Un homme au dortoir des femmes !

Nombre de messages : 63 Date d'inscription : 23/08/2006

Après s'être aventuré dans cette bibliothèque poussièreuse, où il avait fait la connaissance de la charmante Jessica, il fit un tour d'inspection dans le dortoir des femmes. Cette pièce lui semblait aseptisée en tout point, pas du tout l'idée qu'il se faisait d'un dortoir, et, encore moins de filles. Les murs étaient décrêpis, le dallage noir et blanc faisait plus penser à un échiquier qu'à autre chose. Il tapota d'une main leste aux portes des différentes chambres des occupantes du manoir. Pour essayer de faire des connaissances, et en apprendre plus, sur cette soi-disante rumeur comme quoi, les filles de ce manoir ne s'y plaisaient pas. Mais au fur et à mesure qu'il avançait dans le corridor, personne ne lui ouvrit. James eut beau entendre des bruits derrière les portes, aucun grincement ne se fit entendre. Quand soudain. . .

[ ~~Bon c'est court, c'est bourré de fautes d'orthographes lool, le suspense y est grossier mais bon lool ça a le mérite d'exsister, ôh, je me rattraperai mes fans absoluuuuus lool]~~

-salut twa aussi tu fait sa parfois les regarder

lol c'est tres intersant

appat sa ques que tu fait ici

La porte d'à côté s'ouvrit à la volé. Solly sortit un air satisfait sur sa bouche. Elle avait enfin trouvait ce qu'il lui fallait.. Elle tourna la tête sur la gauche, et remarqua deux hommes en train de se regarder des pieds à la tête. L'un des deux parla. A écouter ce qu'il disait, elle avait apparement affaire à un voyeur.. Décidemment, il y a vraiement de tout dans cet orphelinat... Elle répondit calmement

"Depuis quand est-il marqué voyeurisme gratuit ici ?"

Ses yeux laçait une lueur malveillante qui contrastait avec sa voix mélodieuse et son apparence calme. Elle enleva un mèche de ses long cheveux brun-roux de devant ses yeux et regarda les deux hommes, attendant leur réponses.

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A peine, Alexandre avait surgi de nul part, que tout d'un coup une porte s'ouvrit en grand dans un grincement sourd et irritant. Pour tout dire, l’occupante qui s’était extirpée de la pièce, était des plus charmantes, mais c’était seulement en apparence, une crinière faussement rousse, des yeux dont la couleur claire changeait en fonction du temps, un visage aux traits fins. Elle s’écria comme si elle avait trouvé un flagrant délit dans la personne des deux hommes dans le couloir, James ne put dire un seul mot, il en restait sur sa fin ! Puis tout d’un coup, à la grande stupeur de ces deux interlocuteurs, il éclata de rire qui résonna dans le long cheminement du couloir. Malgré l’interdiction qu’il se croyait devoir avoir, il alluma une cigarette dont la fumée embauma le corridor d’une odeur singulière et enivrante, attendant visiblement que le couple en sa compagnie discute. Ses orbes ténébreuses passaient de l’un à l’autre, ses sourcils se soulevant parfois, marquant ainsi un étonnement ou une surprise. Lui, dans tout les cas, restait muet.

Solly soupira. Décidemment, elle n'avait pas de chance... Tomber sur deux gardes en même temps. Mais bon, elle allait pouvoir s'amuser un peu....
Elle regardait les deux hommes de la tête aux pieds, comme il n'avaient pas du se gêner pour le faire.
L'un était brun avec un air ombrageux, l'autre blond avec un air tout sauf menaçant.
Elle, était habillée d'un corset violet foncé lacé de ruban en soie bleu nuit, d'une jupe bleu nuit suivant de près ses longues jambes fines et blanche jusqu'un peu plus haut que les genoux et légèrement fendue, tandis que ses pieds étaient dans des bottines en cuir bleu nuit lacé de voilet. Avec ses petits talons, elle atteignait largement la hauteur des deux hommes.
Aux bouts de quelques instant, elle eu enfin une réponse. Enfin un simulit. Simlulit, car le brun se contenta juste de rire d'un rire aussi sombre que ses yeux. Elle haussa un sourcil étonnée avant de lui répondre toujours aussi calmement (elle n'a pas crié ). Elle regardait le brun droit dans les yeux. Elle croisa les bras

"Je ne voit pas ce qu'il y a de drôle..."

Allaient-ils enfin parler? L'histoire ne le disait pas. Jusqu'a présent, elle était la seule à dégner vouloir ouvrir sa bouche...
Aucun des deux ne bougea, sauf le brun, pour s'allumer une cigarette.
Solly n'était pas très adepte de l'odeur mais bon. Elle en avait assez dit comme ça pour l'instant.
Pour corsé le tout, la fumée s'enroulée comme un serpent autour de la pièce, comme un serpent, la rendant un peu plus inquiétante.
En parlant de serpent, son serpent passa la porte dans un sifflement aïgue et vint s'enrouler autour d'une de ses jambes pour finalement s'enrouler autour de son cou.
Solly ne broncha pas, se contentant de regarder le brun dans les yeux.

[ J'espère que c'était pas trop pénible à lire lol ]

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Tout comme Solly qui l'avait dévisagé de la tête aux pieds, James se permit de faire de même sans montrer aucun signe de timidité ou de gêne. Quel mufle ! devait-elle penser. Puis l’homme qui avait cette clope au bec, beau garçon dans son costume où sa cravate sombre était légèrement débraillée s’avança vers la jeune femme, se penchant près de son visage pour l’observer comme un médecin qui ausculte son patient, il souleva un sourcil dans une moue curieuse avant de s’écrier d’une voix sympathique et enjouée :

« Ravi de vous rencontré, je m’appelle James, je viens d’arriver. C’est moi qui ait tapé à votre porte, je voulais faire connaissance. »

Un serpent sortit soudainement de l’habitat de la jeune femme pour venir se mêler à sa propriétaire, grimpant sur son corps, s’entortillant autour d’elle comme d’une parure luxurieuse sifflotant l’air en direction de James avec méfiance.

[ Nop au contraire !]

Elle le regarda faire un éclair de haine passant au travers de ses yeux. Non mais pour qui se prenait-il celui la ?? Elle avait envie de lui cracher à la figure mais ce retint. Vague (le serpent) siffla d'un air méprisant. Enfin il se décidé à parler. Apparement il voulait la connaitre... Il ne serait pas déçu du voyage celui-là... Elle lui dit ironiquement

"Me connaitre, vraiment ? t'es pas géner mon cher..."

Solly ne pris même pas la peine de le vouvoier. Trop fière pour se rabaisser au niveau d'un garde. Par politesse elle lui répondit ensuite. MAis sans aucune gaieté de coeur.

"Je m'appele Solly, et je trouve que tes manières ne sont pas très appropriés par rapport à ce que tu veux faire... Moi j'appele sa du voyeurisme..."

Elle lui fit un sourire de défi impatiente d'entendre la suite

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James esquissa un sourire amusé de votre réponse, ses lèvres charnues et appétissantes s'entrouvirent pour dévoiler ses belles dents de porcelaine. Puis il lui répondit d'un air taquin, s'inclinant à moitié:

"Eh bien, ma chère, je m'en excuse, ce ne sont là, les manières que d'un simple surveillant qui vient tout juste d'arriver. Mais peut-être pourriez vous m'accorder le privilège d'entrer dans votre chambre ? Quant au voyeurisme, je suis désolé de réfuter vos accusations, mes intentions n'étaient pas celles là, et si vous ne me croyez pas, j'en suis désolé. . ."

Ces quatre derniers mots avaient été prononcé avec une sincèrité touchante, tranchant nettement avec le reste de son discours; décidément cet homme était bien étrange ! Il écrasa doucement sa cigarette contre son pied pour l'éteindre, car il avait remarqué avec méthode que cela ne lui plaisait guère, puis reprit le mégot qu'il mit dans sa poche. Il tendit sa main vers le serpent qui approcha sa tête et vint doucement s'appuyer comme si elle voulait se faire caresser par l'homme élancé et charmeur qui n'avait pas l'air si terrible que ça.

Elle écouta son récit et répondit taquine elle aussi

"Un garde qui se prend pour un prince... Décidemment, ce pauvre orphelinat deviens de plus en plus étrange.."

"Entrer dans ma chambre n'est pas un privilège... Juste une petite faveur. Je suis de bonne humeur et j'aime ton sens de l'humour. Tu peut donc y entrer"

Certain aurais put la prendre pour folle, mais à vrai dire elle s'ennuiait un peu seule dans sa chambre..quand elle vit Vague aller vers le garde et se faire caresser, elle émit un sifflement étrange et le serpent revint autour de son cou. Elle poussa la porte et entra dans la chambre, invitant le garde à faire de même.
La chambre en elle-même était de taille moyenne, meublé d'un vieux lit deux place aux draps neuf. La tapisserie était un peu viellote mais ce la n'importait pas. De même que le parquet qui craquait à quelques endroit. comme autres meuble, la chambre avait une armoire, une commode et une coiffeuse. Tout était en ordre et la chambre sentait bon la lavande. Deux petits fauteil était placé près de la grande fenêtre. Elle invita le garde à s'assoir.

"Vous voici dans ma petite demeure.."

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James entra dans la chambre de taille respectable, ses pas grincèrent dans cette pièce intime sur le parquet, où les lattes de bois étaient plus ou moins bien disposées. Il s'installa après y avoir été invité par Solly dans un des deux fauteuils placés près de la fenêtre. Le beau garçon se cala contre le siège moelleux qui était d'un confort des plus agréables. L'artiste la dévisageait étrangement un instant, après tout pourquoi avoir accepté sa demande ?
Il esquissa un sourire sûr de lui avant d'affirmer et de reprendre sur ce même air taquin dont il avait l'habitude.

"Un garde qui se prend pour un prince, hein ? Et une pensionnaire pour une jeune et jolie princesse ? Ne sommes-nous pas faits pour nous entendre ?Mais je vous reconnais quelque chosevous êtes très belle."

Puis son discours se fit plus sérieux, il détourna ses orbes ténébreuses vers la fenêtre depuis laquelle s'étalait les jardins du manoir.

"Pourquoi avoir accepté ? J'ai entendu dire que les jeunes filles d'ici avaient peur des membres du personnel, pourquoi ?"

Il croisa une de ses jambes, et offrait sans le savoir un profil des plus séduisants, de plus le col de sa chemise entrouvert permettait de voir un torse saillant et finnement ciselé !

Elle souria légèrement à ses observations et répondit

"Eh oui l'erreur est humaine.."

Elle s'asseya sur le fauteil en face de lui, sa jupe remontant légèrement sur ses cuisse. Vague était toujours sur son cou, en train de dormir. Elle regarda le jeune homme. Il était certe beau, mais elle n'était pas du genre à pactiser avec l'ennemie.. Sauf si il savait lui parler. Chose extrement rare.. quand il posa sa question, son attitude se fut fière

"Je ne suis pas du genre à avoir peur de ces guignols. Et même, j'aime le danger."

Elle savait exactement ce qu'elle disait et attendait sa réaction, accoudée à son fauteil comme une princesse intouchable.

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Les pans de la jupe de la jeune femme s'étaient retroussés admirablement dévoilant des cuisses galbés mais fines. James remarqua ce détail mais détourna le regard, en rougissant peut-être, qui sait, légèrement. Amusé de la réponse de sa partenaire, au mot "danger", il se leva brusquement d'un bond ce qui provoqua le réveil du serpent qui partit dans un coin de la pièce, insupporté par le bruit que produisait le garçon. James s'approcha doucement d'elle et lui tendit sa main, de cette même façon moqueuse et intime qu'ils avaient adopté:

"Voulez vous m'accorder cette danse, princesse ? Je vous assure que c'est un danger auquel vous vous soumettez, mais pourriez vous danser dans cette tenue, quand j'y pense, je sais que vous autres princesses n'êtes pas habituées à valser, virevolter, que sais-je, dans de tels accoutrements !"

Il la ramena contre lui un instant alors qu'elle avait accepté sa main dans une pirouette habile, faisant tournoyer la jeune femme contre lui, la poitrine opulente percutait ce torse saillant, les lèvres appétissantes de James étaient à quelques centimètres mais il s'écarta brusquement, se reculant.

"Nous dansons alors, après que vous vous soyez changée ? Ou cette idée vous déplait ?"

En le voyant détourner le regard, elle lança un énimème pique, le regardant amusée.

"Ne suis-je pas assez belle pour toi ? Ou plutôt devrai-je dire le contraire... Trop pour ton regard."

Elle restée campée sur le fauteil et quand il se leva brusquement, provoquant le départ précipité de Vague du cou de Solly dans un sifflement furieux, il l'attrappa et commença à la faire danser, ce qui accentua la fureur de Vague sui alla bouder dans son coin. Trop occupée par le garde, Solly ne put aller consoler son serpent. Mais pour l'instant, elle avait d'autres priorité comme par exemple pousser le garde dans ses retranchements. Elle l'écouta parler et lui répondit du même ton que lui

"A vrai dire, tu ne me laissa pas le choix. Mais ce n'est pas grave. Sache que je ne me soummet pas, mais disons plutôt que je t'accorde une faveur royale."

Quite à faire du royal, autant jouer la comédie jusqu'au bout.. Quand à ses vêtements, elle lui répondit d'un ton désinvolte.

"Il y a un début à tout. Je suis très bien dans cet "accoutrement"."

Elle lui fit un sourire amusé. Pensait-il la voir docilement se désabillée devant lui ? Il n'y en a qui n'ont aucune gène comme on dit... Elle se laissa faire tranquillement, le suivant sans aucune gène. Après ses paroles, elle fit semblant de réfléchir en levant les yeux aux ciel et se mordilla légèrement la lèvre.

"Humm... Comme je le disait, je suis très bien comme ça."

Elle souria légèrement. Non mais ! Il se croyait où ?

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Les orbes sombres de James scintillèrent de mille feux, amusé par la réthorique de la jeune femme qui semblait tout comme lui prendre un malin plaisir à cette joute verbale, qui aurait le dernier mot ? Le visage de James prit une autre parure faisant mine d'être vaincu dans cet échange, D'une humeur taquine, le surveillant ajouta d'un air dépité:

"Eh bien soit, vous êtes très bien comme ça, c'est bien vrai. Mais sûrement est-ce dû au fait que comme tout le monde le sait sa majesté est somptueuse quoiqu'elle porte ! Pour tout vous dire, j'apprécie cette faveur "royale" que vous m'accordez, mais je ne voudrais pas abuser de votre temps, très chère. Mais vas pour une danse !"

Lui saisissant une de ses mains, posant l'autre sur sa hanche, l l'entraina sans tarder dans un tango endiablé. Des pas saccadés qui martelèrent le parquet grinçant, des mouvements amples, des corps qui se frôlent, ils virevoltèrent au son de cette danse imaginaire, sa poitrine voluptueuse contre son torse saillant, leurs visages esquissant par moment des sourires amusés. Ils terminèrent cette danse, leurs lèvres s'effleurant à peine dans un murmure, un souffle chaud :

"Vous êtes très douée. . .Mais comme on dit toute rose à ses épines. . ."

Il s'écarta de la jeune femme pour se rapprocher de la fenêtre, il l'ouvrit en grand pour faire circuler un peu d'air et détendre l'atmosphère ennivrantre qui s'était installée.

Elle était essoufflée et avait les joues toute rouge a force de danser. Elle ne savait pas depuis combien de temps leur comédie durait. Quand James ouvrit la fenêtre, elle en profita pour rejeter la tête en arrière et respirer l'air frais. Elle se leva et sans faire de bruit elle alla à côté de lui. Elle profita de cet instant pour lui répondre

"Merci pour le compliment."

"Mais si une rose n'avait pas d'épine, elle ne serait pas la plus belle fleur du monde. Les homme aiment tout ce qui leur résistent malgré ce qu'ils disent."

"Je me trompe ?"

Elle chercha son regard, attendant sa réponse. Elle avait repris un souffle normal.

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James, après avoir observé la vue et reprit légèrement son souffle, inspirant au passage une grande bouffée d'air frais,il porta de nouveau toute son attention sur la jeune femme, un regard amusé suite à ses propos sur les roses, il lui répondit d'un ton enjoué pour avoirle dernier mot:

"Mais qui a dit que la rose était la plus belle des plantes ? Peut-être que les hommes aiment ce qui leur résistent, mais je n'en suis pas aussi certain que vous, enfin, je suis un homme et c'est mon avis. Il se fait tard, Miss Yudson, vous devez être fatiguée après toute cette danse, je devrai vous laisser, vous ne pensez pas ?"

Le jeune homme fit les cents pas dans la chambre, ses orbes sombres se posant sur le serpent "Vague", la belle jeune femme, les meubles qui jalonnaient la pièce dans un ensemble mignon et charmant, empli de caractère tout comme sa locatrice.¨Pour tout dire, James attendait une réaction de Solly ou du moins qu'elle lui ouvre sa porte pour qu'il s'en aille, si elle ne désirait plus de lui.