as vraiment pas changé, toujours a protégé la veuve et l'orpheline

Maxime continua de rire mais il s'arreta subitement et regarda Kakon dans les yeux, avec une lueur de sadisme et de folie.

Elles ne sortiront que les pieds devant dans un cerceuil...

Maxime se leva alors du banc et se mit devant son ancien ami , l'air triomphant.

Invité

Kyouaku rattrappa son vieil ami par le col, lui cracha à la face après l'avoir soulevé et lui décrocha un coup de poing d'une puissance extraordinaire, après quoi il lui saisit le crane et l'envoya sur le sol, les yeux fixant les mains de ce salopard avec qui il avait et devait aujourd'hui travailler, une sorte de folie s'était elle aussi déssinée sur le visage de l'inspecteur, qui la chat prise après avoir porté un dernier coup de pied dans le corps de Maxime.

Kyouaku "Je n'ais jamais eut aucun scrupule à violer la loi, sale enculé, à mes yeux, je suis la seule loi"

Il releva alors l'homme qui saignait du nez, et lui jeta un mouchoir au visage, partant,, furieux, en direction du grillage dont il n'avait pas les clés,mais son magnum serait ien suffisant pour la serrure...

Kyouaku *Enflure...*

Maxime prit les coups a la suite , ne repliquant même pas , toujours se sourire sadique aux levres, comme si il n'avait pas eu mal et que ca l'avait amusé.
Il posa ses deux mains sur le sol et se releva assez difficilement a cause d'une cote surement cassée. Il posa sa main sur sa cote et regarda Kakon de dos.

Tu verra bien , ici , c'est moi la loi..

Max essuya alors le sang qui coulait de son nez avec le revers de sa main et s'en alla lui aussi vers u nendroit ou il pourrait se soigner.