Ugence!

[=>chambre de Takeo]

Takeo couriat dans les couloirs en tenant Verona, enfouit dans une couverture, vers l'infirmerie. Peu importe si les gardes le voyait ou non, il n'en avait rien à faire. Il courait manquant parfois de trébucher, il s'arrêta un instant et ne trouvait pas la salle. Il commençait à paniquer. Il regarda Verona toujours évanouie. Il la serra contre elle, les larmes aux yeux

"Ne t'en fais pas mon ange... je vais y arriver..."

Il déposa un baiser sur son front chaud et humide. Il courut dans un couloir au hasard et tomba tout à coup sur la salle de l'infirmerie. Il ouvrit et referma la porte. Il déposa alors Verona sur le lit, allongée sur le dos. Le sang coulait toujours mais un peu moins. Il prit un coussin et suréleva le lit avec pour éviter que le sang ne coule et que le col se referme. Il prit une bassine d'eau froide ainsi qu'un tissu qu'il imbiba d'eau. Il l'apporta tout près d'elle et déposa le tissu humide sur son front. Maintenant, il n'y avait plus qu'à patienter.
Celà faisait déjà quelques minutes qu'il tournait en rond. Il finit par s'asseoir auprès d'elle et à le regarder. La fatigue prenait du terrain mais Takeo luttait

Takeo "tait épuisé... Les nerfs se relachait, il avait un mal de tête assez important, ses paupières devenaient lourdes comme des pierres. Le temps passait et Takeo commençait à piquer des choux. Il se réveilla un peu en entendant Verona parler doucement.

"Oui,oui! je suis là mon coeur!"

La jeune femme lui prit la main. Takeo lui embrassa la main, les larmes aux yeux. La jeune femme lui avait demandé ce qui s'était passé et se plaignait toujours du ventre. Takeo regarda la jeune femme, un peu attristé

"Ma puce... je crois que... tu es enciente... mais du sang à coulé et... je ne sais pas si le bébé est encore envie ou pas... tu sais bien que je n'ai pas vraiment envie de l'avoir s'il est toujours en vie, mais si tu désires vraiment le garder, alors je suivrais ton choix!"

Il s'asseya au bord du lit et lui caressa les chveux et lui carressa la joue.

"Je t'aime... et je ne tiens pas à te perdre"

Verona expliqua à Takeo que le bébé était perdu et que de toute façon si il aurait survécu, celà aurait posé des problèmes pour lui comme pour elle ou sinon l'inverse. Takeo la regardait tout de même un peu attristé. La jeune femme soupira et expliqua que c'était mieu ainsi. Celle-ci avec sa main, approcha son visage du sien et l'embrassa. Par la suite, il la serra fortement dans ses bras, s'en voulant un peu. Puis tout à coup, il pensa qu'elle aurait pu... Il se délaça d'elle et la regarda dans les yeux

"Verona... tu na pas été voir ailleurs? personne ne ta touché?"

Takeo était une fois de plus inquiet... son mal de tête lui faisait toujours mal, de plus les nerfs lachaient... Il secoua doucement sa tête et lui dit

"Non... oublie... ce que je viens de dire est stupide^^"

Il souleva le tissu et constata qu'elle avait encore un peu de fièvre en déposant un baiser sur son front. Il mouilla de nouveau le tissu et le reposa sur sa tête

Ainsi donc, un de ses collègues aurait touché à sa bien-aimée... Takeo commença à s'énèrver intérieurement. Il ne fallait surtout pas qu'on touche à ses biens! surtout elle! Il n'eut pas le temps de lui demander qui était-ce qu'elle lui annonça qu'elle l'amait en italien et l'embrassa. Takeo l'embrassa de nouveau. A la suite de son baiser, il posa son front sur le sien en la regardant dans les yeux

"Mon ange... est-ce que tu sais le nom de la personne qui ta touché? je te promets que je te vengerais si tu le sais! je ne veux pas qu'on te touche ne serait-ce même qu'effleurer! je ne tiens pas à te perdre!"

Takeo enlaça Verona dans ses bras. C'était son seul et unique bien ici! c'était tout ce qu'il aimait et ce qui était de plus chers!

Pour une raison qui ne regardait que lui, le médecin officiel du pensionnat avait été contraint de se retirer quelques temps, mais maintenant, l'etre le plus stupide qu'une femme ait jamais put engendré et que la terre ait jamais supportée tait de retour, une tonne de bagages à la main, une fois arrivé devant la porte d'entrée,e t n'ayant pas les clefs, il avait dut faire péter la serrure à coup de desert eagle, quelle finesse pour un pseudo détéctive privé qui n'avait de Sherlock Holmes que la force...
En arrivant devant la porte, il dut se résoudre à la défoncer à coup de grosse valise, chose qu'il rata, et il dut finir par utilise de nouveau sona rme à feu, personne ne semblait ses oucier du fait qu'un gros coup de feu avat retenttit, commes i c'étatit habituel, sans plus se soucier de cela, l'homme monta les marches qui le séparaient de son infirmerie, il avait laissé sa décoction spéciale la bas, il avait intret à la prendre en vitese, avaec ce directeur kleptomane/ tarlouze, il avait du soucis à se faire concernant sa mort aux rats toute fraiche et l'autre remede contre ses crises de schyzophrénie aigue dont il était victime depuis ce maudit mois de décembre où il n'avait pratiquement pas dormit, enfait ce n'éait pas la véritable raison, la véritale raison c'est qu'il était completement cinglé mais qu'il faisait tout pour se persuader du contraire...

Sessho *Je vais rentrer dans mon infirmerie pourrie, compter la thune que j'ais amassé pendant tout ce temps, rebosser sur mon remede et après j'irais tyranniser les gamines, super plan! ^^*

Alors qu'il finissait de monter les marches qui le séparient duc ouloir menant à son "bureau", il commença à entendre des voix, il avait toujours eut une oui surdeveloppée et, meme si il ne ercevait que des murmures, sa paranoia le laissa tout de suite deviner de manière totalement illogique que lebruit était en provenance de son petit coin préféré après sa chambre inféstée de cafards puants et dégoutants, cette pensée le fit serrer les dents et il fit craquer ses os et ressortir sa musculature assez imposante, sans doute une bande de gamines qui voulait foutre le bordel, ou alors...
Ce connard de Maxime qui voulait ruiner à jamais ses espoirs de ne plus souffrir de schyzphrenie!? Alors la non! Hors de question!
Le médecin laissa alors ses bagages et tenta de défoncer la porte qui s'avérait etre déjà ouverte, heureusement, son équilibre lui permit de ne as tomber au sol, tndis qu'il regardait d'un mauvais oeil les deux tourtereaux et leur pointait, d'un air indigné, la sortie...

Sessho "ET JE RAPPELLE QUE MON CABINET N'EST PAS UN BEZODROME, DU BALAIS! VOUS AVEZ DES CHAMBRES POUR CA!"

Sessho n'avait guère énormemément de souvenirs de son passage au pensionnat, où il avait pur rassembler assez de preuves pour se lancer légalement dans sune enquète qu'il avait finalement été contraint d'abandonner, il ne se rappellait que vaguement de cette jeune femme à la chevelure flamboyante, quand un flash le traversa, il écarquilla les yeux et posa sa main sur la mur, reprenant son soufffle à cause du choc et du fait qu'une nouvelle crise le prenait, s'il avait put, il se serait jeté sur les deux et les aurait viré à grands renforts de coups de pied au derrière, mais il s'anvança lentement, le poing sérré, on aurait put croire qu'il comptait passer à tabac le jeunes amants mais il faut l'amettre : une défaite est une défaite, et à choisir entre ne plus ressentir l'amour pour une femme et empecher une nouvelle crise de folie de ne réveiller le second etre en lui, doté d'un QI inférieur à 30, il devait avaler son produit, mais ses muscles se raidirent et il tomba à genoux devant le petit flacon, son regard changea alors completement tandis qu'il tentait encore de saisir le remede, il regarda alros bizaremenet autours de lui et, d'un sourire d'enfant, il demanda aux deux ce qu'ils faisaient dans son cabinet médical rien qu'à lui...

Sessho "Nan je suis pas contre que vous tachiez un peu les draps de l'infirmerie mais un peu de respect quand meme, c'est moi qui lave"

Décidement, cettte part la du ceelebre détective, il y avait de quoi tenter de la cacher, mais c'était comme ça, la schyzphrénie est une chose gvae, à l'état de nevrose c'était encore pire, ce rendre compte que l'on st fou c'est une chose horrible pour un homme si soucieux de sona spect et de l'image qu'il renvoi aux autres, sans doute aurait il tout donné pour etre amnésique en plus, afin de pouvoir oublier toutes les conneries qu'il faisait, oh oui, il aurait donné très cher...
Quoiqu'il en soit, le "gamin", pria les deux jeunes gens de continuer, promettant de s'en aller dès qu'il aurait posé ses encombrantes bagages, il disparut alors derrière la prote en bois qui avait dut subir les assauts de milliers de termites et réapparu plus tard avec un gros tas de valises qu'il déposa, avanat de ne s'asseoir dessus, décidé tout de meme à se rafraichir la mémoire

Sessho "Toi le mec je te connais pas, la fille non plus je crois... Noms..."

Sessho resta réticent, une parfaite inconnue lui proposait de boire de l'eau dans laquelle elle avait placée deux gellules, trop naif pour penser aux effets que pourraient avoir les deux eptits médicaments qui paraissaient si ridicule, l'abruti se laissa convaincre et avala d'une traite le verre, qui s'écrasa alors lorsque la main dumédecin relacha son étreinte sur le précieux petit récipient, des yeux de fou furieux observaient verona, si il avait put, si il avait été en pleine possession de ses moyens, ila urait viré les deux à grands renforts de coups de poing, de pied, de chaine, de desert eagle eta utres, il se souvenait enfin de cette fille et la voir avec cet homme le laissa sans voix, il avait un sacré tas de pensée négative et ses muscles devenaient de plus en plus saillants, tandis que ses yeux s'injectaient de sang, il regardait le pantalon ensanglanté de la jeune femme, au niveaude l'entrejambe, un autre flash le traversa soudain, ce pourrait-il que?
Dans sa carrière de detective, l'homme avait de nombreuses fois dut pratiquer des interventions, et il savait plusieurs choses, soit elle avait ses regles, soit elle avait...

Sessho *Mhhh de toutes façons, je n'en ais rien à battre, les deux seront les premiers à souffrir de ma tyrannie, non, non du calme...*

Pendant qu'il luttait intérieurement contre lui mmee, tentant de savoir de si il devait ou non ressortir son cher et tendre scalpel afi de pratiquer deux petites autopsies ou si il devait garder son calme, il opta, après avoir très longuement hésité, pour la seconde option, prit appui sur une de ses valises en cuir pour se remettre droit sur ses jambes, puis il regarda attentivement les deux, sa main tremblait, prete à saisir sona rme et comettre le premier meurtre, mais il forçait toujours, à part sa schyzophrénie, il avait de graves problèmes psychologiques qui ressurgissaient après que les médicaments aient été digérés, c'est pourquoi il devait modifier le produit, il se retourna alors et sortit un couteau de l'armée de sa poche, il devenait fou, totalement fou, il aurait put tuer les deux ou les emprisonner? Non, il devait rester calme, il rangea alors son arme blanche et annonça qu'il voulait voir les deux déguerpir dans les 15 minutes...

Takeo ne comprennait pas ce qui se passait entre eux, mais il semblait qu'elle devait le connaître pour lui avoir donné les deus gellules. Il le regarda assez négativement, portant ses bras autour de sa bien-aimé. De quel droit osait-il leurs parlés? Celui-ci réagissait petit à petitbizarrement, voyant qu'il y avait une hésitation dans son élan et qu'il tremblait légèrement. Il prit dans ses bras Verona à la demande du jeune homme qui voulait qu'ils déguerpissent le plus rapidement possible.

"Bien... nous y allons, mais soyez plus aimable la prochaine fois, ça ne tue personne..."

Takeo s'avança près de la sortie, regardant noir celui-ci, et partit en direction de sa chambre, là où quelques explications n'allait pas tarder à se faire

Sessho regarda nerveusement les deux, sa main se laissa lentement aller jusqu'à la poche droite du manteau du médecin d'où il sortit son desert eagle adoré et vénéré, qu'il pointa sur les deux tourtreau, après quoi il appuya sur la détente, après avoir bien prit soin de charger sona rme, une détonation retentit et créa un petit trou dans le mur, étonnant de penser que ce petit trou, ou plutot que la balle ridicule qui l'avait créé aurait put achever les deux amants pénétrant leur chair et leur détruisant les os, quellle belle pensée, oui, décidement, c'était vraimenet tentant de répondre à cet instinct animal, de frappper fort, d'aracher, de rboyr, le fou ne se sentait presque plus, son corps n'avait plus de prise sur rien, il tira trois coups en l'air et laissa son chargeur tomber sur le sol puis jeta son arme comme si de rien était...

Sessho "Un truc à me dire, gamine... Vulcania si je me souviens bien"

Un rictus effrayant déforma son visage de psychopathe, un regard mélant haine et une forme étrange de regret vint se poser sur l'italienne, chaque seconde qui passait, la main du médecin offficiel de l'orphelinat se serrait plus, jusqu'à ce qu'une goutte de sang vint se déposer sur le sol carrelé, et sur lequel passait un cafard à chaque minute...

Sessho "Parle vite, dépeche toi quant à toi celui que je connais pas, tu f'rais mieux de ne pas me donner de conseils, ni d'ordres..."

Sessho resta sans parler, puis il s'approhca du jardinier qu'il regarda de haut, avec un air méprisant dont lui seul avait le secret, il renonça enfin à tuer le pauvre homme, non, si il tenait tant que ça à Verona, alors il la torturerais, la rendrais hideuse et pourrait rire, on aime les femmes que pour leur beauté, rien de plus, un véritable pensionnat de lavettee t de bizounours, il était temps de remettre de l'ordre ici, pour un enfer, les filles ne souffraient pas vraiment, pas du tout meme, c'était à gerber, il avait eut à enqueter sur des affaires bien plus abominables que des fillettes dans un orphelinat remplit de petits merdeux de dragueurs pourris qui ne faisaient confiance qu'au physique, il voulait atillader tous ces idiots, autant les femmes que les hommes, faire gicler leur sang, leurs tripe,s leurs boyaux, extraire leur souffle de vie en jouant le role d'un dieu, décider du sort des autre...
Il avait toujours servit la veuve et l'oprhelin, pourquoi ne pas changer de camp, pourquoi ne pas se laisser bercer par cette sombre pensée?

Sessho *Uh, reprends toi, reprends toi...*

Alors, le regard de l'etre changea de nouveau, quel étrange et incompréhensible chose que le coeur indécis d'un etre humain torturé par ses sentiments aussi débiles qu'étranges ...

Kaede montait les marches qui menaient au premier étage d’un pas lent et mesuré. Ayant entendu parler de la venu d’un nouvel employé possédant les compétences d’un médecin, la jeune femme s’était décidé de se porter à sa rencontre dans l’espoir d’acquérir des réponses à ses interrogations sur cette profession. Toutefois étant donné l’amabilité du nouveau personnel ce n’était pas très conseillé et elle se demandait bien encore quelle folie la poussait à agir de la sorte. Mais la passion d’une chose et la perspective de réaliser un rêve d’enfance pouvait bien pousser à prendre quelques risques...

Cependant elle ne put s’empêcher de lever un sourcil perplexe devant la scène chaotique qui se présentait à ses yeux. Il lui semblait bien avoir entendu des coups de feux mais inconsciemment elle n’avait pu vraiment le réaliser, gardant encore des vestiges de l’ancienne ambiance du pensionnat dans sa mémoire.

*Maintenant tout peut arriver c’est vrai…*

Sur cette pensée, l’orpheline laissa de côté son étonnement et l’angoisse qu’une personne normale aurait ressentie. Selon elle paniquer n’amenait rien de bon et le mieux à faire finalement était de s’adapter le mieux possible à n’importe quelle situation, aussi périlleuse soit-elle, même si dans ce cas précis elle avait la désagréable impression d’arriver comme « un cheveux sur la soupe ». D’une voix polie mais sans plus, frôlant la neutralité, Kaede déclara.

« Bonjour, j’aimerais savoir si le nouveau médecin est arrivé… »

La question était plus formelle que vraiment utile. C’était un moyen comme un autre d’engager la conversation sans se mêler de manière grossière à l’affaire qui était en cours.

Sessho se retourna lentement vers la porte, des bruits de pas se faisaient entendre, après avoir soupiré un bon coup, le "détécive" se décida à répondre, oui, le médecin était bien la et c'était lui, sans se soucier plus de la nouvelle venue, il ferma la porte à clef derrière elle, ils étaient maintenant prisonniers ici, personne ne pouvait sortir, il s'approcha alors dde Kaede et laissa sortir son couteau de sa poche, il en fit luire la alme pour faire comprendre aux personnes présentes dans cette salle, sauf Kaede bien entendu, qu'à tout moment il pouvait soustraire à cet orphelinat une de ses pensionanire, un sourire que l'on pouvait qualifier de démoniaque déformait le visage du jeune homme, tandis qu'il murmurait à l'oreille de la jeune fille devant lui de se taire, et de ne surtout pas parler tant que les deux autres seraient la.

Sessho "Je sens qu'on va bien s'amuser... Petite..."

Il posa alors sa main gauche sur sa tempe et ferma un instant les yeux, les effets secndaires de son rememede se dissipaient, peu à peu, il redevenait normal, son sang s'écoulait de moins en moins vite, sa température corporelle baissait, il se sentait délivré d'une avtroce douleur, il contempla alors l'endroit, regarda attentivement verona, Takeo et la nouvelle venue, puis recula un peeu et s'adossa à la porte fermée à clef, il ne voulait pas perdre la face en demandant ce qu'il se passait il reprenait simplement son souffle et dit, comme si de rien était.

Sessho "Tu me veux quoi Verona? Et toi sale gamine, pourquoi tu veux savoir si je suis médecin?"

Sessho resta de marbre à la provocation de sa prisonnière et lui refusa formellement de sortir, la porte resterait fermé, il n'en avait pas fini avec elle, oh non, il avait plein d'autres idées interessante, maintenant qu'il n'avait plus aucun devoir envers Verona, il s'approcha et souffla quelques mots au creux de l'oreille de Kaede, des mots qui auraient put dissuader n'importe qui de désobeir, il savait bien qu'il avait un genre de peste en face de lui, tant mieux, c'est plus amusant lorsqu'elles se débattent inutilement pour résister, mais bon, ce petit plaisir allait etre pour plus tard, il devait d'abord s'occuper en priorité de chasser les deux intrus, meme si sa curiosité le poussait à les garder ici un moment pour entendre ce que l'italienne avait à dire, biensur si elle tardait trop, il se ferait un plaisir de les charcuter, la salle de torture venait d'etre néttoyée, Sessho n'aimait pas utiliser du matériel usagé et sale...

Sessho "Toi ma belle tu reste la, on va voir ce que ton ancien professeur d'éducation sexuelle t'as appris..."

Un regard de fou pesait sur "l'incruste", le regard d'un dégénéré, peu à peu, les effets secondairs du médiaments s'apaisaient, il revenait de plus en plus à la réalité, malgrès que son esprit soit encore occupé par de sombres pensée, obscurcit par la pensée d'un scalpel pénétrant de la chair fraiche et perforant un organisme encore intact, une goutte de sang tomba par terre, personne ne put la voir, le médecin serrait le poing jusqu'à en saigner, il faisait preuve d'une grande retenue mais il alalit bientot exploser, renvoyer toute sa colère et autres pensée sur la petite nouvelle lorsque les deux tourtereaux seraient partis

Sesssho ne répondit pas immédiatement, enfin, les effets secondaires du médicaments étaient dissipé, il saisit alors Kaede apr le bras et la tira vers lui, après tout, maintenant que Verona l'avait remplacé par un autre, il n'avait plus d'obligation, rien ne l'empechait de se laisser séduire par cette jeune femme aux atouts sérieux, bon, certes, elle n'était pas rousse, chose fort dommage, oh oui, mais comment ne pas céder face aux arguments de poid de la nouvelle venue, de si beaux arguments on en voyait vraiment très peu...
Le médecin se décida enfin à repondre à la question de sa charmante interlocutrice en lui annonçant que n'importe qui pouvait devenir médecin à condition de bien vouloir perdre son temps dans des études extremement couteuses et de n'avoir que ça à faire...

Sessho "Tiens, tu me suivras dans ma chambre toi..."

Il avait dit cela tout doucement et sur le ton de l'ordre, il n'aimait pas trop le genre fille docile et toute sage, elle pouvait toujours se rattraper quand elle serait dans sa chambre, en se débattant un peu, elle pouvait pleurer aussi mais c'était moins amusant, non, il valait mieyux qu'elle tente de se défendre, hey... Mais si elle était consentante? Encore mieux! Mais il alalit falloir draguer un coup, c'est vrai qu'elle pouvait envaloir la peine, mais pour l'instant, l'inspecteur privé attendait tojours que l'italienne lui dise ce qu'elle voulait

Kaede ne savait plus trop ce qu’elle devait faire face à cette situation délicate et se maudissait intérieurement d’avoir eu la stupidité de venir en ces lieux. Mais ce qui la rendait le plus nerveuse était la sensation de se sentir acculée. Certes l’autre était pas mal mais ses manières de faire étaient des plus épouvantables en matière de courtoisie. Enfin c’était toujours préférable à de l’hypocrisie. Oui c’était incontestablement une chose que l’orpheline haïssait par-dessus tout mais ce n’était pas vraiment l’objet actuel et il n’était pas tellement judicieux de rêvasser à un moment pareil.

*C’est incroyable de voir à quel point un établissement peut changer…*

La jeune femme fit une petite secousse avec son bras pour faire comprendre à son interlocuteur qu’il pouvait la lâcher. De toute façon la seule issue était fermée à clé, où pourrait-elle bien aller ? Cependant l’orpheline n’ajouta rien d’autre vu qu’à chaque fois il en avait résulté une aggravation des choses. Elle plaqua sur son visage une expression neutre mais concentrée. Pour le moment le mieux était d’attendre que l’affaire avec le couple prenne fin pour aviser par la suite…