Ecriture...

Le sous directeur depuis peu marchait dans les couloirs sombres de l'établissement, manquant à plusieurs reprises de ne tomber sur le sol, il bailla et poussa un première porte, un endroit sombre, une pièce vide, très petite qui, sentait le produit néttoyant, ce devait etre l'endroit ou le concierge, si il y en avait un dans cet endroit maudit, placait ses balais, durs à distinguer dans ce noir absolu, Kyouaku recula alors de quelques pas et ferma la porte qui lui paru grincer. L'homme reprit alors sa petite marche dans l'obscurité et s'arreta devant l'entrée de la bibliothèque, il en franchit le pas et oberva les lieux très attentivement, ses yeux se déplacaient à une vitesse ahurissante dans tous les sens, à la recherche d'un interrupteur, quand enfin il trouva un, ses doigts se portèrent dessus et il appuya

Kyouaku *Drole d'endroit, assez terrifiant... C'est vraiment Max qui tien tout ça?*

L'ancien millitaire s'avanca alors, portant de temps en temps son regard dur et froid sur des titres de livres divers et variés, rangés exactement comme il le fallait, un frisson pacouru alors l'échine du membre de la famille Kakon, une araignée se trouvait sur le dos de sa main, qu'il envoya sur le mur, écrasant la veuve noire qui trainait dans cet endroit sordide, c'est alors que son attention se porta sur une jeune fille, un sourire sadique en coin, l'homme plaqua sa main sur l'épaule de True, lui adressant son ignoble sourire, il sorti un couteau de la poche de sa veste marron sombre, qu'il rangea sur le coup, constatant que sa petite "blague" avait du bien marcher

Kyouaku "Euh dis gamine,tu sais où se trouve le bureau du directeur, parce que je suis venu en tant que... Non rien, dis moi d'abord ton nom... Moi c'est Ryouraku Kakon, futur sous directeur,enfin je crois..."

True aurait pû, elle aurait hurlé. Encore un de ces hommes... Elle secoua la tête, et détourna les yeux en serrant fort ses paupières, comme si elle voulait ignorer ce qu'elle avait vu. Elle n'eut pourtant pas trop le choix; elle redressa la tête et avec réticence se frotta doucement la gorge, en montrant qu'elle tentait bien d'émettre des sons, mais qu'elle ne pouvait pas. Pourvu qu'il comprenne.. Enfin, pourvu qu'il s'en contente et parte. Elle posa sur lui des yeux inquiets, osant même le regarder dans les yeux. Elle les baissa pourtant aussitôt.
Elle fit le tour de la bibliothèque de son regard empli de peur. Personne. C'était dans ces seuls moments-là qu'elle regrettait de l'être...
Ayant une idée, elle reprit rapidement la plume posée sur le bureau et écrivit sur un bout de feuille blanche "True" en lettres légèrement tremblantes. Elle désigna ensuite le papier et se montra. Kyouaku comprendrait sûrement.
Elle laissa ensuite la plume de côté et joignit ses mains sur ses genoux, droite comme un I, nerveuse.

Kyouaku observa, un air intigué collé au visage, la jeune femme, qui devait avoir à peine un an de moins que lui, il bailla à nouveau et oberva les copies sur la table, il y porta un rapide coup d'oeil, ne pu que constater qu'il devait faire face à une grande écrivain et attrapa la feuille où elle venait de marquer son nom, il la reposa alors sur la table, retira sa main de l'épaule de True et lui demanda pourquoi elle ne voulait pas parler, en effet, l'homme n'était pas au courant du tout des pratiques de son ami, le directeur, et si il l'avait sut, ce dernier ne serait plus de ce monde aujourd'hui...

Kyouaku "Ben alors je suis sur que tu sais parler, réponds je vais pas te manger""

Le jeune ancien millitaire s'assieya alors à la seconde chaise qui faisait face à celle de la timide fille, un regard un peu plus sympathique se déssina sur le visage de l'homme, qui écrasa une blatte qui tentait de se faufiler entre ses deux pieds

True fut presque tentée de sourire. Apparement, Kyouaku était nouveau. Et elle aurait aimé qu'il reste ainsi, dans cet état d'esprit qui fait qu'il sera dans un premier temps dégoûté de ces pratiques ignobles... Mais cela changera, True en était presque sûre et certaine. Elle leva des yeux encore légèrement apeurés sur lui, juste à temps pour ne pas voir qu'il écrasait le cafard... Heureusement.
Elle tourna à nouveau la tête vers son pupitre et prit la plume déllaissée quelques instant plus tôt. Elle commença à nouveau à écrire. Elle barra un mot, puis continua et tendit le mot à Kyouaku, pour qu'il le lise. C'était limpide cette fois.

Citation :

Je ne suis pas timide, mais c'est je suis juste muette...

Elle baissa les yeux et remis ses mains à leur place sur ses genoux. Elle était déjà un peu plus rassurée, même si ça ne la faisait pas moins méfiante. Elle ne risquait apparement rien pour l'instant, mais redoutait toujours le futur...

Kyouaku se gratta la tete en lisant le mot, elle était muette apparement, mais il n'arrivait pas à le croire, il était de nature très septique et ce genre de coup, des tas de condamnés, accusés et autres le lui avaient déjà fait, il éxistait une technique imparable pour déceler les vrais muets, tout simplement la pression psychologique, il commenca par faire craquer ses doigts et posa très lentement son couteau sur la table, laissant clairement sous entendre qu'il comptait l'utiliser, après avor vu qu'elle ne réagissait pas, il soupira et lui demanda, en écrivant à son tour inutilement sur le morceau de papier qu''il voulait savoir où se trouvait le bureau du directeur

Kyouaku "Mais dis moi, t'es muettes depuis quand?"

Il se leva alors et attrapa un livre en reliure de cuir et aux tranches dorées, sans porter aucune attention à son titre, il le déposa sur la table, arrachat la page de garde et griffonat quelque chose dessus, après quoi il rangea le papier dans sa poche, regarda à nouveau les copies de True et lui demanda le plus poliment qu'il pouvait le faire si elle le laisserait lire ne serait ce qu'un paragraphe

True failllit écrire "je suis muette, pas sourde" lorsque Kyouaku lui demanda par écrit où était le bureau du directeur. Mais elle se contenta de sourire et de lui indiquer vaguement une direction de la main, vers la porte.
Lorsqu'elle le vit arracher la page du livre, elle serra imperceptiblement les poings. C'était du pur irrepect pour ces livres et leur auteur! Elle pensait plutôt que si jamais elle aurait pû en publier un et qu'on lui arrachait une page comme ça, elle aurait aimé détruire le fautif de ses mains. Mais elle n'aurait pas fait le poids.. déjà il avait prouvé qu'il était cruel en essayant de lui faire peur avec son couteau. N'empêche que maintenant c'était légèrement râté; il avait bien dû se rendre à l'évidence : elle ne mentait pas.
lorsqu'il lui demanda pour lire une de ses pages, elle écarquilla les yeux. ça lui apprendra à laisser trainer ses notes.. la prochaine fois, elle ne quitterai pas sa chambre!
Elle lui tendit à contre-coeur l'une des pages qui voltigeaient sur le bureau, complètement au hasard...

Citation :

Mon coeur, étouffé, souvent pleure et peine
Blessé au plus profond de ses chairs, il saigne
Entouré par d'épaisses ronces et chaines
Garnies d'épines de soufrance et de haine...

Je suis déchirée, partagée entre les miens
La vie, sans que je le veuille, m'entraine au loin
Dans la direction inconnue qu'est demain
J'abandonne mes rêves, si beau et sereins...

Ma mémoire est toujours mon seul réconfort,
Je l'ai embellie, anticipant mon sort
Car il ne restera bientôt plus rien de mon corps...
Enfin, tranquille, je m'abandonne à la mort...

inutile de dire que toute reproduction totale ou partielle est totalement interdite exdrrrr!

True attendit avec suspicion les critiques qui ne manqueraient pas de tomber... Elle savait qu'elle était capable de faire beaucoup mieux, mais avait parfois des baisses de régime aussi...


[pitié me prenez pas pour une prétentieuse, c'est juste pour les besoins du perso -__-" ptdr!]

Kyouaku lit une première fois le poème et sourit à la jeune femme, il recommença la lecture, la remercia, posa la fueille sur le haut du tas mais ne parti pourtant pas, l'air pensif, il scrutait chaque coin et chaque recoin du sombre endroit,il avait peine à croire que des enfants aient put etres élevés dans un tel endroit, il soupira alors et demanda à True depuis combien de temps ces lieux étaient dans cet état, après quoi son attention se porta sur la porte, qu'il regarda comme si elle risquait de s'ouvrir brusquement pour laisser entrer quelqu'un d'indésirable, le jeune homme prit alors le couteau et tenta de le planter sur la table, la lame se tordi, ce n'était qu'un jouet, il avait bel et bien un véritable arsenal, dans sa vieille malle tout bosselée qu'il trimballait depuis déjà 6 ans.

Kyouaku "Au fait, je suis le sous directeur et c'est mon ami maxime qui m'a appelé mais surtout..."

Il tendit sa carte d'inspecteur à la jeune femme, lui indiquant qu'il menait depuis quelques temps une enquète sur cet endroit sordide et que son but pincipal était de prouver que certaines choses illégales étaient pratiquées ici, mais vu la peur que toutes avent du directeur, elle ne parleraient pas aussi facilement que le pauvre policier l'espèrait

le coeur de True fit un bond dans sa poitrine. Un policier... impossible! mais vrai... Elle avait peine à le croire. Et si c'était un piège...? Mais elle ne laissa rien paraître se contentant de regarder impassiblement la carte puis le visage de Kyouaku. Son couteau tordu gisait sur le bureau, vestige autant d'un jouet que de la peur de True. Elle se sentait en quelques sortes soulagées, mais aussi beaucoup plus angoissée... Elle devrait maintenant le prévenir qu'ici... c'était plutôt terrible et malsain. Elle nota à nouveau d'autres mots sur un papier qu'elle lui tendit :

Citation :

c'était bien entretenu du temps de avant que le directeur n'arrive. Avant ici, c'était merveilleux ici, un paradis...

Elle sentit que des larmes lui montaient aux yeux. Comme à chaque fois, les souvenirs d'avant cette galère lui donnaient envie de pleurer... Mais elle ravala ses larmes et se leva, indiquant de la main à Kyouaku de la suivre. Elle lui montrerait le bureau du directeur, mais seulement de loin. Elle ne tenaitpas à approcher ne serait-ce que du couloir où il était, par peur de croiser cet homme perfide...

Kyouaku attrapa le papier, son regard se porta surtout sur le mot abréé qu'il n'arrivait pas à lire, il soupira et se décida enfin à suivre le jeune femme quand celle ci fut devant la porte, la main de l'inspecteur se hata auprès de son desert eagle et le sera extremement fort, Maxime n'avait jamais été un rigolo lorsqu'il l'avait connu dans les desert de glace de Sibérie, et ça ne devait pas avoir changé, l'homme écrasa à nouveau,mais involontairement cette fois, une énorme blatte qui trainait par ici, renforcant son dégout pour les lieux, lorsque son guide ouvri la porte, l'estomac du jeune policier gargouillat, un air nerveux se dessina sur le visage de celui ci tandis qu'il sorti de sa poche une bouteille d'eau encore fraiche et en proposa un peu à celle qui avait daignée l'accompagner chez le directeur, après avoir essuyé les bords de la "l'évian"bien entendu

Kyouaku "Si vous n'en voulez pas c'est pas grave, bon je vais te tutoyer, si tu pouvais continuer à me marquer des trucs sur cette feuille... Fais pas attention aux trucs écrits en anglais derrière... C'est l'adresse dun resto si tu veux je demnderais une permission pour tous vous y emmener si ce salopard me laisse faire... :/"

True prit la feuille après avoir poliment refusé la bouteille d'eau. Elle avait la gorge si nouée qu'elle se demandait comment elle réussissait encore à respirer... Lorsqu'il lui parla du restaurant, elle sourit tristement, convaincue que ça ne pourrait jamais se réaliser... Mais si jamais ça se pouvait... Aucune ne serait surement d'humeur à faire la fête...
Elle se contenta de marcher en silence, précédent Kyouaku. Elle n'aurait pas pû faire de bruits de toute façon. Elle prit un vieux bic qui trainait sur un pupitre et écrivit sur la feuille:

Citation :

J'ai toujours été muette.

Elle montra la feuille au policier. Après une brève hésitation, elle rajouta ces mots dans un coin, pour qu'ils ne prennent pas trop de place. Lorsqu'on écrit, ce n'est pas comme lorsque l'on parle; il faut savoir se montrer économe...

Citation :

Vous tu as accepté de t'embarquer là-dedans juste pour quelques inconnues ?

Elle aurait aimé qu'il réponde le plus sincèrement possible. Elle ne pourrait pas l'y obliger mais elle pouvait au moins espérer...

Kyouaku observa true et ne lui répondit pas, enfin, juste après une courte hésitation, il répondit que la femme d'un des client de son boss quand il fut assistant d'un detective privé de renom, il y a de cela, 6 ans, alors qu'il enchainait les petits boulot et gerait la paperasse, avait demandé à trouver le coupable de la mort de sa fille, qui s'était suicidée dans un autre pensionnat de ce type, voir les lieux lui avait laissé un profond sentiment mélant haine et incompréhension, celui que l'on pouvait traiter les gens comme des insectes.
Le policier expliqua alors que quelques semaines plus tard, le petit ami de la fille avait massacré le directeur puis l'avait immolé après avoir appris que ce dernier violait régulièrement cellle ci, un frisson parcouru l'échine du juene homme qui tentait de se rappeler de l'air du corps immolés, que chacun regardait comme si c'était un acte normal, meme la famille du défunt, il devait etre une véritable pourriture et depuis ce jour Kyouaru enquetait sur ces endroits sordides, quand, par hassard, il avait été apppelé "au front" par son ancien ami.

Kyouaru "Mais je le connais, c'est un véritable enfoiré, je le criblerais de balles s'il le faut...."

Elle écouta attentivement. Elle ne savait que penser de cette histoire. un homme ne mérite pas de mourir même si... Si. Il le méritait sûrement... Elle pensait surtout à la pauvre fille... Elle devait avoir tant souffert! Pas moins qu'elle même pourtant... True continua à marcher dans le couloir, toujours discrète et maintenant tremblante, lorsqu'elle rajouta d'une écriture faussée par la marche un pâle "fait attention". Elle tendit le mot à Kyouaku et continua à se serrer les mains l'une contre l'autre, nerveusement. Elle pressa ensuite un peu le pas, allant toujours tout droit dans le couloir, pivotant parfois pour en prendre un autre et rejoindre des escaliers. Elle descendit et pila net.
Elle serrait dans ses main le stylo et écrivit:

Code:

[i]moi je ne vais pas plus loin. Vous allez tout droit, vous tomberez certainement sur lui... ou alors vous trouverez son bureau, il est dans ces couloirs et ne peut pas être manqué...[/i]

Elle hocha doucement la tête, encourageant mentalement Kyouaku à aller jusqu'au bout de son enquête et elle se retourna vivement pour repartir dans l'autre sens.

Kyouaku observa la jeune femme, lorsque celle ci se mit à trembler, l'inspecteur se douta qu'ils commencaient à se trouver très près du bureau du directeur, lorsqu'elle lui tendit un morceau de papier sur lequel était écrit un "fait attention", le policier fronça les sourcils et chargea son magnum, sous les yeux de la fille, un air mélant sadisme et mécontentement se déssina alors sur le visage de l'homme qui monta lentement et sans faire de bruit les marches, ses yeux regardant droit devant eux et posant parfois un petit regard à droite ou à gauche, il se mit alors à gravir les marches de plus en plus vite et, avant de ne dispairaitre dans l'ombre il remerciat de son emplacement True et lui sourit.

Kyouaku *je n'ais pas assez de preuves pour l'envoyer en taule... Mais je resterais à ses cotés, aucun geste qu'il fera ne m'échappera... Je l'aurais*

Il avait prononcé ses derniers mots à voix basse, comme pour s'auto-persuader de ses chances de réussite dans cette sombre affaire, il soupira alors longuement et repri sa route dans les couloirs sombre de la pension qui ressemblait d'ailleurs plus à une prison et un centre de torture qu'autre chose...

True sourit et secoua doucement la tête l'air exaspéré en fixant ses yeux sur Milie. Lorsque Kyouaku parla, elle fut tentée de l'empêcher d'aller voir le directeur. Mais elle se contenta de lui jeter un regard triste et ensuite de baisser les yeux. Elle devança rapidement Milie dans la bibliothèque, quittant Kyouaku.
Une fois qu'elles y furent parvenues, elle écrivit rapidement sur le premier bout de papier qu'elle trouva:

Citation :

canon, peut-être, mais pas une conquête...

observa Milie d'un oeil intrigué et écrivit au verso de la feuille:

Citation :

Pourquoi veux-tu de mon aide...?

Après avoir faillit se raviser elle continua:

Citation :

tu n'aurais pas un peu de chocolat sur toi je me sens un peu... chose.

Elle n'eut pas besoin de préciser qu'après la peur bleue que lui avait faite le policier et qu'avec ses nerfs qui supportaient mal les chocs, c'était un miracle qu'elle ne se soit pas évanouie...

True aurait bien rit. Evidemment, elle partagea le chocolat avec Milie, et mangea rapidement sa part. Elle fit un bref sourire et s'assit sur sa chaise, montrant à Milie celle où avait été assis Kyouaku. True cacha qu'elle était inquiète pour lui, et que ça aussi avait sûrement influencé ses nerfs. Connaissant le directeur, elle savait qu'il était totalement dégénéré et vraiment dangereux... Mais elle tût ses doutes [qu'aurait-elle pu faire d'autre? :p] et écrivit sur un autre bout de papier:

Citation :

je ne vois vraiment pas comment un de mes poème pourrait faire diversion, mais j'essaierais de t'aider. Qu'attends-tu exactement ?

True fit semblant d'éclater de rire.

Citation :

en effet, s'ils doivent attendre que je les leur lise, ils ont toutes les chances de s'endormir! et même de mourir de vieillesse...

Elle fit une mine un peu plus triste tout en grignota une sucette en forme de petit coeur rose.

Citation :

un thème... En fait je pense que ce serait surtout la "mise en scène" qui serait importante. Et tu serais parfaite pour ça, ma Milie!

True fit un petit sourire et partit farfouiller dans quelques étagères, un bouqin qu'elle n'arrivait pas à trouver...

*où es-tu toi??* pensa-t-elle rageusement.

True pour toute réponse haussa les épaules dans un mouvement de désespoir. Elle secoua légèrement la tête et la baissa, prenant son menton dans une main. Dans une soudaine illumination, elle posa un regard sur le livre que tenait Milie.
Elle se frappa le front et se dirigea vers lui. Sur la couverture, un titre en doré était calligraphié en lettres gothiques.
"Oeuvres Romantiques"

Citation :

je vais t'en trouver là-dedans. c'est les plus ennuyant à souhait qu'on puisse trouver, tu verras, tes gardes s'endormiront pour aussi longtemps que la Belle au Bois Dormant... bien que je doute qu'un prince vienne les réveiller, eux...