L'enfer des Anges
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 Légendes Urbaines

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True Evangelis
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True Evangelis


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MessageSujet: Légendes Urbaines   Légendes Urbaines EmptyMar 8 Aoû - 23:27

Mettez ici toutes les légendes urbaines que vous connaissez!! mais le flood est interdit :p


La petite fille à la poupée




« J’avais garé cette fois là ma voiture dans la parking sous terrain. Non que cela m’ennuie, mais ce n’était pas dans mes habitudes, et j’avais un étrange pressentiment. Exactement ce que ressentent les gens avant qu’il ne se passe une catastrophe…

Ainsi, lorsque j’arrivais en bas, je n’étais pas encore sorti de l’ascenseur qu’un hurlement se faisait entendre, et résonnait dans tous les sous-sols…
Je me mis aussitôt à faire demi-tour, pour chercher des secours -je ne voulais pas savoir d’où venait ce hurlement-, lorsque je me rendis compte qu’une petite fille se tenait plus loin, pleurant à chaudes larmes.


*la pauvre petite…*

Et me disant que je devais d’abord rassurer cette petite, au moins pour essayer de comprendre ce qui était arrivé, je me dirigeais vers elle. Je ne voulais pas la brusquer, mais savoir ce qui s’était passé et pourquoi elle avait hurlé si c’était elle :

- Que ... Que s’est-il passé ici ?
- Elle ne voulait pas me donner ma poupée…


En effet, la petite serrait contre son cœur un affreux jouet de porcelaine, qui semblait taché de peinture rouge, et dont le visage souriait béatement.

- Mais que s’est-il passé ?

La petite repris, comme une litanie :

- Elle ne voulait pas me donner ma poupée, alors je l’ai tuée… Elle ne voulait pas me donner ma poupée, alors je l’ai tuée… Elle…

La petite fille était paniquée, complètement traumatisée, la pauvre enfant… du moins, je pense que c’est comme ça que je voulais la voir :

- Mais voyons, ça ne peut pas être vrai ! Comment aurais-tu pu faire une chose pareille ? et avec quoi ? et qui ?

Je me levais et lui tournais le dos, pensant à une blague. Cela aurait été bien possible, d’ailleurs. Mais avant que je ne puisse faire quelques pas de plus, je tombais à terre, le genou en sang. Je ne compris pas… Pas avant que la petite ne m’enfonce un couteau de cuisine dans le cœur. Elle chantait à ce moment là, un sourire sadique sur le visage :

- Elle ne voulait pas me donner ma poupée, alors je l’ai tuée… il ne voulait pas me croire, alors je l’ai tué… Elle ne voulait pas me donner ma poupée, alors je l’ai tuée… Il ne voulait pas me croire, alors je l’ai tué…

Et durant tout ce temps, un sourire béat et satisfait ne quittait pas les lèvres de porcelaine de la poupée, couverte de sang. »


[écrirait-on un autre topic pour dire ce qu'on en pense et flodder à volonté ? xD]


Dernière édition par le Mar 8 Aoû - 23:41, édité 1 fois
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Sullivan MacReady
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Sullivan MacReady


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MessageSujet: Re: Légendes Urbaines   Légendes Urbaines EmptyMar 8 Aoû - 23:33

Désolé du flood...

Citation :
[écrirait-on un autre topic pour dire ce qu'on en pense et flodder à volonté ? xD]
Oui, se serait bien ^^


Woilà, je ne posterai plus ici (à moins de poster une légende urbaine), promis!
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http://tnatum.darkbb.com/index.htm
Jessica Defonseca

Jessica Defonseca


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MessageSujet: Re: Légendes Urbaines   Légendes Urbaines EmptyJeu 10 Aoû - 15:15

Charlotte et sa poupee


Tu as encore joué avec les couteux Charlotte ?
_Non,Maman,c'est Clémentine !
_Qui est Clémentine ?
_Ben...c'est ma poupée Maman.
_Oh...je t'en pris Charlotte cesse donc tes mensonges......(soupir)
_Mais je te jûre que c'est vrai Maman ! Je lui ai dit "non" mais elle les a
quand même pris et.....
_Tais-toi !!!! Cela suffit monte dans ta chambre.


_Je t'avais dit de ne rien lui dire Charlotte tu ne veux jamais m'écouter.
_Ho ! Tais-toi maintenant t'as déjà fait assez de dégats.(dit-elle en jetant
sa poupée à terre)
_Ne sois pas violante Charlotte ! N'oublie pas que je peux faire ce que je
veux sans mon aide tu n'arrivera à rien.
_Ok !!! C'est bon escuse-moi !Comment allons-nous faire maintenant ?Maman
sait qu'on a pris le couteau on va avoir des problèmes.
_Ne sois pas si bête à qui veux-tu qu'elle le dise avant la tombé de la nuit
? Après il sera trop tard elle sera condamné au silence.
_Ho oui ! Je préfèrerai que ma maman ne parle plus comme ça je pourrais
faire ce que je veux.(dit-elle avec un large sourire).

_Bonne nuit ma chérie.(en posant un baiser sur son front)
_Bonne nuit Maman.

_Ses "bonne nuit" vont me manquer mais il me restera ses baisers n'est-ce
pas ?
_Heu...oui bien sur...(Dit la poupée en sortant le couteau de sous le lit)
_Nous allons prendre celui-ci.
_D'accord.

_Mais Clémentine qu'est-ce que tu a fait ?
_Ta Maman ne parlera plus c'est ce que tu voulais non ?
_Oui mais pourquoi Maman saigne comme ça ? Pourquoi n'ouvre-t-elle plus les
yeux ? Clémentine.......... Pourquoi Maman es morte ?
_Parce-que tu l'as tué Charlotte !
_Non ce n'es pas vrai c'est toi !
_Tu es mauvaise Charlotte ! Moi je ne suis que ta poupée.
_Mais.....
_Tu es mauvaise !!! Prend ce couteau et regarde. C'est toi.
_Non,c'est pas vrai !!!!! Mais quel es ce bruit ?

_Embarquez la petite !!! C'est monstrueux !!!!!!
_Non,non je veux pas c'est pas moi c'est elle !!!
_Ne dis pas n'importe quoi ce n'est qu'une poupée.

_Tu es mauvaise Charlotte. (dit-elle en fermant la porte derrière leurs
pas).



L'histoire d'helene


Cet après-midi, j ai poussé Arthur dans le bassin. Il est tombé et il sest mis à faire glou glou avec sa bouche, mais il criait aussi et on l a entendu. Papa et maman sont arrivés en courant. Maman pleurait parce qu elle croyait qu Arthur était noyé. Il ne l était pas. Le docteur est venu. Arthur va très bien maintenant. Il a demandé du gâteau à la confiture et maman lui en a donné. Pourtant, il était sept heures, presque l heure de se coucher quand il a réclamé ce gâteau et maman lui en a donné quand même. Arthur était très content et très fier. Tout le monde lui posait des questions. Maman lui a demandé comment il avait fait pour tomber, s il avait glissé et Arthur a dit que oui, qu il avait trébuché. C est chic à lui d avoir dit ça, mais je lui en veux quand même et je recommencerai à la première occasion.

D ailleurs, s il n a pas dit que je l avais poussé, c est peut-être tout simplement parce qu il sait très bien que maman a horreur des rapportages. L autre jour, quand je lui avais serré le cou avec la corde à sauter et qu il est allé se plaindre à maman en disant : « C est Hélène qui m a serré comme ça », maman lui a donné une fessée terrible et elle lui a dit : « Ne fais plus jamais un chose pareille ! » Et quand papa est rentré, elle lui a raconté et papa s est mis lui aussi très en colère. Arthur a été privé de dessert. Alors il a compris et, cette fois, comme il n a rien dit, on lui a donné du gâteau à la confiture : j en ai demandé aussi à maman, trois fois, mais elle a fait semblant de ne pas m entendre. Est-ce qu elle se doute que c est moi qui ai poussé Arthur?

Avant, j étais gentille avec Arthur, parce que maman et papa me gâtaient autant que lui. Quand il avait une auto neuve, j avais une poupée et on ne lui aurait pas donné de gâteau sans m en donner. Mais, depuis un mois, papa et maman ont complètement changé avec moi. Il n y en a plus que pour Arthur. On lui fait des cadeaux sans arrêt. Ca n arrange pas son caractère. Il a toujours été un peu capricieux, mais maintenant il est odieux. Sans arrêt en train de demander ci ou ça. Et maman cède presque toujours. Vraiment, en un mois, je crois qu ils ne l ont grondé que le jour de la corde à sauter et ça, c'est drôle, puisque pour une fois, ce n était pas sa faute ! Je me demande pourquoi papa et maman, qui m aimaient tant, ont cessé tout à coup de s intéresser à moi. On dirait que je ne suis plus leur petite fille. Quand j embrasse maman, elle ne sourit même pas. Papa non plus. Lorsqu ils vont se promener, je vais avec eux, mais ils continuent à ne pas s occuper de moi. Je peux jouer près du bassin tant que je veux, ça leur est égal. Il n y a qu Arthur qui soit gentil de temps en temps, mais souvent il refuse de jouer avec moi. Je lui ai demandé l autre jour pourquoi maman était devenu comme ça avec moi. Je ne voulais pas lui en parler, mais je n ai pas pu m en empêcher. Il m a regardée par en dessous, avec cet air sournois qu il prend exprès pour me faire enrager, et il m a dit que c était parce que maman ne voulait plus entendre parler de moi. Je lui ai dit que ce n était pas vrai. Il m a dit que si, qu il avait entendu maman le dire à papa et qu elle avait même dit : « Plus jamais, je ne veux plus jamais entendre parler d elle! »

C est ce jour là que je lui ai serré le cou avec la corde. Après ça, j étais tellement furieuse, malgré la fessée qu il avait reçue, que je suis allée dans sa chambre et que je lui ai dit que je le tuerais.

Cet après-midi, il m a dit que maman, papa et lui allaient partir au bord de la mer et qu on ne m emmenait pas. Et il a ri et il m a fait des grimaces. Alors, je l ai poussé dans le bassin.

Il dort maintenant et papa et maman dorment de leur côté. Dans un moment, j irai dans sa chambre et cette fois, il n aura pas le temps de crier, j ai la corde à sauter. Il l a oubliée dans le jardin et je l ai ramassée.

Comme ça, ils seront obligés de partir sans lui. Et après, j irai me coucher toute seule, au fond de ce vilain jardin, dans cette horrible boîte blanche où ils me font dormir depuis un mois.




Sanglante Marie


(je tiens a preciser que le prenom c'est pas fait expres!!!lol)

un jour, une fille nommée jessica va sur internet elle commence a parler
a une autre fille ça a commencer normallement....

Jessica: salut toi
autre fille:allo
Jessica:(a la fin) tu as été vraiment interressante a parler!!
autre fille: vraiment? merci tu le pense vraiment?
Jessica: oui
autre fille: koi ton nom déja?
Jessica: jessica et toi
autre fille: je peux pas te le dire.
Jessica: pourquoi??
autre fille: parceque je suis morte.
Jessica: koi?
autre fille: je suis morte!!!!...
Jessica: comment tu peux etre morte? les morts parlent pas au vivant!!
autre fille: oui y peuvent si je peux!
Jessica: ok tu es morte. c koi ton vrai nom maintenant que je sais que tu
es morte??
autre fille: Marie
Jessica: ok. et ou tu vis 'la morte' et c est koi ton nom de famille?
marie: tu veux vraiment le savoir?
Jessica:bien oui c est sa que j attends! si tu me le dis pas je regarde
dans l annulaire!!!
Marie: tu veux vraiment le savoir?
Jessica: (commence a frustrer) OUI JE VEUX! VA TU ME LE DIRE!
Marie: j ai pas de nom de famille.
Jessica: (calmée un peu) ok debord dis moi ton autre nom .
Marie: je vis dans les miroirs et je traversent par eux.mon nom entier
est Sanglante Marie
Jessica: (rire) tu peux pas etre Sanglante Marie! sa n existe pas!
Marie: t est sure de sa? je sais tout de toi. je sais ou tu vis,ce que t
aime ki tu aime, ta favorite couleur, ton nom complet et je sais que tu
es effrayer.
Jessica: ok.tu me fais peur!Arrete-sa!
Marie: ok. si tu ne passe pas cette conversation a 15 personnes je
viendrai te voir!!

le jour d apres...
jessica se reveille un matin arpes avoir passer cette conversation a 15
personne.elle va dans la salle de bain et allume les lumieres. elle
regarrde a l interieur de son mirroir et en 1 secondes les lumieres s
eteindent. elle regarde a l ainterieur du mirroir et voi une personne
avec un long couteau couvert de sang .elle se tenait au dessus de la
tete de jessica. elle regarde partout pour y trouver kelkun. personne d
autre dans la piece.elle allume les lumieres.Elle regarde autour. Plus
personne a coté d elle ni dans le miroir.Elle regarde sur le sol et vois
quelque chose de rouge comme du sang:le couteau de Sanglante
Marie.

Envoyer le a 15 personnes ou + car une amie de mes amies ne la pas
fait...
elle a etait retrouver morte ecorcher dans sa chambre elle chantait et dansait devant son miroir quand ces parents on entendue un hurlement...
il se sont precipiter pour aller la
voir mais il etait trop tard . elle etait morte sur la glace il y avait
marquer "marie est de retour"




Maison damnee


C'est l'histoire d'une maison damnée, construite sur un lieu rituel des indiens.
C'est en 1924 que cette maison fut construite. 3 ans plus tard, une famille ( père, mère et 1 fillette de 8ans) emménagent. Les 2 premiers mois sont relativement calmes mais ce fut le calme avant la tempete........Des bruits se firent entendre dans la cuisine et la chambre de la fillette. An réveil, le père et la mère descendirent déjeuner, c'est alors que le père se rendit compte d'une anomalie sur le carrelage=) un visage de vieille femme apparu sur le carrelage glacé. Il appelle la police, ceux-ci l'accompagne dans la chambre de la fillette ou la il y avait des centaines de visages. La police n'a decelé aucune traces d'empreintes ni de vandalisme. La famille fit refaire tout les murs et planchers de la maison mais rien ne changea. Les visages se multipliaient et ils commençaient à redouter le pire. Un matin les visages avaient arretés de se multiplier mais avaient l'air dégouté et en colère. Les parents coururent dans la chambre de la fillette: ils ne la trouvèrent nul part. Il ne restait plus qu'une coulée de sang sur le miroir...........La police fit démolir la maison et des archéologues et chercheurs creusèrent sous la maison. On retrouva de nombreuses dépuilles et squellettes et parmis les corps, des débris de reliques de toutes sorte y compris la peluche préférée de la fillette qui était dans les bras de son cadavre mutilé......On entendit plus jamais parler de ces personnes.
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Jessica Defonseca

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MessageSujet: Re: Légendes Urbaines   Légendes Urbaines EmptyJeu 10 Aoû - 18:47

dsl j'ai du faire un new message car sinon je depassais la limite de longueur autorisee!!!!^^'




TOP DU SADISME!!!!!!(
pour ceux que ca interesse)

Lorsque le jeune homme arriva au cabinet du Docteur Potier, vers 10 heures du matin, le docteur se trouvait dans la petite pièce du sous-sol. Il vint ouvrir la porte a son patient et le pria d'entrer.Il l'emmena ensuite jusqu'à son petit cabinet au sous-sol, et se mit à le ligoter soigneusement sur une chaise. L'étonnement que cela provoqua chez le jeune homme ne le fit cependant pas réagir, car étant un fidèle patient du docteur, il voyait surement dans ce procédé peu conforme un moyen efficace de soigner ses maux. Il se laissa donc faire, une totale confiance pouvait se lire dans ses yeux attentifs... Le dr Potier était le seul à pouvoir le guérir...


La consultation pouvait maintenant commencer. Le docteur se présenta donc face à lui, et tout en maintenant l' oeil droit ouvert, se saisit d'une lame de rasoir, et commença à inciser délicatement le globe oculaire du jeune homme.
Son oeil gauche allait rapidement subir le même sort, avant que ses paupières ne soient à leur tour entièrement découpées.


Il était désormais aveugle, mais pas muet, et les hurlements de douleur perturbaient le docteur, qui s'empressa alors d'aller chercher un sécateur dans sa remise. En revenant, on pouvait l'entendre murmurer dans les oreilles de son
patient : "c'est caoutchouteux, mais ça ne se coupe pas trop mal..."


Le jeune homme effrayé se mit à se débattre. En vain, puisque le docteur finit par lui écarter la mâchoire. Cependant, la présence de dents, et la place qu'elles occupaient, empêchaient le docteur d'effectuer son travail convenablement.
Il se mit à déchirer violemment les gencives de son patient, en triturant les nerfs à vifs des quenottes préalablement déracinées. Il pouvait maintenant sectionner la langue en toute tranquillité. Il saisit alors brusquement le sécateur
de ses deux mains, et alla le placer dans la bouche charcutée du jeune homme en pleurs. Il commença par couper la luette, qui fut avalée aussi sec, puis sectionna lentement la langue convulsée.


Le flot de sang dans sa bouche commençait à déborder de toutes parts, se mêlant allègrement aux glaires qui ressortaient de sa gorge remplie de pus et de morve


Il fallait maintenant stopper l'hémorragie. Le docteur effectua donc une incision cervicale, laissant entrevoir le carrefour carotidien. Il ligatura la branche externe, et tout rentra dans l'ordre.


Cependant la surdité restait un problème majeur pour le docteur, qui, dans la louable intention d'ôter un petit bouchon de cérumen des oreilles du jeune homme, empoigna une perceuse, la mit en marche, et l'enfonça au plus
profond du conduit auditif. Les tympans explosaient pendant que le cérumen éclaboussait abondamment le docteur, qui s'écria : "dis-donc, t'en as du miel dans tes oreilles! Regarde moi ça... une vraie ruche!", puis enchaîna,
agacé : "arrête de gigoter comme ça! Je n'en ai plus pour longtemps".


Plus pour longtemps, en effet, mais le jeune homme n'avait certainement pas la même notion du temps. Il voulait en finir au plus vite avec cette vie, et la seule représentation mentale d'une éternité de souffrance le paralysait.


Le docteur profita donc d'un moment de calme pour s'accorder une petite pause. Il prit le temps de boire un café, et de déguster un beignet au pus, puis se remit au travail.


Il avait à coeur de guérir son jeune patient, auquel il vouait une affection sans bornes. Il saisit les mains tremblantes du garçon, et commençait à les examiner, quand soudain, il découvrit avec effroi des ongles encrassés, dont la noirceur ne lui inspirait qu'un sombre dégoût. Il fallait à présent nettoyer tout cela. Le docteur immobilisa la main du jeune homme, qui se débattait sans relâche, puis ouvrit son tiroir à ustensiles. Parmi divers accessoires alléchants, son choix se porta sur une simple aiguille. Il la glissa sous l'ongle de son patient, appuya doucement jusqu'à la faire pénétrer, puis l'enfonça complètement dans la chair, avant d'effectuer derechef cette manipulation sur tous les autres doigts. Une fois ce petit décrassage terminé, le docteur se proposa d'opérer à un léger rafraîchissement sur les ongles de son patient. Il prit un coupe-ongles, et sectionna, petit à petit... jusqu'à la racine


La consultation était terminée, cependant il restait un mince détail à règler. En effet, le docteur prit conscience, en observant le jeune homme, que celui-ci était encore en mesure de procréer. Aussi lui baissa t-il son froc, attrapa deux bonnes briques, et lui éclata les testicules en les frappant sèchement l'une contre l'autre... Il ne restait plus au docteur qu'à déposer le sexe du patient sur un plateau, et à le trancher avec une hachette, à la manière d'un concombre.


Les rondelles de pénis tombaient une à une au sol, s'accompagnant de vives giclées de sang et de sperme. Le docteur ramassa les morceaux, et en profita pour nettoyer un peu le sol, puis se tournant vers le jeune homme, lui demanda : "tu veux que je te raccompagne chez toi?". N'obtenant pas de réponse, le docteur prit l'initiative de raccompagner son patient, qui n'avait pas l'air en très grande forme. Il le détacha, prit son bras et le conduisit vers une petite porte, au fond du long couloir du sous-sol. Il ouvrit cette porte grinçante et s'exclama : "ça y'est, on est arrivé!" ...


Au milieu de cette petite pièce poussiéreuse gisait un vieux cercueil verrouillé. Le docteur s'empressa de l'ouvrir, et jeta le jeune homme à l'intérieur. Cet endroit exigu et sombre offrait une atmosphère assez particulière. En effet, à l'intérieur grouillaient une foule d'insectes, plus ou moins gros, et plus ou moins juteux.
On pouvait les entendre s'emparer de leur nouvelle forteresse, se faufiler dans les orifices tout en creusant des galeries dans cet organisme encore en vie
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Kaileena

Kaileena


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MessageSujet: Re: Légendes Urbaines   Légendes Urbaines EmptyMar 15 Aoû - 21:23

Moi aussi j'en ai:



1-C'était une nuit sombre et brumeuse. Denise avait de la difficulté à rester éveillé et la route était trempé. Son niveau d'anxiété n'était pas pour aider car le niveau de la jauge d'essence commençait à être dangereusement bas et elle n'avait aucune idée d'où se trouvait la prochaine ville.

Finalement juste au moment ou elle allait arrêter la voiture pour la nuit et dormir sur le bord de la route, elle aperçut une petite station d'essence décrépie sur le bord de la route. Elle s'arrête à la station. Le commis fait le tour de la voiture et semble être très distrait pendant qu'elle lui demande de faire le plein, il continue à lui faire de drôle de grimaces et semble très bizarre. Il s'exécute enfin, mais lui demande d'ouvrir le capot, parce qu'il flaire quelques choses de suspect. Son anxiété recommence à grimper car elle se rend compte qu'elle est seule dans une petite station service crasseuse au milieu de nul part et que le commis trouve toutes sorte de bonne raison pour la garder ici...
Il lui demande de venir voir le moteur, il veut lui montrer quelques choses. Ne sachant pas trop quoi faire d'autre, elle fait ce qu'il lui dit, tout en se demandant pourquoi elle ne se met pas à crier. Aussitôt arrivée devant la voiture, il lui attrape le bras et lui dit :" Cette voiture a besoin d'une remorqueuse, vous devez venir avec moi dans le bureau !" Puis il lui met la main sur la bouche et l'entraîne de force a l'intérieur du bureau.

Elle commence à lui mordre la main. Une fois à l'intérieur, il la laisse partir et lui dit : "Il y a un homme couché sur le siège arrière de votre voiture !!!"
Mais la femme apeurée par en courant vers sa voiture et s'en vas a toute vitesse. Au bout de quelques minutes, regardent dans son rétroviseur, elle vit un homme avec un blouson à capuche et une hache dans la main sur la banquette arrière.
Et l'homme d'un mouvement de bras décapita Denise avec sa hache. Le cadavre de Denise fut retrouvé peut de jour après. La police arrêta le tueur en série des années plus tard.
Alors as - tu regardé sur la banquette arrière ?


2-Après s'être disputée avec ses parents concernant une fête a laquelle elle ne pouvait pas assister, une jeune fille décida malgré tout d'y aller.

Elle partit de chez elle par la fenêtre de sa chambre. Arrivée là-bas, elle fit la connaissance d'un jeune homme qui lui proposa de se rendre à une autre fête, plus intéressante que celle-là.

Arrivés, le jeune homme se mis a boire plus que de raison, et la jeune fille lui demanda de la raccompagner à la première fête. Sur le trajet, une terrible accident se produit.

Lorsque la jeune fille se réveilla, elle était dans un lit d'hôpital. Une infirmière lui annonça que son ami était décédé, ainsi que les deux passagers de l'autre voiture.

Sentant que la mort arrivait, la jeune fille demanda a une infirmière de dire à ses parents qu'elle était désolée de leur avoir désobéit. Quelque instant plus tard, la jeune fille mourut.

Lorsque des amis de la jeune fille se rendirent à l'hôpital juste après l'accident, un d'eux demanda à l'infirmière, si elle avait laissé un message pour ses parents, cette dernière répondu que non.

Intrigué par sa réponse, une autre infirmière demanda à sa collègue pourquoi elle avait menti. Elle lui répondit qu'elle ne savait pas quoi leur dire, car les gens dans l'autre voiture étaient les parents de la jeune fille.


3-Sophie vit dans une chambre avec sa colocataire Sarah. Vers 8 heures, elle se rappelle que son livre emprunter à la bibliothèque doit être rapporté pour aujourd'hui et la bibliothèque ferme à 9 heures. Sophie dit à Sarah qu'elle doit sortir pour aller porter son livre à la bibliothèque et qu'elle en aura pour un moment. Elle invite Sarah à se joindre à elle, mais celle-ci refuse prétextant qu'elle veut se coucher de bonne heure. Sarah demande à Sophie de fermer la lumière en sortant. Sophie sort de la chambre traverse le campus pour se rendre à la bibliothèque. Une fois rendu elle se met a parler avec un de ses amis pendant quelques minutes, pour ensuite réaliser qu'elle a oublié le livre à la chambre. Il est déjà 9 heures et elle promet à son ami de revenir rapidement. Quand elle arrive à la chambre, elle se rappelle que Sarah est endormie. Sophie sait cependant exactement où se trouve le livre; sur son bureau tous près du lit de Sarah. Pour ne pas réveiller sa coloc, elle entre tranquillement, attrape son livre et quitte la chambre sans ouvrir la lumière. Elle retourne ensuite à la bibliothèque, rend le livre et ressort pour prendre une bouché avec le copain qu'elle avait laissé là quelques minutes plus tôt. Quand elle retourne à sa chambre, elle y trouve une armée de policier et une ambulance. Un policier la saisit et la conduit dans la chambre, Sophie voit deux choses à ce moment qui seront gravé pour toujours dans sa mémoire le matelas de sa coloc Sarah, immaculé de sang et quelque chose d'écrit avec un rouge à lèvre dans le miroir de son bureau :


"Es-tu contente de ne pas avoir ouvert la lumière ?"
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